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La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

10-Serial Insert : Jack et la Nuit Debout : plus on est de fous, plus on rit

Démarré par lapinchien, Avril 20, 2016, 17:48:46

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lapinchien

Tous les français libérés chantonnaient, festoyaient et forniquaient librement. Jack se réveilla sanglé dans une petite pièce capitonnée et il avait fort mal à son fondement.

MILL

Tous les français libérés chantonnaient, festoyaient et forniquaient librement. Dans l'ombre du gouvernement provisoire constitué par les clones des Bee Gees, Joey Starr et Nabila, les confusionnistes survivalistes soraliens se frottaient les mains en ôtant leurs masques d'Etienne Chouard. Jack se réveilla sanglé dans une petite pièce capitonnée et il avait fort mal à son fondement.

Lourdes Phalanges

#2
Tous les français libérés chantonnaient, festoyaient et forniquaient librement. Dans l'ombre du gouvernement provisoire constitué par les clones des Bee Gees, Joey Starr et Nabila, les confusionnistes survivalistes soraliens se frottaient les mains en ôtant leurs masques d'Etienne Chouard. Au loin, des rasta blancs jouaient du jdembe, jammant comme jamais, en attendant le Grand Soir, et accessoirement la soupe aux légumes frais préparée par Svan, le frère de Sven, lui même rasta, roux, rasé et rasant les murs pour ne pas que la maréchaussée ne l'appréhende. Un clochard qui voulait un peu de soupe fut tancé par un animateur culturel : il n'était pas membre d'une assemblée constituante tirée au sort et participative. Près des toilettes sèches et vegan, le Parti de la Souveraineté Misandre organisait des réunions non-mixtes. "Le mâle, c'est la mal" cria fort Pétunia, un personnage secondaire qui joua un rôle essentiel dans le 5ème chapitre de notre aventure. Jack se réveilla sanglé dans une petite pièce capitonnée et il avait fort mal à son fondement.
« Allons bon ! s'écria Socrate ; nous étions à la recherche d'une vertu : en voici tout un essaim ! »

lapinchien

Tous les français libérés chantonnaient, festoyaient et forniquaient librement. Dans l'ombre du gouvernement provisoire constitué par les clones des Bee Gees, Joey Starr et Nabila, les confusionnistes survivalistes soraliens se frottaient les mains en ôtant leurs masques d'Etienne Chouard.

Jack sombra dans un flashback extatique où il se remémorait les prémices de cette insurrection, la campagne électorale de Ségolène Royal en 2007 (presque dix ans déjà) et sa volonté de placer la démocratie participative au cœur de nos institutions, puis il se souvint des années 80 au détour d'une faille spatio-temporelle, tu te souviens des soirées, et très clairement des nuées de sombres connards, qui dansaient le MIA, tenir les mêmes discours en parlant du Minitel comme l'outil de libération du citoyen asservi à la sombre dictature en sous-texte de la constitution de la Veme République, et il suffit à Jack d'une remontée de LSD, pour qu'il se retrouve propulsé de nouveau, via l'hyperespace plié en accordéon, quelques heures plus tôt, juste avant qu'ait eu lieu la seconde révolution française, place de la République. Au loin, des rasta blancs jouaient du jdembe, jammant comme jamais, en attendant le Grand Soir, et accessoirement la soupe aux légumes frais préparée par Svan, le frère de Sven, lui même rasta, roux, rasé et rasant les murs pour ne pas que la maréchaussée ne l'appréhende. Un clochard qui voulait un peu de soupe fut tancé par un animateur culturel : il n'était pas membre d'une assemblée constituante tirée au sort et participative. Près des toilettes sèches et vegan, le Parti de la Souveraineté Misandre organisait des réunions non-mixtes. "Le mâle, c'est la mal" cria fort Pétunia, un personnage secondaire qui joua un rôle essentiel dans le 5ème chapitre de notre aventure.

Jack se réveilla sanglé dans une petite pièce capitonnée et il avait fort mal à son fondement.

MILL

Tous les français libérés chantonnaient, festoyaient et forniquaient librement. Dans l'ombre du gouvernement provisoire constitué par les clones des Bee Gees, Joey Starr et Nabila, les confusionnistes survivalistes soraliens se frottaient les mains en ôtant leurs masques d'Etienne Chouard.

Jack sombra dans un flashback extatique où il se remémorait les prémices de cette insurrection, la campagne électorale de Ségolène Royal en 2007 (presque dix ans déjà) et sa volonté de placer la démocratie participative au cœur de nos institutions, puis il se souvint des années 80 au détour d'une faille spatio-temporelle, tu te souviens des soirées, et très clairement des nuées de sombres connards, qui dansaient le MIA, tenir les mêmes discours en parlant du Minitel comme l'outil de libération du citoyen asservi à la sombre dictature en sous-texte de la constitution de la Veme République, et il suffit à Jack d'une remontée de LSD, pour qu'il se retrouve propulsé de nouveau, via l'hyperespace plié en accordéon, quelques heures plus tôt, juste avant qu'ait eu lieu la seconde révolution française, place de la République. Il mangea alors un cachou, mû par une fringale printanière hérité de sa grand-mère paternelle. Au loin, des rasta blancs jouaient du jdembe, jammant comme jamais, en attendant le Grand Soir, et accessoirement la soupe aux légumes frais préparée par Svan, le frère de Sven, lui même rasta, roux, rasé et rasant les murs pour ne pas que la maréchaussée ne l'appréhende. Un clochard qui voulait un peu de soupe fut tancé par un animateur culturel : il n'était pas membre d'une assemblée constituante tirée au sort et participative. Près des toilettes sèches et vegan, le Parti de la Souveraineté Misandre organisait des réunions non-mixtes. "Le mâle, c'est la mal" cria fort Pétunia, un personnage secondaire qui joua un rôle essentiel dans le 5ème chapitre de notre aventure.

Jack se réveilla sanglé dans une petite pièce capitonnée et il avait fort mal à son fondement.

Valstar Karamzin

Tous les français libérés chantonnaient, festoyaient et forniquaient librement. Dans l'ombre du gouvernement provisoire constitué par les clones des Bee Gees, Joey Starr et Nabila, les confusionnistes survivalistes soraliens se frottaient les mains en ôtant leurs masques d'Etienne Chouard.

Jack sombra dans un flashback extatique où il se remémorait les prémices de cette insurrection, la campagne électorale de Ségolène Royal en 2007 (presque dix ans déjà) et sa volonté de placer la démocratie participative au cœur de nos institutions, puis il se souvint des années 80 au détour d'une faille spatio-temporelle, tu te souviens des soirées, et très clairement des nuées de sombres connards, qui dansaient le MIA, tenir les mêmes discours en parlant du Minitel comme l'outil de libération du citoyen asservi à la sombre dictature en sous-texte de la constitution de la Veme République, et il suffit à Jack d'une remontée de LSD, pour qu'il se retrouve propulsé de nouveau, via l'hyperespace plié en accordéon, quelques heures plus tôt, juste avant qu'ait eu lieu la seconde révolution française, place de la République. Il mangea alors un cachou, mû par une fringale printanière hérité de sa grand-mère paternelle. Au loin, des rasta blancs jouaient du jdembe, jammant comme jamais, en attendant le Grand Soir, et accessoirement la soupe aux légumes frais préparée par Svan, le frère de Sven, lui même rasta, roux, rasé et rasant les murs pour ne pas que la maréchaussée ne l'appréhende. Un clochard qui voulait un peu de soupe fut tancé par un animateur culturel : il n'était pas membre d'une assemblée constituante tirée au sort et participative. Près des toilettes sèches et vegan, le Parti de la Souveraineté Misandre organisait des réunions non-mixtes. "Le mâle, c'est la mal" cria fort Pétunia, un personnage secondaire qui joua un rôle essentiel dans le 5ème chapitre de notre aventure.
Plus loin encore, partout, un vent nouveau soufflait, il murmurait aux oreilles de chacun le nouveau mode d'emploi ; dans les campagnes, les forêts, au fond des laboratoires de dissections, les animaux participaient plaintivement à l'euphorie ambiante, aboiements, beuglements, miaulements et ululements faisaient vibrer l'air jusqu'à en faire frémir les feuilles de canopées, et même les pendus qui se balançaient déjà, partout, aux vieilles branches des arbres, semblaient, dans leur mutisme, chantonner la nouvelle ritournelle.

Jack se réveilla sanglé dans une petite pièce capitonnée et il avait fort mal à son fondement.

lapinchien

Tous les français libérés chantonnaient, festoyaient et forniquaient librement. Dans l'ombre du gouvernement provisoire constitué par les clones des Bee Gees, Joey Starr et Nabila, les confusionnistes survivalistes soraliens se frottaient les mains en ôtant leurs masques d'Etienne Chouard.

C'était un peu comme quand la poignée de rebelles, aidée par la tribu des Ewoks de la planète Endor, avait à elle seule réussi à détruire l'effroyable Empire Sith de Darth Sidious et Darth Vader dans l'épisode 6 de Star Wars. D'ailleurs, Jack pouvait très précisément entrevoir ce qu'avait ressenti un Ewok au moment de l'explosion de l'étoile noire. Il était alors Ewok et François Hollande, Palpatine. D'ailleurs il songea brièvement à nouveau à la planète "Endor" mais dans sa tête, ça sonna comme "Andorre", la principauté pyrénéenne, et tout d'un coup il y eu un décalage, une dissonance un peu malsaine, presque un début d'AVC. Son songe fut souillé par des envies compulsives d'évasion fiscale, d'achat massif de cartouches de cigarettes détaxées et de baisouille mollassonne de prostituées low cost certifiées sans MST.

Jack sombra dans un flashback extatique où il se remémorait les prémices de cette insurrection, la campagne électorale de Ségolène Royal en 2007 (presque dix ans déjà) et sa volonté de placer la démocratie participative au cœur de nos institutions, puis il se souvint des années 80 au détour d'une faille spatio-temporelle, tu te souviens des soirées, et très clairement des nuées de sombres connards, qui dansaient le MIA, tenir les mêmes discours en parlant du Minitel comme l'outil de libération du citoyen asservi à la sombre dictature en sous-texte de la constitution de la Veme République, et il suffit à Jack d'une remontée de LSD, pour qu'il se retrouve propulsé de nouveau, via l'hyperespace plié en accordéon, quelques heures plus tôt, juste avant qu'ait eu lieu la seconde révolution française, place de la République. Il mangea alors un cachou, mû par une fringale printanière hérité de sa grand-mère paternelle. Au loin, des rasta blancs jouaient du jdembe, jammant comme jamais, en attendant le Grand Soir, et accessoirement la soupe aux légumes frais préparée par Svan, le frère de Sven, lui même rasta, roux, rasé et rasant les murs pour ne pas que la maréchaussée ne l'appréhende. Un clochard qui voulait un peu de soupe fut tancé par un animateur culturel : il n'était pas membre d'une assemblée constituante tirée au sort et participative. Près des toilettes sèches et vegan, le Parti de la Souveraineté Misandre organisait des réunions non-mixtes. "Le mâle, c'est la mal" cria fort Pétunia, un personnage secondaire qui joua un rôle essentiel dans le 5ème chapitre de notre aventure.

Plus loin encore, partout, un vent nouveau soufflait, il murmurait aux oreilles de chacun le nouveau mode d'emploi ; dans les campagnes, les forêts, au fond des laboratoires de dissections, les animaux participaient plaintivement à l'euphorie ambiante, aboiements, beuglements, miaulements et ululements faisaient vibrer l'air jusqu'à en faire frémir les feuilles de canopées, et même les pendus qui se balançaient déjà, partout, aux vieilles branches des arbres, semblaient, dans leur mutisme, chantonner la nouvelle ritournelle.

Jack se réveilla sanglé dans une petite pièce capitonnée et il avait fort mal à son fondement.