La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

*deviendage fou*

Démarré par nihil, Novembre 25, 2004, 16:44:27

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nihil

Les larmes sont encre
A faire briller les mots
Plus aisement, on entre
Dans un coeur en morceaux
C'est ainsi que je rend
Ma plume d'homme heureux
A quelques prétendants
Au coeur brisé en deux
Je me plaît à écrire
Mes propres sentiments
Mais je n'ai rien à dire
Je n'en ai plus à présent

Les poêtes qui souffrent
Sont bien meilleurs que moi
Qui ne suis plus face au gouffre
Qui suis heureux comme ça
Car les vers qui s'enchaînent
Sont souvent le fracas
De malicieuses peines
Qui ébranlent la voie
C'est la monotonie
Qui impose sa cadence
Et la peine qui grandit
Qui lui donne son sens

Il n'y a point d'amour qui ne rime
Avec déprime.
Point de bonheur, non, aucun
Sans chagrin.

Et ainsi aujourd'hui
Je me trouve réduit
A payer à cher prix
Trop de joie, peu d'ennui

Je me suis pris à croire
Qu'il n'est jamais trop tard
Pris à croire qu'en amour
Il n'y a point de détour
Pris en âme et conscience
Au piège de l'espérance
Credulité du coeur
Confronté au bohneur

Ô de toutes passions
Naît la désillusion
Sur cet arbre qu'est la vie
Il n'y a point de fruit
Sans le ver démoniaque
Qui le rend sûre et acre
Qui donne aux sentiments
Arrière-goût écoeurant.

Cette épine de la rose
Qui m'écharne la main
Donne même à la prose
Détestable fin.

Donner à l'amour un sens,
Peut-on y arriver sans faire une simple connaissance ?
Donner, recevoir, cela ne se peut ! Sans se voir,
Il n'y a aucun espoir.

J'ai mal ! Mon cœur me fait mal, tout mon être a mal !.

D'une simple banalité, est né un drame
Pourquoi l'idiotie, cette traîtresse en a-t-elle tissée la trame ?
L'amour est si fragile, comme le cristal,
Il chante et se brise,
Toutes les larmes de l'univers le fragilisent.
« Les épreuves renforcent les liens »
Celui qui a dit cela, n'y connaissait rien !
Il n'a jamais aimé, ni même pleuré !

J'ai mal, mon cœur me fait mal, tout mon être a mal !

La vie n'est que répétition ! Illusion,
Tout n'est que manipulation ! Désillusion,
Faire abstraction est la seule solution.
Rester dans son coin, un livre à la main,
Faire semblant de lire, le nez dans le bouquin
Pour mieux cacher son chagrin.
Fini, fini, fini.
Je ne crois plus en rien !

J'aime passer ma main dans tes cheveux d'or,
T'embrasser,
Ecouter ton coeur battre de plus en plus fort,
Et rêver...
Tes yeux, tels des diamants, brillants de milles facettes,
M'illuminent.
J'aimerai te parler, t'embrasser sans que cela ne s'arrête,
Tu me fascines...
Il n'y a pas deux aube que nous nous sommes rencontrés,
Et pourtant,
Mes rêves de ta présence angelique sont hantés,
Et souvent,
Je t'imagine là, près de moi, je peux presque te toucher.
J'aime tant
Te croire à mes cotés, de ton parfum m'enivrer;
Mais reduit
A cette distance qui sépare nos lèvres,
Qui me nuit,
D'une douleur qui m'écrase sans trève
Et je plie

J'ai le coeur dans l'etau
De ta beauté.
Seule la douceur de ta peau
Peut apaiser,
La douleur du trait que ton arc séducteur
M'a lancé.

Quand on a que l'amour à offrir en partage...

Le début d'une chanson sage
Offrir son cœur, offrir sa vie, à quel prix !
Refuser de comprendre, qu'on a rien à attendre
Puis se trouver pris, mais à quel prix !
Je déteste l'automne et son cortège de feuilles mortes
Je déteste l'hiver, son frima, son gel, ses jours gris,
Comme j'aimerai hiberner comme la marmotte
Dormir, dormir oui qu'importe, fermer ma porte.
Ne me réveiller qu'au printemps, juste un moment
Et me rendormir, pour éviter le pire,
Ou de me réveiller au contact d'un baiser....

Quand on a que l'amour à offrir en partage....

Je voudrai me perdre dans le bleu de tes yeux
M'y noyer comme dans un océan profond
Au fond de toi me sentir revivre, être heureux
Tu as allumé en moi un feu ardant
Bien plus puissant que toutes les flammes de l'enfer
Celui-ci me réchauffe et me rappelle que je suis vivant
Sois en toujours fier
Pour tout ça merci, merci mon Ange
Ensemble nous avons brulés nos ailes
A deux nous avons enflammé les draps de soies
Je m'en souvient comme si c'était hier
Mon plus beau cadeau c'est toi.
L'avenir est fait d'incertitude d'envies et d'espoirs
Le présent souvenirs et solitude
Le passé de bonheur, d'amour et de joie

Ange d'Amitié un jour tu trouveras

Je suis comme je l'écris
Je me décris à Travers mes écrits
Si au détour d'un poème
A toi mon petit Ange du Bonheur
Je veux dire je t'aime
Je le fais sans retenue
Car ces mots viennent du coeur
Et pour seul responsable je suis tenu
Tu es la lumière du matin
Celle pour qui je me presse au levé
D'écrire un mot déposé dans un écrin
Le destin a fait se croiser nos chemins
Parsemés d'épines ils sont : mélange étrange d'émotions
Remplies de sentiments vagues, de sensations
Certitude de bien être avec toi sinon désert et désolation
Tu me réconfortes et réchauffes mon coeur quand il fait froid
Avec toujours des mots simples, justes et ta douce voix
S'il fallait donner un nom à la sagesse
il est tout trouvé sans conteste ce sera celui de :
XXX
je fais le souhait que les liens tissés par l'amitié
jamais aucun homme, aucune force naturelle
Ni aucun dieu ne puissent délier

ti amo
redis-moi
ti amo
garde moi
ti amo

meme si je sais que je ne suis pas ton unique et que tu
l'aimes aussi, que la vie est ainsi,
ti amo c'est mon cri
entend moi-même dans le silence dans lesquel j'ai plongé ma vie
sans toi je ne serais plus moi
je l'envie et je t'aime
comme l'oiseau déploie ses ailes tu t'envoles vers elle

l'amoreche a letto si fa
rendimi l'atra meta
oggi rittorno da lei
primo maggio su coraggio io ti amo e chiedo perdono
ricordi chi sono
apri la porta a un guerrierio di carta igienica
ti amo de tout mon etre

mon coeur mon corps et ma tete
je crains toujours "tes peut etre"

dammi il sonno di un bambino
che ta
sogna (je reve)
cavalli e si gira (que tu reviennes)
e un po'di lavoro
fammi abbracciare una donna che stira cantando e poi

ti amo je t'ai dans la peau
je ferai tout ce qu'il faut
pour effacer tes defauts, toutes ces promesses,
rien que des mots

lo ti amo e chiedo perdono
ricordi chi sono
ti amo ti amo ti amo ti amo ti amo

ti amo de tout mon etre
mon coeur mon corps et ma tete
je crains toujours tes "peut etre"

dammi il sono di un bambino
che ta sogna
cavalli e si gira
e un po'di lavoro
fammi abbracciare una donna che stira cantando e poi

ti amo je t'ai dans la peau
je ferais tout ce qu'il faut
pour effacer tes defauts, toutes ses promesses,
rien que des mots

ti amo ti amo ti amo ti amo ti amo

L'amitié encore et toujours


L'amour est le plus beau des sentiments

La plus belle des passions

L'emporte souvent sur la raison

Se mentir à sois même, ne pas dire je t'aime

Et souvent la cause de bien des problèmes

Ne pas pardonner une erreur

Sous l'emprise de la haine, la peine et la douleur

Brise souvent le plus bel avenir

On dit souvent que les paroles s'en vont, que les écrits restent

Mais les écrits mal interprétés peuvent amener à des fins non désirés

Le plus bel amour est celui d'une amitié partagée.

Alors si vous avez des amis (es) prenez soins de ne pas les perdre

Car contrairement à ce qui est dit, un ou une de perdu ne fait pas dix de retrouvés.

Dis-lui toi que je t'aime
Ou programme-moi sur I.B.M.
Je n'aimerais pas le blesser
Je m'rends compte que pour compte nous l'avons laissé
Dis-lui toi que je t'aime
Et qu'il se branche sur la F.M.
Alors il pourra me capter
Ou bien c'est qu'il est complètement disjoncté
Je n'veux pas les yeux
Dans les yeux
Balancer ça
Il ne me croirait pas
Je n'veux pas annoncer la couleur
Entre toi et moi
Je vois l'émoi
Quand il comprendra sa douleur
Toi tu es le seul double de moi
Dis-lui toi que je t'aime
C'est toujours le même dilemme
Un jour ou toujours qui sait
Combien de mois d'émoi cela va durer
Dis-lui toi que je t'aime
Entre l'amour l'amour et la haine
Question de pleins de déliés
Qui sait combien de temps cela va durer
Dis-lui dis-lui redis-lui quand même
Dédie-lui ce poème
C'est le never more jamais à plus jamais
Dis-lui toi que je t'aime
Bien sûr on en revient toujours au même
Thème insoluble c'est vrai
C'est toi que j'aime
C'est toi que j'aime
Pour de vrai

Si un jour, tu croises au hasard
Celle du tout début de l'histoire
Celle que je croise dans mes miroirs
Qui reste avec moi même quand je pars
Les mots promis et les malentendus
Se gorger d'eau mais qu'on a pas vus
Les mots d'absence épinglés, pendus
Aux lèvres qui se sont tues
Dis-lui
Dis-lui tous ces mots qui nous lient
Les mots qui fuient et les non-dits
Oh... Dis-le lui
Dis-lui
Dis-lui qu'au long des longues nuits
Ils font mal encore aujourd'hui
Oh... Dis-le lui
Ce que l'on ose même à demi
Même les derniers, et même les maudits
Ce que l'on peint ou que l'on crie
Et qui soudain qu'on a privé de vie
Les mots de nos jardins d'hier
Abandonnés aux vents de poussière
Les mots lancés, faisceaux de verre
Au cœur océan d'un pair
Dis-lui
Dis-lui qu'elle fut mon seul abri
Dans le silence, contre l'oubli
Oh... Dis-le lui
Dis-lui le coût de ma peine
Et le mal que j'ai eu
Dis-lui ces moments de haine,
Mais qu'elle n'a jamais su
Dis-lui mes attentes veines
Et tout ce que j'ai cru
Tous ces rois, toutes ces reines
Qui ne sont jamais venus
Dis-lui
Dis-lui tous les mots qui nous lient
Les mots qui fuient et les non-dits
Oh... Dis-le lui
Dis-lui qu'au long des longues nuits
Ils font mal encore aujourd'hui
Oh... Dis-le lui
Dis-lui

La vie est simple et gaie
Le soleil clair tinte avec un bruit doux
Le son des cloches s'est calmé
Ce matin la lumière traverse tout
Ma tête est une lampe allumée
Et la chambre où j'habite est enfin éclairée

Un seul rayon suffit
Un seul éclat de rire
Ma joie qui secoue la maison
Retient ceux qui voudraient mourir
Par les notes de sa chanson

Je chante faux
Ah que c'est drôle
Ma bouche ouverte à tous les vents
Lance partout des notes folles
Qui sortent je ne sais comment
Pour voler vers d'autres oreilles

Entendez je ne suis pas folle
Je ris au bas de l'escalier
Devant la porte grande ouverte
Dans le soleil éparpillé
Au mur parmi la vigne verte
Et mes bras sont tendus vers vous

C'est aujourd'hui que je vous aime

En parcourant les sites de poésies
Je n'ai qu'une seule envie,
Écrire, écrire encore.
Répondre à tous ces poètes aux doigts d'or
Leur faire part de mon envie,
De leur dire que moi aussi j'aime la poésie.
Poèmes d'amour,
Poèmes, tout court.
Poèmes d'humeur,
Poèmes en pleure.
Mais aussi parfois,
Poèmes de joie

Une histoire d'amour !!
Ce peut 'il que cela finisse un jour ?
Non ! À mon avis,
Mais c'est ainsi !
Amour rime avec discours et détour
Mais aussi avec trop court. Cœur lourd.
Mais pas de pessimisme, ni de scepticisme
Car amour rime aussi avec : beaux jours
Et humour, mamours
Et puis surtout : toujours !

Dans un souffle de brise je murmure ton nom,
En écho il résonne dans mon cœur sans repos,
Tu es si loin et si prés à la fois,
Présent et distant parfois,
Tu apparais amour, comme un ange souriant
Pour disparaître soudain sur les ailes du vent.

Sur ses lèvres perle de rosée
Dépose pour moi un baiser
De ton rayon, soleil du matin
Son doux visage caresse le bien
Petite brise chuchote à son oreille
Tous les mots que pour lui, mon cœur te conseil.

Qu'il sache, qu'au loin un cœur bat pour lui,
Qu'à son amour il répond, je t'aime, moi aussi.

Ecrire un poème, pour dire « je t'aime »
Ou simplement l'écrire, pour dire que l'on pense au pire
Ecrire un poème, parce que l'on a « la haine »
Ou simplement l'écrire,
Parce qu'il n'y a que comme cela que l'on peux le dire,
Tout ce que l'on a sur le cœur
Amour, haine, bonheur, malheur
Joie intense, émotion d'une naissance,
Amour d'adolescence,
Heures de bonheur volées,
Amour complice partagé
Rien ne vaut un poème pour s'exprimer

De rhum au forum
De verres en vers
La vie a transformée des bar-riquiens en poètes,
N'est –elle point chouette ?
Qui l'eu cru en lisant notre moine,
Que j'aurais découvert qu'il avait une dame ?
Comme le disent nos amis,
Rien ne vaut le vécu de la vie, pour écrire un récit.
Même si une part de fiction si glisse,
La main, elle puise l'encre à la source de l'âme.
Et le cœur lui sur le papier, étale les mots complices.
Ne me dites pas que j'ai tort,
Epanchez-vous, faites le sans remord.
Du meilleur de la poésie, ce sont les écrits

Oui, profitons de la vie,
Chantons, dansons, aimons.
Tel n'est pas le but de Cupidon ?
Nous faire nous aimer filles ou garçons ?
Si ! Évidemment alors, pas de temps à perdre !
N'ôtez pas sa flèche, si vous sentez sa morsure
Car d'un trait, à coup sur
il vous aura percé le cœur,
Pour le pire ou le meilleur.
Sacré petit ange, tant d'espièglerie
Pour unir deux vies, et quand tu y réussis
Le bonheur s'en mêle ravi
Oui, profitons de la vie.
Profitons de la vie

La vie est si courte, pourquoi ?
Elle est si dure et cruelle parfois,
Elle nous rançonne, nous dit :< paye ce que je te donne !>
Puis lâchement, elle nous abandonne.
Elle est dure la vie.

de l'amitié, à l'amour
cela ne mérite t'ill pas un détour?
tant de poèmes dédiés à Cupidon
m'ont dit que j'avais raison.
le paladin a cueilli une petite fleur
qu'il garde là, prés de son coeur.
moi j'ai trouvée de la tendresse,
qu'importe maintenant le reste !

Blanche femme je suis jaloux
Du fin tissu qui repose
De tes seins jusqu'à tes genoux
Et revêt ton corps clair et rose

Pour toi le poète chétif,
Auteur mystérieux et plaintif
Fera couler une rivière
De mille mots, de mille vers

Espérant ainsi te tremper
Pour voir éclore ta beauté
A travers toutes ces lueurs
Qui virevoltent en douceur

Amoureuse du Ciel, depuis des millénaires,
La Mer douce et plaisante aux flots ensorceleurs,
Mélange, magnifique, au prisme des couleurs
Les rayons du soleil et les éclats lunaires.

Mais la nature inflige à ces deux partenaires
La sévère limite aux multiples douleurs.
L'un clame sa détresse en averses de pleurs
Et l'autre lui transmet des éclairs débonnaires.

La belle perd espoir un jour de l'embrasser
Et le soleil se plaint qu'il ne peut effacer
La distance imposant un amour platonique.

Soudain les amants voient, gagnés par la raison,
Une source charnelle, un avenir unique
Se profilant au loin : le sublime horizon...

Pourquoi toi ?
Toi seul le sais !

Des défauts, moi aussi j'en ai
Ai-je un corps de déesse? y as tu pensé?
La qualité essentielle pour moi,
Ce n'est pas la beauté physique,
Mais celle de l'âme, je sais c'est classique !

Tu me demandes : pourquoi?
Je te réponds : pourquoi pas?
Nous ne faisons pas de mal
La poésie, n'a rien d'anormal

Notre jardin, remplie de roses sans épines
A une clef dorée, tu me l'as confié
Je saurais la garder, la coquine
Mais pourquoi toi? feeling ?!

Tu m'as fait connaître ton jardin secret
Dis-moi où cache tu la clé ?
Tu m'as laissé entrer dans ton jardin secret
Dis-moi est-ce pour mieux m'aimer ?
Tu veux que j'aille avec toi, souvent m'y promener
Dis-moi aurais-tu peur qu'un jour, me vois t'abandonner ?
Tu me dis, viens ! Viens ! Moi j'y serais !
Crois-moi à personne je ne dirais où se trouve notre jardin secret.

Un rêve
La journée se termine, enfin, je revis
Tu arrives, je le sens, ma peau frissonne
Je t'aime comme jamais je n'ai aimée personne,
Ton corps, ta démarche, ton parfum si particulier,
Me font chavirer aussi sûrement qu'une vague trop forte.
La sensation de tes mains sur mon corps,
Me caressant comme une douce brise d'été,
Je peux encore la ressentir rien quand fermant les yeux.
Viens, viens, je t'attends impatiemment.
Je compte les minutes, les secondes qui nous séparent encore,
Enfin ! Te voilà, vient mon amour dans mes bras,
Je lis dans tes yeux la promesse d'un voyage merveilleux...
Doucement je me réveille,
Tu es parti, mon rêve aussi.

ami ? amour ?

je suis là, seule dans mon coin,
mon avenir, triste et incertain,
puis un jour, il m'est donnée cette posibilité
en navigant sur la toile du monde,
de me faire connaitre un nouveau monde.
tristesse, incertitude, envolée
puisque maintenant je t'ai trouvée.

sur moi tu as craqué, sans même me rencontrer,
à tant de tendresse, je ne suis pas habituée,
comme une adolescente troublée, qui n'ose,
de peur de se fourvoyer, tu m'as pris par la main,
tu m'as montré le chemin.

oui, je serais ton amie, si tu le veux encore
si ton amitié pour moi ne te fais point de tort
alors de notre intimité, notre estime réciproque
il ne faut pas se troubler puisqu'elle est partagée
et de l'amour tous deux , nous sommes respectueux

comme tu es loin,

Comme tu es loin, comme tu me manques.
Ton absence se fait sentir,
Tu n'es pas là, je ne peux pas te lire
J'essaie de t'imaginer,
Mais je n'y arrive pas, à mon grand regret.
Ton regard, ton visage,
Tes mains, ton age.
De toi je ne sais rien !
Mais j'attendrais, qui sais ?
Peut-être, demain...

YAAAAARGLAAAAAAAAAAAA
Trafiquant d'organes
[www.nihil.fr]

nihil

C'était une tentative pour battre le record du monde d'ineptie lancée.
Trafiquant d'organes
[www.nihil.fr]

Narak

TAGGLE !!! C'est pas supportable là !
L'amour c'est fort, l'envie de chier c'est pire...

Daria

Fiouuuuuuuuuuu

Nihil qui propage les oeuvres de Nicolas Froidure

Chuis sur le cul là !!!

Qu'un a tout lu ?
OUI ?
qu'il se dénonce pour qu'on le bannisse
La vitesse de la lumière étant supérieure à la vitesse du son, on peut trouver quelqu'un très brillant jusqu'à ce qu'il ouvre sa gueule

nihil

Chez nous le verbe "bannir" a été remplacé par "abattre", merci de bien vouloir rectifier.
Trafiquant d'organes
[www.nihil.fr]

Narak

Si je vous dit que j'ai décroché à I.B.M. , vous me tronçonnerez seulement un bras ?
L'amour c'est fort, l'envie de chier c'est pire...

Aka

Pareil, I.B.M ça a été la goutte d'eau.
"Chuis votre plus grand fan, spoursa."
Monsieur Maurice, 17/04/2006

Arwen

J'ai décroché a la premiere ligne moi, fait joué la mollette de la souris... et laissé la lecture  mais va te faire foutre
-= Requiescat In Pace 2, le retour d'après l'avant veille =-

djinnybottle

ah bon?? c'est pas du Dalida??

nihil

Ouaiiiis le retour de mon idole...

Pas la peine de crier ma peine ou des « je t'aime »
Son cœur est blessé, ses yeux sont mouillés
Il n'a pas compris, qu'il me manque, c'est tant pis
Parti bouder ? Son petit nez mouillé !
Sur un « à plus tard » me ferme la porte au nez !
Mon petit cœur est triste, un nouveau quiproquo
Mais je lui pardonne, c'est mon homme
Et je l'aime, même si j'ai de la peine

Savez vous que les anges pleurent parfois ?
Cela ils ne vous le dirons pas
Non, être un ange n'a rien d'étrange
Pour celui que l'on aime, ne l'est'on pas ?
Pour lui ne pleurez-vous pas quelques fois ?
Si, dure est la vie, tendre est le cœur
C'est pour cela que les anges pleurent

ENCORE
Trafiquant d'organes
[www.nihil.fr]

Mossieur_Yo

j'en ai pleuré toute la nuit

lapinchien

Monsieur yo, la Zone c'est pas la communauté de l'anneau, hein... allez fiche le camp vilain hobbit à baskets !

lapinchien

nihil>faut que t'arretes de t'envoyer des lettres anonymes maintenant... le jeu du corbeau c'est marrant que quand on sait pas qui est le corbeau... un peu comme dans le cluedo tu vois, le colonnel Moutarde, tout çà ?

nihil

ok? Pas encore devenus fous ? Alors essayez ça :

http://www.rathergood.com/moon_song/
Trafiquant d'organes
[www.nihil.fr]

Aka

Et si par miracle vous en réchappez, il reste ça :

http://www.rathergood.com/lalala/
"Chuis votre plus grand fan, spoursa."
Monsieur Maurice, 17/04/2006