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Pour en revenir à la bifle, une coutume ancienne que nous devons aux mayas, et afin d'illustrer le concept visiblement mal compris par Lapinchien, je vous propose cette vidéo éducative qui vous permettra, je l'espère, de bien bifler chez vous :

https://www.youtube.com/watch?v=ZmkMZgObMw8

ps : Je suis occupé en ce moment même à créer une fondation "1000 bifles pour Solange". Je vous tiendrai au courant de l'avancée des travaux.

Je te préviens, ton texte est beaucoup trop long, personne ne le lira.

Soudain, cette prophétie me glace le sang.
Et s'il disait vrai...
J'ai l'impression d'être équipé d'un chibre de 25 cm au milieu d'un concours annuel de twirling.

Je replonge donc sans tarder dans mon manuel : "Le sonnet en 10 séances, intégration des principes de base à destination des chauffeurs routiers et maitres-nageur dyslexiques"

Pseudo de con pour pseudo de con, je veux bien aussi m'appeler Trompette, au rang de déchet, oui, s'il le faut.
Soyons désinvoltes.
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Un sonnet sur le thème du blasphème ?
Oui, c'est une idée épatante.

Dans cette triste veine, j'ai d'autres suggestions très pertinentes afin de nous départager :

1. Un concours de cul-sec au Schwepps Agrum.
2. Le traditionnel mais toujours hilarant : "Un, deux, trois, bras de fer chinois"
3. Un championnat du plus gros mangeur d'orties
4. Élection du plus beau bébé (mort)
5. Concours de la plus poignante photographie d'endives au jambon, à contrejour.

Je me permets de fournir ces quelques pistes d'améliorations étant donné que je viens de lâcher une bouse tout à fait prodigieuse dans les textes en attente, qui devrait me valoir le titre de grand inquisiteur sur sept générations.

Au plaisir de vous poutrer en bonne et due forme.

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Je m'abstiendrai donc de produire un sonnet, une charade ou je ne sais quelle ballade loufoque à rimes riches.

Si vous trouvez que c'est laid, que ça ressemble à une bite avec éléphantiasis, à un anus hémorrhoïdé, à une tête de fourmilier mongolien, il est temps de me le signaler, parce que sinon, je passe sous l'aiguille.

Un seul -h- à hémorroïde et puis oui, c'est un peu tout ça en même temps, que tu exposeras dans 50 ans, sur ton épaule rachitique, ponctuée de vilaines taches oranges. Les muscles de tes bras pendront, sous tes chemises amidonnées, et d'ailleurs personne ne le verra plus, ton tatouage noirci et informe. Non. Tu te coucheras seul et toi même l'auras oublié, ce stupide dessin. Et puis un jour...
Et puis un jour, les pompiers te retrouveront, chez toi, ils viendront au pif parce qu'on connait pas ton adresse mais que ça schlingue drôlement, oui Madame, oui Monsieur.
Et y'aura un vieux pompier, deux jours avant sa retraite, qui portera un bout du brancard, et tu seras à poil, bonhomme, et puis ton tatouage on le verra de nouveau, pour la dernière fois, et lui, le vieux pompier, il aura le même.

Peut être avec juste de la couleur en plus, ou le motif du dessus moins détaillé, mais on s'en fout,

Et il chialera pour de bon, l'homme du feu.
Parce que pour finir, rien n'est parfaitement indélébile.
Oui Madame, oui Monsieur.
Au milieu des marches, ton corps inerte entre ses mains, il chialera.

Du coup, il te laissera tomber comme une merde jusqu'au rez de chaussée et ce sera la rigolade générale, parce qu'on est pas payés chers alors bon...

(Hémorroïdes avec deux -h-... putain mais ça aussi tu l'emporteras avec toi si tu fais pas gaffe.)

"je veux bien croiser les jambes mais vous auriez quand même pu vous fendre d'un quatrième clou, les mecs"

"Jackie, regarde moi tous ces cons venus nous saluer, c'est une chouette bagnole qu'ils nous ont filé quand même, les gardes du corps qui cavalent comme des crétins après notre décapotable, j'adore, j'suis au top là, fais leur coucou, fais coucou connasse, regarde, y'a même des gens aux fenêtres avec... heu... merde, on dirait un fusil à lunette"

"Sarah Connor, oui c'est moi, de quoi s'agit-il ?"

"Docteur Jekyll, qu'est-ce que vous avez mauvaise mine aujourd'hui..."

"Bonjour je viens pour une consultation sans rendez-vous, il y a de l'attente ?"

... tu chantes juste
... tu sentes le cramé
... tu franchisses cette quatrième haie. Le concours hippique a lieu demain !
... tu crois en Dieu
... tu m'offres de perles de pluie venues de pays où il ne pleut pas
... tu retrouves la vue
... tu saches faire tes lacets toute seule