CTRL X est fini. Zip. Knip Knip dans le slip. S'il ne vient pas, c'est parce qu'il le sait, il sait que sa chute est inévitable, tandis que son cerveau se flétrit d'année en année, que ses os se tassent et que ses érections s'amollissent.
CTRL X, tu es fini. Knip Knip le zizi, knip le titre, knip tout. Je t'abhorre. Je te renie, et jamais ne reniflerai tes chaussures, même si tu me les mettais sous le nez après les avoir portées continument durant trois mois.
CTRL X, tu as vieilli, et nous te pardonnons, nous autres zonards. Nous comprenons. L'inspiration ne vient plus. L'œil, injecté de sang et de larmes, s'épuise en vain devant une page atrocement blanche. L'ego, ratatiné, retranché contre ses lauriers comme un singe protégeant un régime de bananes, se complaît dans la consolation du souvenir, désireux de croire, de se persuader que ce souvenir est encore relié, même de loin, au déchet humain que tu es devenu. Mais CTRL X, Grand Inquisiteur, n'est plus. CTRL X, Porteur de Baskets Odorifères, n'est plus. Voici venu le temps de CTRL X, celui qui fut, celui qui n'est plus, l'ombre de Lui-Même, le Zabnunger.
CTRL X, sache qu'autrefois, dans une autre vie, tu fus mon modèle. Que n'eussé-je donné pour avoir ton panache ! Maintenant, c'est avec mépris que je passe, drapé d'excréments et de mouches, devant ta demeure noircie par les flammes d'inquisitions passées.
CTRL X, le Sextuple, l'Enflammé, n'est plus. Voici venu le temps du Dégueulis, l'Heure Sombre, l'Heure Rectale. Que la malédiction du Pingouin-Poulpe soit prononcée, depuis les temps immémoriaux, depuis le Commencement du Jour, et que soit proclamée... LA FIN DES HARRY CONS.