L'hallu collective atteint de tels sommets que je me demande si c'est agréable d'y participer. D'un coté une bonne moitié de la troupe est constituée -sans vouloir emprunter un lexique true beumeuh- de faibles assez pitoyables 'petite grosse depuis mon enfance, je béni dieu pour ce calvaire qu'il me fait endurer, passez moi des roseaux frais svp', mais l'autre est vraisemblement pleine de joyeux drilles en plein trip extatique psychosomatique.
Faites caca sur la chair qu'ils disent. Mais leur petites glandes à bonheur travaillent à donf dans leur cervelles, c'est la jouissance perpetuelle à base de rien; quelque part c'est fort.