Jokariroshima mon amour
Il y avait cet ours sur mon chemin
Dans son vieux costume de moscovite,
De la vodka plein les yeux, et les mains
Astiquant son pédoncule calvite.
Sa femelle souffrant d’une vulvite,
D’hémorroïdes et que sais-je encore,
Il ne voulait pas y tremper sa frite,
Tant sa moule sentait fort l’albacore.
Je n’étais pas si délicat alors :
J’ai enfourché la velue demoiselle,
Pour un inoubliable corps à corps,
Qui la laissa, ma pelue Marcinelle,
Pantelante, ignée, démantibulée,
Toute énamourée tant qu’encugulée.