Thèmes
- Critiques :
- Critiques de films, livres et autres
Textes :
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Un dimanche soir à la TV
par
nihil
Critique d'un film hollywoodien typique, c'est à dire bidon. -
Légère différence
par
nihil
Comparaison de la critique de l'article 'Un dimanche soir à la TV' avec des critiques lues sur Internet. C'est pas le même genre. -
Candy powaaa
par
Shirow
Shirow poursuit sur sa lancée, se torche avec la ligne éditoriale de la Zone et nous sort une critique cinéma du dernier film de Japanimation qu'il a eu l'occasion de voir : Metropolis. Pire : il l'encense. Heureusement, il y a un minimum de vulgarité. -
Poème conscientisé
par
LePouilleux
L'auteur de ce poème bisounoursien avec des wingdings proclame en message complémentaire : "Big up à Auguste Blanqui." En cela je pense qu'il s'attaque directement au mouvement naissant #NuitDebout , qu'il cherche à discréditer en l'associant à ce personnage, dit l'insurgé permanent. Si on cherche dans sa biographie Wikipedia effectivement, on trouvera des liens entre la pensée et l'action de Blanqui et le mouvement Hesselien des Indignés prônant une révolution molle et sans avenir. De fait l'auteur de ce texte qui étrangement a le même email que LePouilleux, passe probablement par le même proxy, dont le pseudonyme est l'anagramme de LePouilleux et est donc LePouilleux, offre une vision Smerdakovienne de #NuitDebout , c'est à dire celle d'une bande de hippies désœuvrés qui comme leurs prédécesseurs des années 70 ne révolutionneront rien. (Rappelons toutefois que l'Amérique s'est retirée du Vietnam et que le mouvement hippie n'en porte pas certes tout le mérite mais peut en endosser une grande responsabilité.) Pour ma part, je suis avec attention ce nouveau mouvement sans chercher à le cataloguer dans une fulgurance digne d'Eric Cartman de South Park alors qu'il vient à peine d'émerger. Assis, debout, couchés, ce n'est pas bien grave tant que vous nuisez. Au panier, pas bouger, donne la papatte, évitons. -
La peau des couilles, et autres déclarations pubiennes.
par
Le Docteur Burz
Voici une petite comptine politique à raconter aux enfants s'ils ne comprennent pas bien la monté en puissance de MégaMacron. A coup de bifle et de poils pubiens, Burz nous chante les louages de notre société qui part à volo en usant allègrement de la métaphore, personnification et autre figure de style qui ont du style. Serait-il finalement un poète insoumis ? Un petit texte à se mettre sous la dent ou dans le cul, comme on préfère. -
Réponse existentielle
par
Sinté
Ce texte crache au visage des frontières, de la nation, du culte de la terre et du nombrilisme patriotique. On y retrouve l’errance d’un mec sans patrie qui te parle de sang, de mémoire, de chimpanzé, et qui finit par insulter les droitards. Le texte se veut révolté, libre, universel, au-delà des patries… mais bon… on se demande quand même si le gars a déjà quitté son fauteuil. Il fantasme le nomadisme, le rejet des nations, mais avec un vocabulaire bien sage, bien propre. Jolie posture, parfois brillante, mais posture quand même. Un pavé dans une mare vide. -
Post-mortem
par
Laure AWENYDD
Voici une vision pessimiste du travail dans un futur « proche ». Dans ce texte dystopique, les « non modifiés » doivent travailler jusqu’à la mort et même au-delà. Le sujet est intéressant, mais la lourdeur narrative nuit à la fluidité du récit. Le personnage, bien que touchant, reste assez stéréotypé : un vieux râleur qui se désole de sa condition, sans grande nuance ni évolution. L’ensemble reste tout de même appréciable, oscillant entre cynisme et ironie noire.