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Ouais, mais est-ce qu'un jour tu m'expliqueras : "Taoïsme : il arrive qu'il y ait des ennuis." ?

T'as oublié foutriquet, connard.

Glaüx, salope, tu m'as encore devancé, vieille pute.

Sauf que dans cent ans on sera tous oubliés, mais pas Marot, ni Villon, ni Baudelaire. Et même si un foutriquet a jugé que "la forme, si vantée chez Baudelaire, est mesquine", il n'empêche que si Baudelaire avait écrit des essais philosophiques, personne ne connaîtrait son putain de nom. CQFD, IMHO.

Nihil, je crois que tu as un problème avec la forme fixe.

Sinon continuez, tant de culture et de démonstration littéraire moi ça m'excite.

Toi t'es une cochonne qui s'en dédit.

Boarf hé ho je le débloque quand je veux moi ce sujet. Ha, non, même pas, j'ai jamais essayé.

Ceci dit, si Aure et ses pareil(le)s nous chiait ses poèmes ici et pas dans les articles en attente, ce serait bien, quand même.

Si tu veux, on les poste un par un en article pour la zone.

Tu vois bien que tu préfères ça.

De potions malivoles, mais d'écuries n'ai point :
Que mes chais et mes rêves et ma plume et mon poing.

Ça ne va pas , en fait, mathématiquement.

Narak est un enfoiré de rappeur. Ça se sent.

Moi d'aucune, pour être sincère.

Mon quatrain bâclé manque de cohérence dans la version où les tercets sont de toi. Mes deux tercets changent radicalement le ton dans l'autre version. Ça se justifie mieux, je trouve, d'ailleurs, on pourrait presque dire que c'est fait exprès.

Je trouve que la difficulté tient à ce que tu fais du trop littéraire pour moi. On voit que mes morceaux pourraient être lus à haute voix, c'est une langue de tous les jours. Pas les tiens.

Que l'on me donne lame et foison de rivaux.
Il me faut guerroyer contre apathie mortelle
Et sa morne cautèle et sa morgue rebelle ;
Que je sorte d'ennui pour trouver renouveau.

Mais le désir me point de visiter caveaux,
De pallier marasme et de payer gabelle
Du saumâtre poison en emplissant coupelle
Jusqu'à vider matin ma peine aux caniveaux.

Le flux et le reflux se jouent de mes colères.
Ce soir, je tonne ; à l'aube, insomnie, tu tempères
Mes futiles humeurs d'une fade aboulie.

Je rincerai mes reins, mon cerveau prolétaire
D'une eau fatale. Au fond, je suis velléitaire.
Je sais bien que demain sera comme aujourd'hui.

Ha tiens dis donc. Du rap français, môssieur ?

Bancale n'était pas le mot, les pieds y sont, mais je trouve ça faible niveau contenu. J'ai déjà un tercet.