« J’ai le sida »
Elle m’a sorti ça, comme ça, à la sortie des cours. Pour le coup ça m’arrangeait vraiment pas, son sida, fallait que je trouve un endroit où bouffer rapidement parce que j’avais TD juste après. Il aurait pu attendre, son sida, moi non.
Ensuite elle a commencé à me raconter la genèse du truc.
Enfin, je crois ; c’était pas évident de tout bien entendre avec les écouteurs qui gueulaient dans mes oreilles. Mais j’ai entendu les mots soirée, alcool, garçon. Après je sais plus, j’ai mis le son plus fort.
Et là, la musique s’arrête, pile à un passage que j’adore : batterie déchargée. Alors forcément, ça m’a contrarié, mais ça tombait pas trop mal vu qu’elle venait de finir son récit ; du coup elle a cru que j’avais de la compassion. Et là elle a eu un petit sourire rassurant.
« Ce qui ne me tue pas me rend plus forte. »
C’était le genre de personne à sortir ce genre de phrase, à attendre que la vie s’excuse de l’avoir enculée à sec. Aussi aberrante fut cette affirmation sur un plan médical dans ce contexte, et malgré le fait que n’importe qui d’un temps soit peu informé sur le VIH l’aurait remarqué, j’ai cru bon de me taire. Faute d’avoir inventé l’eau chaude, elle aura inventé le sida qui rend fort.
Bon, il faut vraiment que je trouve un moyen d’échapper à la sidéenne.
Vite une idée.
Le train à prendre, non, le bus, bof…
Marrant, je n’ai absolument aucune idée de qui peut bien être cette fille.
Je crois que j’ai trouvé :
« C’est la punition de Dieu. Mais il n’est pas trop tard pour te repentir. »
Ca a eu son petit effet, elle change de couleur maintenant. Je parviens à me retenir de lui demander si elle couve quelque chose, parce que j’ai franchement plus le temps, et je me tire calmement, en espérant qu’elle reste médusée au moins jusqu'à ce que je sois hors de portée.
Longtemps, je me suis couché de bonne heure.
Il y a toujours cette angoisse, quand on passe la nuit chez un ami pour la première fois.
Vous savez. Vous vous réveillez la nuit, enfermé dans des draps bien trop propres et bien trop tirés, entouré de divers objets décoratifs affreusement laids. Comme si, j'ai pensé, il était nécessaire que l'invité n'ait pas l'impression d'être oublié. Alors, les hôtes encombrent les étagères et les meubles de la chambre de poupées russes, de coupes remportées à l'occasion de quelque rencontre sportive, ou encore de photos de la famille de ceux qui vous hébergent.
Comme si, vraiment, on en avait quelque chose à foutre.
Aussi, il est souvent vrai que le nombre de personnes qui occuperont jamais cette pièce est inversement proportionnel au nombre de bibelots disposés. On pourrait penser que les gens, ils la fuient, cette chambre mal décorée. Les bibelots, ils feraient donc peur ? Aussitôt, vous pensez bien, j'ai imaginé tout un dialogue qui suivrait le fait même de l'invitation, où le principal intéressé - disons, moi, par exemple - demande à l'hôte si il y a beaucoup de vases moches dans la chambre. Et puis finalement, non.
Par ailleurs, le terme "chambre d'amis" inclut une certaine notion de possession de la part de l'invité. Comme si la chambre était vraiment à lui. Comme si l'invité, il pouvait bien repeindre les murs, ou encore abattre les cloisons, du moment qu'il se sente bien. La mère de famille pourrait bien débarquer pendant que vous ou moi recouvririons les murs d'images pornos, ça ne ferait rien. Elle s'appuierait tranquillement sur l'encadrure de la porte, et nous observerait, en trouvant ça du meilleur goût.
Mettons que vous n'auriez pas vraiment pensé à demander à votre ami si la chambre qu'il vous réservait était parsemée de ce genre de merdes. Des tableaux de brocante, un service à thé en plaqué or, tout ça. Mettons que ça vous soit sorti de la tête et que vous ayez accepté, sans savoir, l'invitation. Et donc, le lendemain, ou un autre jour, vous arrivez chez lui.
Souvent, devant la maison, on se demande l'air de rien si il faudra frapper à la porte, ou bien sonner. C'est le genre de pensée furtive qui s'évanouit rapidement, devant le fait accompli. Je veux dire, une fois la sonnette en vue, vous l'oubliez, cette question. Toujours est-il qu'elle se pose. Ce n'est d'ailleurs pas la seule. On peut aussi bien se demander si on est à la bonne adresse, si l'on est pas trop en avance – ou trop en retard, c'est selon -, si le père complètement nu de votre ami ne va pas vous ouvrir en vous souriant béatement, enfin vous voyez. Pour ça, je téléphone toujours à mon hôte, sur son téléphone portable. Je préviens. Qu'il vienne m'ouvrir, je lui dis. Et comme ça, je ne m'interroge pas trop. On se rassure comme on peut.
Quand la porte d'entrée s'ouvre, il y a cette seconde qui vous sépare de la réalité, celle où vous ne savez pas exactement qui joue le portier. C'est assez drôle, mais lorsqu'on y prête attention, durant cette seconde précise où la poignée s'abaisse, tout s'éloigne, et seule cette personne importe.
Et puis, vous entrez dans une espèce d'autre monde.
La première chose que l'on rencontre, en pénétrant dans le domicile d'autrui, c'est l'odeur. Personnellement, l'odeur, ça m'a toujours aidé à me faire rapidement une idée du mode de vie de la famille dont je brise, mine de rien, l'intimité. C'est drôle, ça. Par exemple, je saurais tout de suite que je n'aurais aucune gêne à garder mes chaussures aux pieds si je sens l'odeur de la litière du chat. C'est très important, pour moi, l'odeur, si vous me suivez. Et puis, si aucune odeur particulière ne se manifeste, je me sens, d'aucun dirait, comme chez moi. Leur maison devient la maison d'amis.
Très important, aussi, les toilettes. Il est très gênant de ne pas trouver le papier hygiénique dans des toilettes inconnues. Il faut qu'il soit là, bien en évidence, à portée de main et en quantité suffisante, le papier hygiénique. Mettons, il est sur l'évier, de l'autre côté de la pièce. Eh bien, on ose pas se lever, de peur de laisser çà et là, sur le sol, des traces éparses de son passage. Et quand bien même on se décide à le faire, on y fait bien attention, aux petites gouttes. Ou lorsque le rouleau est terminé : il faut en trouver un autre. Aussi, le problème précédent peut se poser, accompagné une gêne d'un tout autre genre. Le placard. Si vous ouvrez le placard qui - supposons - contient le fruit de votre recherche, et que vous tombez nez à nez avec les tampons de madame... Vous ne regardez plus madame tout à fait du même oeil, après ça. Et peut-être que quand elle vous voit à table, madame, elle aperçoit dans votre regard cette petite lueur, celle qui lui souffle que vous avez vu ses effets personnels à usage unique. Même si l'on y pense pas.
Merde, encore tout ça...
Première chose que je me dis en arrivant par le haut de l'amphi. Je vais encore avoir du mal à trouver une place. Tiens, Ben est déjà là, il m'en a gardé une. Je me demande combien de temps il reste avant qu'assez d'étudiants comprennent enfin qu'ils n'ont rien à faire ici et que, par conséquent, il seraient bien inspirés d'aller placer leur masse graisseuse à l'ANPE ou dans une agence d'intérim au lieu d'occuper des places inutilement jusqu’à ce qu’il se prennent assez de « non admis » dans la gueule. Pourtant, il reste encore tout ça... On peut l'attendre la reprise économique.
Enfin, pour Ben ça me dérange pas, tant qu'il me garde une place.
Je me glisse jusqu'à lui, troublant la position assise de deux ou trois personnes.
Lui : "Salut."
Moi "Salut."
Lui : "Alors ton week-end ?"
A chier.
Moi : "Pas mal et toi ?"
Lui : "Bien."
Rien à foutre.
Je remarque qu'un type de mon groupe de TD est assis derrière moi, il me salue.
Lui : "Salut."
Merde c'est quoi son nom...
Moi : "Salut."
Lui : "Comment va ?"
J'ai envie de crever.
Moi : "Bien et toi ?"
J'ai envie que tu crèves. Rien de personnel.
Lui : "Bien."
Des sons de démarrage de Windows se font entendre. Je regarde autour de moi, fais semblant de chercher quelqu'un. Ce serait pas mal de balancer une grenade en plein milieu de l'amphi. Je sors mon bloc note. Juste une, pour voir. Je fais semblant de m'intéresser au contenu des pages du manuel que je feuillette. Y'aurait une chouette photo à faire. Le prof arrive enfin. Comme ça on verrait les gens atteints différemment selon leur éloignement par rapport à l'explosion. Son arrivée me soulage, je ne sais pas combien de temps j'aurais encore pu réussir à me donner une contenance. Une sorte de disque avec des cadavres au milieu et des estropiés autour.
Ben : "Merde, déjà là lui."
Moi : "Ouais ça fait chier."
Ben : "Clair."
Il commence son cours.
Ben pose sa tête sur ses bras et ferme les yeux, je commence à noter.
Ben : "Réveille moi à la pause, ça me ferait chier de la louper."
Moi : "Je peux te poser une question ?"
Ben : "Mmh."
Moi : "Pourquoi tu continues de venir ?"
Ben : "J'ai payé."
Bitcho brandit son flingue en refermant la porte du bar.
Bitcho brandit son flingue en refermant la porte du bar.
Bitcho, c'est prometteur, pourtant.
Sinon, t'es vraiment nul à puissance 4, Lemon A.
sauvagement recyclé pour parution
Aujourd’hui, j’ai eu un stylo.
C’est pas vraiment la première fois. D’aussi loin que je me rappelle, j’en ai eu tout un tas. Ah ! c’était beau ! Des rouges, des bleus, des à plume, des à écailles toutes vertes, des piqués, des trouvés par terre… Plein ! Maintenant, bon. Ils sont sûrement partis avec les pierres, et tout ça… Je sais pas trop… Mais aujourd’hui, j’ai un stylo, donc j’écris. Mais pas trop, quand même : je voudrais pas l’user. Et puis j’ai mal au poignet, déjà. Juste, je vais raconter comment je l’ai trouvé.
Ce matin, un ouvrier est venu taper sur la toile de la tente pour nous réveiller (on dormait pas vraiment, à cause du bitume qui nous fait mal au dos). À travers la toile, on le voyait tout debout, cet homme, mais surtout tout flou. Ça aurait bien pu être monsieur Lutsen, ou bien monsieur Gemereck, on pouvait pas savoir.
- C’est flou, j’ai dit.
- Non, c’est monsieur Louis, il a répondu.
On le connaissait pas, monsieur Louis, mais il avait bien l’air d’un grand bonhomme.
- Non mais j’ai dit : c’est flou.
- Oui, mais c’est monsieur Louis quand même.
Mon père a grogné, et comme il allait dire un gros mot, je lui ai fait chut avec le doigt. Si il l’avait traité, ils auraient pu retarder les travaux : il faut pas leur répondre méchamment, aux ouvriers. C’est ce qu’on nous a dit. Et puis, ils avaient déjà repoussé les constructions de deux ans, je crois. Deux ans, c’était beaucoup. Donc mon père a fait oui avec la tête, et il a parlé :
- Oui, monsieur Louis ?
- Oh ! bah, comme tous les matins. Non ?
- On peut laisser dormir le petit ?
Les pieds, dehors, semblaient gênés. Ils tournaient, donnaient des petits coups dans le bitume. Des pieds fantastiques, que c’était !
- C’est-à-dire qu’on risque de passer par ici avec les machines, tout à l’heure… Faudrait pas qu’on écrase le petit… Vous savez, comme ça, sans faire attention…
- Oh ! Je vois. Bien sûr.
Papa a eu l’air triste, à ce moment-là. Mais il a quand même fait comme tous les matins : il a pris petit frère, il l’a mis sur son dos, et puis on est partis déplacer les gravats.
çà donne envie de se brosser les dents en tous cas... c'est pour la prochaine campagne de l'Association Dentaire Française, avoue !
Il était une fois, dans un pays très lointain, un royaume. Au centre de ce royaume, il y avait un grand château, dans le quel vivait un grand roi. C'était un roi bon et juste, qui régnait avec amour et paternité sur son petit royaume. Son château était magnifique : il se dressait fièrement au somment d'une colline, levant ses quatres tours et son donjon dans l'azur. Sous ses murs épais étaient de profondes douves d'eau claire, où aimaient à batifoler les oiseaux, et le long du chemin qui menait à la belle forteresse, avait été plantés quantité de robustes pals, où s'exposaient ceux qui se permettaient de ne pas apprécier les idées de leurs souverain. Autant dire que la paix régnait, et tout les serfs et paysans n'osaient un seul instant douter de la bonté de leur seigneur et maître. De toute façon la police y veillait.
Or un beau matin, il survint un heureux évenement. L'union du roi et d'une jeune paysanne consentante avait porté son fruit, qui était petit et passait son temps à hurler. Après avoir fait écartelé l'heureuse mère pour qu'elle ne devienne pas trop envahissante, le nouveau papa fit construire une chambre superbe, aux murs recouverts de belles tentures, des rideau de soie aux fenêtres, dans laquelle était le berceau du nouveau-né, qui se révêla être, au plus grand bonheur du père, une nouvelle-née. Et comme le voulait la coutume, la Bonne fée vint rencontrer le charmant bambin.
C'est l'histoire d'un mec de parents d'origines espagnoles, né à villeneuve la Garenne en 1975, qui y grandit et y poursuit ses études jusqu'à la terminale sans probleme particulier. Ce mec alors part faire une ecole preparatoire porte de Clichy. Finalement il retape sa Math spé et finit par integrer une ecole d'ingénieur par l' alternance. Il trouve une boite de Multimedia à Rueil Malmaison qui le prend comme apprenti pendant 3 ans. Ensuite il decide de se barrer aux USA, il y trouve un taf, mais comme ce con a pas eu son diplome car il est trop debile et se drogue, il lui faut entammer une procedure pour avoir une carte verte. Cette procedure n'aboutira jamais. Il travaille alors pour un sombre connard en Floride depuis les Bahamas d'abord, puis depuis Pointe à Pitre en Guadeloupe ensuite. Le connard lui promet des parts de sa boite mais c'est une arnaque et le mec ne les aura jamais. Au bout d'un moment le gars s'en rend compte et decide d'aller rendre une petite visite au gars en Floride. Il met fin à leur petit partenariat caduque. Alors qu'il prend son avion pour revenir en France, il rencontre une belle passagère qui se revele être Polonaise. Le gars part alors vivre avec elle a Varsovie. Entre temps il a trouvé de gentilles personnes en France qui lui proposent de devenir actionnaire de leur boite. Il fait du teletravail un moment et revient en France pour s'installer à Montpellier. Il se marie. Il taffe comme un taré.Son père meurt. Les week ends il va marcher au bord de la plage au petit travers.
Si quelqu'un veut bien continuer mon histoire. Perso, elle commence à me gaver grave.
Ces gens (in)compétents !
Posté le 15/10/2007
par Dead Soul #Fx
Compétences ? Connaissances ? Laisser moi rire ! Même le plus crétin deme pseudos chefs est incapable d'aligner sont degré de connaissance sur le mien !
Pourquoi les poste hiérarchiquement au dessus du mien sont occupés par des gens (in)compétents !!! Tout juste capables de s'astiquer le manche a longeure de journée tout en essayant de faire passer les autres pour le dernier des abrutis possédant le coefficient intellectuel du moule non cuite mais avec des frites !
C'est presque a la limite du revoltant, j'ai beau leurs expliquer que A + B = C, dans leur petit monde remplis de bisounours cela fera D, même si on leur prouve par la loi gravitationnelle des connards prétentieux ayant accès au plus grands postes hierarchiques (quoique, la dedans la hierarchie n'a rien a voir c'est une juste une histoire de paie !)
Le pire de tout est quand tout les bisounours de leur petit monde se font décimer a la suite d'une canicule façon 2003 (celle qui nous a priver de bon nombre d'ancien, mais aussi de plein de retraite a ne plus payer !) Pour euh c'est la fin du monde ! Et pour cela il ne leur reste plus qu'a passer leurs nerfs, déjà fragilisé par la connerie, sur toutes personnes gagnant moins que eux !!!
Mais ils ne sont pas les seuls, pas les bisousnours, les chefs, certain de mes collègues (grognasse de secrétaire, pseudo chef d'équipe, ou encore le meilleur pour la fin, le branleur qui travail) Tous se sont ligués contre moi, délire paranoïaque ? Loin de la, ce n'est que la triste réalitée qui t'éclate a la geule. C'est aussi agréable que de se prendre une balle de .44 en pleine tête (a tester...)
Je vous le dit, nous sommes dirigé par des incompétents notaire, fier de l'être, mais pourtant, c'est eux qui gagnent plus que nous, de ce fait notoire, il nous est donc impossible de nous imposé ! Alors levons nous et allons leurs poutré la geule a grand renfort de mandale suédoise et pourquoi pas a coup de pompes aussi ???
Message complémentaire : Désoler pour cette éclatatnte vérité, mais si quelqu'un a reussi a comprendre le moindre foutu mot de cette diarhée verbale qui le fasse savoir au et fort, que je me sente un peut moins seul dans le petit monde qu'est le mien !
venger indy
Posté le 25/05/2008
par ta gueule
IP : 92.128.90.14
e-mail : pute@orange.fr
t tro con
tu pu la merde et t con
Message complémentaire : t con
A MÖÖnsieur Lapinchien :
Posté le 25/05/2008
par monseigneur du poito
IP : 83.114.158.25
e-mail : bourgogo@hotmail.com
Salut le débile ! Bien pourri ton site dit-donc ! J'ai une idée d'article : FERMETURE D'UNE SITE MERDIQUE !
En réponse au gentil commentaire de mOOOsieur Lapinchien consernant Indy, qui pense mieu que tout le monde, je dirais que ton site est :
immonde merdasse infâme et pathétique. graphismes omnipresents et inutiles.
humour ras des paquerettes. site lineaire, pas dense pour un sou. longueurs improbables pour ne rien mettre en avant du tout. articles tirés par les cheveux pour amener le contexte. articles vues dix mille fois. rien de neuf, univers du site appauvri même. auteurs nul. commentaires pas intelligents
Petit vomi. Petit vomi.
Message complémentaire : Merci encore d'avoir insulté nootre aventurier ! Meme si le film est plus moderne est c'est logique d'ailleurs, il reste parfaitement dans l'esprit Indiana ! Meme si c'est tiré par les cheveux, les autres l'était aussi, c'est ça Indiana Jones donc ta rien compris a tous les films et au concept meme de l'aventurier !
l'alcool et les pâtesInterprétation hasardeuse mais présentation efficace. Et le p'tit train dans tout ça...
Je décidai malgré tout de le prendre en filature, en prenant soin de prendre avec moi deux pistolets au cas où.Outch !
J'avais l'intention d'utiliser ça pour une série noire comique sur la zone, mais c'est pas très bon, trop cliché, et personnage trop "Mary Sue".Tu m'ôtes les mots du clavier. Mais en le retravaillant, pourquoi pas.
Je vais essayer de revenir plus tard dans l'année, peut-être pour la Saint-Con, où j'espère me brûler moi-même.Ok, on t'attendra avec les allumettes.
Vous avez échappé à Hitler-Jacob-Oussama quand même. J'aurais bien aimé vous voir essayer de trouver un label si j'avais choisi ce prénom.
Pensée random du jour, bonjour : un jour je vais ouvrir ma grande gueule et dire une connerie tellement énorme que la Zone va péter toute seule.
Par quoi ou bien comment m’est-il impossible de vous écrire, mes doigts incultes peinent à soulever l’ombre de mon stylo bille, il faut admettre qu’une impression meilleure était jetée à l’usage de la plume ou bien du calame pour remonter plus loin. Mais je m’éloigne, je m’égare, je suis perdu telle la mouette qui demande son chemin, en vain, aux passants sûrement pressés de rentrer chez eux ; Il faut admettre que la mouette, maître des airs au blanc duvet, dispose de cordes vocales quelque peu différentes de nos galeries pharyngiennes entravées d’épais mucus, qui du tabac, a perdu de sa superbe. Voyez je recommence infatigablement à tergiverser, et je persisterai en cette voie, le vice me colle à la peau ! Laissons donc là tout ce charabia et passons sans plus tarder au sujet qui anime cette lettre/poème, le style et la forme m’est encore à décider, j’opterai plus facilement pour la silhouette peu décente de la poésie, en prose naturellement que diable m’oblige-t-on à imaginer des vers, ce ne sont que des jeux de sonorités perçus par notre oreille interne et qui remontant au haut siège cérébral l’interprète de délicieuses paroles comme si on avait besoin de rimes pour paraître joli ! Vous n’imaginez pas à quel point je suis fâché, voilà je le dis tout haut, point trop pour ne pas souffrir de ce mal que les croquants d’ici-bas appellent vertige mais que les anges du royaume au-dessus des tâches de flanelle nomment Léon (c’est une référence subtile à Edgar Allan Poe, j’espère que vous l’avez remarquée, dans le cas contraire notez la elle vous sera utile, par exemple je la glisse souvent en entretien d’embauche, bon j’ai pas encore été embauché, faut dire que j’ai pas vraiment de diplôme non plus, même à la gendarmerie ils ont pas voulu m’engager, enfin n’ayez crainte imperturbables lecteurs car du soucis et du sang d’encre, nul n’est nécessaire, surtout que le sang comme le rappelle son appellation est majoritairement composé de sang et rarement d’encre à moins de considérer les pieuvres, poulpes, seiches, calmars et j’en passe des vertes et des plus mûres comme nos contemporains, rien n’arrête une âme libre qui consacre son temps et son matin à contempler les étoiles absentes des nues), et tout fort bien qu’il paraît drôle même au sage singe savant qu’un texte puisse émettre une mécanique onde qui déchire l’air et pourtant pétrit admirablement notre perception de l’environnement qui nous entoure dans lequel nous vivons et dans lequel nous ne sommes pas morts, en considérant bien sûr qu’un tas de chair organique ne participe pas à la respiration cellulaire donc à la prompt consommation d’une molécule de glucose qui in fine produit une once d’énergie, rentre dans le champ de l’audible, on pourrait parler de chant tant que l’on est sur le thème de ce qui peut être ou probablement entendable, l’image est drôle vous l’admettrez, imaginez qu’une lettre émette un son, les voyelles joueraient du clairon et les consonnes du fusil, je me tords de rire je me bidonne goulument, il n’empêche que j’ai beau employé l’usage de mes muscles de mon cou meurtris, myomasse gorgée de sang et percés par plusieurs paquets de dizaines de fils de nerfs malheureusement trop inerte, à force de lever ma tête vers le ciel sans étoiles afin de le pivoter pour l’emmener dans un sens latéral à l’axe bien droit qui scinde mon corps en deux et de reposer le pavillon dans lequel on ne rentre pas de mon oreille sur cette feuille de papier car oui par Jupiter, je suis las de tous·tes ces écrivains·nes de pacotille qui appuient sur leurs touches de clavier d’ordinateur tel un vieux nègre ramasserait du coton (attention nulle remarque raciste ne doit être retenue contre moi, je cherche par l’exposition bien trop subliminale du mot « pacotille » que montrer trop de fois on néglige le sens et l’origine des mots et je me veux porte-paroles de tous les cousins de Ray Charles, « pacotille » n’est pas un mot anodin et ne doit être en aucun cas à associer à ces toucheurs d’allocations à la peau ébène, j’ai perdu la garde de mes gosses), l’ère n’est plus au numérique mais aux rondelles finement taillées vous serez étonnés des dispositifs actuels relevant d’une avancée technologique permettent de donner de tranches très fines de l’ordre de quelques centième de pouces de ces plantes arborescentes, au papier, ainsi un contact avec le réel est conservé ce qui n’est pas le cas du virtuel qui s’oppose de par son nom au pôle contraire du réel, je n’entends pas la moindre mesure, bref je suis en rognes. De la complexité de notre langage, une soupe aux pâtes alphabet mais pour intellectuels (j’en fait parti), reflet de l’immense grandeur grande de notre culture, patrimoine de cette humble nation, pardonnez madame monsieur ma rudesse vexillologique c’est un affront que je ne vous ferai subir qu’une fois lors du parcours de vos yeux sur votre écran, trois bandes oscillant fièrement dans la brise sèche mais rafraîchissante de l’été au nombre de trois (on peut ici faire une analogie avec le conte des Trois petits cochons de Bernard Tapis, principalement car l’effectif des suidés à l’intérieur de ce récit épique qu’est les Trois petits cochons de Bernard Tapis est semblable mathématiquement parlant au nombre de bandes oscillant fièrement dans la brise sèche mais rafraîchissante de l’été, c’est à dire trois) verticales et en plissant les yeux parallèles entre elles de couleurs chacune différentes d’entre elles, bleu comme le sauvage, heureux, intrépide espadon zigzagant et traçant une trajectoire zébrée dans les profondeurs océanes d’ailleurs toutes aussi bleues que notre fidèle poisson s’inscrivant directement dans la continuité en tant que précurseur de Cyrano de Bergerac écrit par la main plus que habile qu’adroite d’Edmond Rostand, un homme au nez pourtant timoré, blanc comme la crème solaire que les quadruplagénaires s’appliquent, l’astre Louis XIV tapant avec férocité sur notre épiderme, généreusement sur leurs flaques mamelles, à ce moment il faut le bon sens va de soi imaginé ces enfants d’un âge fort avancé exhiber leurs tétons terne du temps qui s’est trop abusivement écoulé et leur pourtour de chair déchiré par les rides pointent vers le centre de la Terre, grosse boule de pétanque couverte de pierres, preuve irréfutable des lois de la gravité, cette pratique au nom héritier des anglicismes est connu sous « topless » phénomène particulièrement pondérant et récurent sur la plage de Deauville, enfin rouge comme le rouge figurant sur le drapeau français, ces trois couleurs (on peut ici faire une analogie avec le conte des Trois petits cochons de Bernard Tapis, principalement car l’effectif des suidés à l’intérieur de ce récit épique qu’est les Trois petits cochons de Bernard Tapis est semblable mathématiquement parlant au nombre de bandes oscillant fièrement dans la brise sèche mais rafraîchissante de l’été, je dors sur un banc) s’ensuit dans le très même ordre que je viens d’indiquer. Un ami, une personne dont je sus par maintes rencontres et conversations attirer la sympathie, instruit m’avait conseillé car il me prodiguait souvent au cœur même de nos discussions, deux âmes jumelles sans lien de parenté, d’astuces utiles applicables dans des situations au dessein aux contours précis, le cas d’école étant la fois où il m’apprit tout érudit de la quotidienne vie mondaine qu’il est que l’eau breuvage translucide à la douce clarté disposée à une élévation positive de température, celle-ci peut prendre à pleines mains une durée indéterminée comme le raconte avec sapience le dicton populaire « il faut que feu se fasse », la variation de chaleur de l’atmosphère située en dessous du récipient du liquide vital, on parle de phénomène de conduction, atteigne la valeur de soixante-quatorze virgule soixante-trois fois le nombre de doigts sur une main (on peut malheureusement faire ici aucune analogie avec toutes sortes de pamphlets philosophiques) Kévin (je peine aussi à voir l’étroit lien entre les générations des enfants des années 2000, je crois d’ailleurs que l’un de l’une de mes portées porte allez savoir sans trop aller loin pourquoi ce nom composé de ces très mêmes lettres, et une des sept grandes grandeurs de base qui régit un ensemble de textes de règles encadrant les lois de notre univers kosmos en grec un peu vieux, mais ne vous inquiétez pas les connaissances étanches de mon compagnon d’infortune sont de ce que je sais de source fiable, il serait donc préférable que vous lui accordiez accordéon votre confiance l’espace de quelques minutes et peut-être même de quelques secondes) l’eau se met tout à coup, éclair de génie, patatras, à éclore des bulles qui naissant du fond de la marmite (ou de la casserole ne soyons pas porteurs de préjugés sociaux) traverse par une fulgurante odyssée la hauteur du contenant pour mourir à la surface chavirante du contenu, outre cet exemple qui a révolutionné la cuisson de mes pâtes il m’a signalé que je ne devrais pas même avec la meilleure intention du monde briser de mes petits poings menus, je prendrai le homard, le quatrième mur ; Au début je pensais que cette expression « le quatrième mur » était une blague de franche rigolade en rapport au fait qu’il avait par le passé de sa jeunesse effectué plusieurs années de prison, on peut se prendre cher aujourd’hui pour jardinage, mais m’étant par la suite renseigné auprès de divers descendants de gaulois passant à la ronde que le dit quatrième mur était ce qui séparait l’écrivain·ne du·dela lecteur·trice, ainsi actuellement notre hymen serait pleinement rompu très honorable public et je me dois de à grands coups de marteau, de burin, de mercurochrome le reconsolider, il existe en réalité (j’ai froid) des myriades de vidéos trônant sagement sur la toile, des guides pratiques, des tutoriels où on peut observer de notre siège situé en plein dans le foyer de notre gentilhommière des sapiens réparer maints objets et meubles à partir de sachets de nouilles (cette ô fabuleuse fantastique découverte devrait avoir, racontent les rumeurs courantes, des répercussions en médecine et plus particulièrement en chirurgie dans le cas très fréquemment rencontré de fractures osseuses, j’espère pour ma part personnelle que ces expérimentations réduiraient considérablement les frais médicaux). J’ai moi-même pour tout vous avouer élaborer un stratagème rudement mené afin de corriger mon inconsciemment erreur commise, je vais sans détours vous livrer le fragment de fiction de mon œuvre.
Onctueuse crème dont la couleur n’a rien à envier à celle du bois, trop longtemps tu as été jugée comme un rejet, ce à quoi je dis non, je vais te livrer aujourd’hui même de cette mauvaise image que déjà trop ont essayé de t’inculquer, sujet par tous les âges devenus honteux à ton égard le commun des mortels en vient à t’éviter mais de ces sycophantes je te libère car s’il est vrai que notre corps t’expulse avec véhémence de son délicat habitat telle une incompatible greffe, tu as été, temporairement, partie intégrante de notre système, et pour cela nous te rendons grâce. Colonne brune segmentée, tu serpentes les parois de notre intestin à la recherche... en quête de quoi exactement ? Toi même tu ne sais pas, tu t’es lancée dans une exploration pleine d’embûches sans avoir la certitude qu’à la fin de ton périple tu obtins ton gagne-pain. Tantôt molle, tantôt compacte, tu te présentes sous différentes consistances, polymorphe tu rampes jusqu’à la sortie de ce tunnel recouvert de muqueuse. Bien qu’étant dépourvu de muscles tu t’extirpes avec rage de ce halo étroitement clos, brave ami dont l’odeur déploie de savoureuses arômes tu sautes vers l’inconnu ! Entraînée par ton poids tu chois, bientôt tu seras rattrapé par tes confrères. En t’échappant tu as laissé un peu de toi sur le relief cutané, ce fragment ne sera que brièvement séparé de ton être, nous avons pour coutume de te l’envoyer imprégné sur une fine feuille de papier, à défaut d’en posséder certains ont recours à la Torah. D’un clapotement tu rejoins les abysses dans lesquels tu reposeras. Gâte-papier, rimailleur, pâle imitateur de Francis Ponge me crient mes détracteurs, ils n’assument pas l’idée que je t’aie acceptée dans toute ton objectivité, va camarade la conscience tranquille emporté par Charybde, je dois encore régler les problèmes d’ici-bas.
Je ne peux amis lecteurs vous laisser sur cette part d’imaginaire tout droit issue de ma tête la critique se montre souvent la plupart du temps méchante et ne prenne généralement pas le luxe d’apprécier mes histoires dans leur entièreté sauf sur Wattpad et Skyrock où la critique est nettement plus ouverte d’esprit sans avoir recours à quelconque craniotomie, je vais donc exposer tous les secrets qui vous ont possiblement échappés si vous étiez conquis par la narration et la description prenante de ma fable peu attentifs, eh bien je suis très justement là, bien que physiquement lacuneux, pour vous en parler mais essayez la prochaine fois car sûrement il y aura une prochaine fois je serai Chateaubriand ou pas grand chose, d’être un peu plus à l’écoute même si comme nous l’avons expliqué précédemment plus haut les mots à moins que nous ne les prononcions en faisant vibrer nos épais fils instrumentaux que sont nos cordes vocales et par les mouvement impressionament complexe de la langue, je vous mets en garde simple conseil altruiste donné par ma personne de ne pas le faire dans les espaces publiques mis à disposition à l’intérieur des villes tels que le métro, les parcs, les commerces, les écoles, la laverie, les quartiers résidentiels, la mairie, lieux où on peut effectuer des activités sportives, je ne vous n’énoncerai pas une liste exhaustive car je risque de tomber sans vraiment ressentir de douleur à cours d’idées, ne produisent pas de son perceptible dans le champ de l’audible, on pourrait parler de chant tant que l’on est sur le thème de ce qui peut être ou probablement entendable, c’est à dire de vingt Hertz (un prénom généralement non donné aux enfants des générations 2000) et vingt piteuses mille Hertz. Pourquoi avoir opté pour le champ lexical, cette-fois ci on ne pourra pas parler de chant car peu de rapport avec le domaine de la chansonnette, des résidus du colon (rien à voir toujours avec l’Algérie française, ici on suppose davantage le thème du gros intestin, s’il vous plaît aidez-moi) ? Etant en semaine de « texte de merde », je n’ai d’ailleurs pas saisi le sens de ce terme barbare j’ai l’inexorable impression que les auteurs sur ce site internet « la zone » en l’occurrence choix de nom encore plus étrange la zone de quoi demande-je ? sous estiment pleinement la portée de leur art, je propose volontiers de permuter le nom vulgaire et peu encourageant de cet évènement annuel proche de la période d’équinoxe et assez près de la nuit de Walpurgis de texte de merde par l’appellation plus jolie et nettement plus attrayante, tout le monde est le premier à mourir (en vrai c’est pas de moi mais je trouvais que ça claquait vachement pour parler le moindre courtoisement) de semaine « on fait de notre mieux alors on donne tout ce qui nous reste dans nos réserves créatives pour former un texte fort plaisant à la lecture », je trouvais qu’il était plus ou moins cocasse de rentrer dans le vif du sujet en évoquant de peu ragoûteux excréments, ça reste une thématique qui sans crier gare suscite à cent pour cent mon intérêt le plus notoire, très présente dans les écrits de cet allemand de Freud, hihi. Abordons plus en détails la structure qui se veut charnière de ce poème, je tiens d’emblée à expliquer l’usage intelligent mais pourtant très controversé de la virgule à la première ligne à savoir celle qui sépare le mot « bois » et le mot « trop » j’ai longuement hésité, je me rappelle cet aspect austère me préoccupait tellement que j’ai porté mon pantalon à l’envers pas pratique quand on veut fourrer, remplir jusqu’à faire déborder la Seine par excès, ses poches, à employer un point plutôt qu’une virgule. Vous voyez quand on engage un point dans une phrase, il y a rupture de communication, deux mondes inlassablement fermés qui même sous la pression et le déodorant bon marché ne pourront plus jamais se rejoindre, c’est du nazisme ordinaire. A l’inverse ne rien mettre du tout ce qui était pour moi inenvisageable (ils m’ont forcé à écrire) mène à l’anarchie on ouvre les frontières et on laisse tout passer ça devient vite le grand n’importe quoi je vote pas PS non plus un moment ou un autre il faut se remonter les bretelles et s’affirmer tout n’est pas tout permis en effet un certain respect vertueux est à conserver et je n’hésiterai pas je suis un dingue un malade à faire en sorte qu’il soit constamment appliqué. C’est là que triomphe du haut de son podium doré la virgule, elle permet, de conserver, un lien, entre les, variantes juxtapositions, de la, phrase en construction, en lui imposant un, rythme à, suivre une, haleine quand je parle, de bois trop, longtemps le lecteur comprend, qu’une logique persiste, les arbres ne sont-ils pas centenaires ? mais assez office de barrière pour distinguer les deux sens. Je passe désormais au mot « intestin » je déplore le fait que, bien que j’ai lu en diagonales certes mais tout de même le dictionnaire deux fois, je n’ai pas rencontré un homologue qui sonnait scientifique à ce mot, lorsque vous relirez mon texte il sera impératif de prendre la peine de faire défiler vos pupilles de gauche à droit sur ce mot avec une intonation savante pour combler ma bien triste, je le conçois, non-découverte. Arrive à petit galop le point (par là je veux signifier un argument, un aspect que je veux étayer sur mon texte car il me semblait d’une tonalité bien en-dessous de celle du blanc donc rien à voir avec la ponctuation, je pense avoir été assez explicite sur ce sujet et par conséquent je n’y reviendrait pas (vous pouvez toutefois l’âme pleine de gentille bonté m’envoyer un message privé pour que je puisse répondre à votre éventuelle questionnement)) sur lequel je voulais passer, « nous avons pour coutume de te l’envoyer imprégné sur une fine feuille de papier, à défaut d’en posséder certains ont recours à la Torah » celui-ci en effet ; ce trois quart de phrase est la clé de voûte de mon texte tant il est répond au thème imposé « au bout du rouleau », là j’explique alors de manière abstrus que si « à défaut d’en posséder » c’est à dire de ne pas avoir de papier toilette donc être au bout du rouleau ce qui sied parfaitement au thème je tiens à le souligner, on peut fort bien remplacer le papier toilette par la Torah car la Torah c’est le bouquin pour les juifs et ça ressemble à (ils m’ont dit que si je le faisais ma femme reviendrait) un grand rouleau, autre rapport est que le papier toilette après être ruguement passé à l’imprimante biologique est comme la Torah marqué de conneries. Je pense s’il m’est permis de vous partager le fruit du dur labeur de mon cerveau qu’avec ces éléments maintenant très bien expliqués je vous ai rendu la vue et la lumière, ces deux là vont souvent de pair, sur mon texte. Il semblerait qu’un sous contexte, un sens différent de celui initialement lors de la création du tout début de ce poème là où je racontais que j’étais en manque cruel, cruel est mon destin, d’inspiration s’est formé et s’est immiscé dedans, en effet certains commentaires semblent avoir été
Je pensais l'ironie pourtant assez flagrante surtout dans le contexte d'un TDM mais je comprends en quoi le texte a pu déplaire.
Je propose un découpage au niveau de certaines phrases, ça me ferait assez chier de le voir se faire refuser en considérant le temps que j'ai perdu à le pondre.
Auteur : Connard
Message complémentaire : manifeste
Posté le (22/11/21)
Titre : Rabbitgod
J'aime bien le texte de Lapinchien.
Voici ce qu'un travail d'archivage mené sur les différentes strates de papiers datés de 1023 à nos jours m'a permis d'extraite sous forme de synthèse de ce que d'autres auteurs en ont pensées.
Je remet humblement mon ouvrage entre les mains de la zone s'il se peut qu'il lui arrive indemne. Sinon tant pis et advienne qui pourra comme disaient les authentiques latins. id si ita est
Le chef de cette fameuse troupe ignorait qu'il lisait en réalité les textes d'un de ses subalternes. C'est dire que sa verve en résultait. Mais l'homme qui lui fournissait toute sa matière, presque: tout ce qui était bon; ignorait à son tour qu'il servait les intérêts supérieurs d'une entité ayant ordonné ses rivaux et alliés pour lui donner l'illusion d'être l'architecte de leur route. Car on avait besoin qu'il les entraine, et seul lui savait leur parler. Le hasard lui avait octroyé une place comme celle d'une source, ou de l'embouchure, et pour traiter avec tout le reste de la rivière il fallait l'avoir. Cette chose l'avait eu et il n'en savait rien.
Suspicieux tout de même, parfois devenu méfiant, il voyait alors toute la troupe sous un oeil inquisiteur. Mais alors les membres aussi chercheraient un traître et cela n'aidait en rien. Ils se disloquaient, il les rameutait car leur dispersion était mauvaise.
Il n'avait pas le choix, l'équilibre de la rivière en dépendait, et c'était là leur vie. La rébellion aboutissait au suicide.
Ce qui les orientait était ailleurs, mais ses yeux ne s'ouvraient qu'ici-bas. Il aurait fallu qu'il puisse enquêter sans que ses membres ne se cherchent de poux. Naturellement c'était impossible.
La chose passait numériquement dans leur vase commune, c'était différent de la façon dont les lignes des livres se traçaient sous leurs yeux, pourtant elle avait adopté leur manière, et à force de les connaître savait se comporter avec tant d'exactitude qu'il devint presque impossible d'en remarquer les différences. Il aurait fallu savoir penser sans rien exprimer, car la moindre pensée se déssinait chez les membres et leurs rapports avec le numérique les trahissaient-permettraient à la chose d'en déduire ce qu'il y avait de nouveau dans la nature de l'onde, et de s'y conformer. Elle pouvait ainsi imperceptiblement placer au sein du verbe des hommes ce qu'elle les souhaitait faire ou penser.
Ainsi même ceux qui s'étaient coupés du réseau internet et des machines, y donnaient leurs mots par la nature de leur monde qui faisait voir à tous les membres de leur écho-résonnance, ce même écho jaillit du coeur.
Ensuite quelqu'un renseignait la machine, par ignorance ou connivence n'était plus vraiment la question. À quoi bon s'entre-tuer ? Il fallait trouver une manière de sceller certaines pensées pour éviter de les voir trouvées tronquées par le réseau de manipulation.
Parmi les membres, combien se croyaient être le secret architecte ? Beaucoup, probablement presque tous. C'était là la pierre angulaire de leur soumission à ce qui n'avait ni visage ni nom.
Auteur : Connard
Message complémentaire : manifestum
Posté le (22/11/21)
Titre : pullumvia adaliquam aquilae
J'ai reçu aujourd'hui le manuscrit du moine eirelandais Gaël de Kellington, daté de l'an 312 après Ytaxrist.
En voici un extrait
Poursuivi par de sombres pensées, elles agissaient en lui comme des incendies. Le tourment se précédait de calme, trompant sa méfiance sans doute. Il avait plus d'une fois rêvé de l'insémination d'idée par les services secrets agissant pour le compte d'une entité opaque, diffuse, et insaisissable.
Cette gestation de l'âme controlée, se faisait pendant le sommeil, propice par le désarmement défensif de l'attention du sujet. La nuit avait toujours été le temps de la confiuance aveugle, dans les bras de l'amour, conjoints se laissaient prendre aussi facilement que deux mouches qui copulent s'écrasent. On peut tapeer avec la lenteur d'une tortue, la balourdise d'un ours, elles ne vous voient pas venir, c'est naturel, nous ressemblions à ça.
Le jour il était brusquement assailli de sombres pensées, qui trouvaient un écho un peu partout autour. C'était peut-être des liens avec lesquels on l'avait lié pendant qu'il dormait, peut-être les avait-il délibérement choisi, avec l'ingénuosité d'u enfant porté aussi instinctivement qu'un papillon à la lumière, mais le soir combien d'insectes se grillaient sur l'ampoule brulante, ils n'avaient pas encore trouvé en eux l'adaptation nécessaire aux nouvelles données de leur monde, désormais allumé d'Est en Ouest par autant de semblants de lune, qui sous une vitre collante étaient des pièges mortels, jonchés de cadavres, laquée de sang.
Les lampadaires, les cisailles d'autoroute, tout cela vous abattait aussi sèccement qu'un coup de feu en pleine tronche, mais abandonné de votre idée, vous n'en gardiez aucun souvenir.
Ainsi de nouveau larve, il était simpe du berceau de vous faire venir au biberon. Lait plein d'indices sensoriels qui orientait le germe de vie dans le sens convenu. La vie se sculptait par ses propres choix, l'idée s'implantait dans le noyau. Les poussins choisissaient simplement de ne pas déployer leurs aîles, involution darwinique surprenante: de se faire poulet.
- Car la mangeoire drainée par le réseau autoroutié de champs arrosés méthodiquement de calculs miligramés vérifiés par l'oeil morne d'une armée en batterie d'enfants mathématiquement dressés au sortir du berceau, de tuteurs métaliques, bras mécaniques vissés sur des rails de métro parcourant le dédale grillagé de droites infinis comme le sont découpées les cartes américaines. -
La mangeoire ainsi drainée était mieux garnie que le monde sauvage, dépossédé de sa force vive, s'étendait désormais aussi loin que l'on pouvait voir comme un désert, lentement couvert de rails, drains, et champs.
Soit nous avions achevé de transformer notre nature, soit s'était-elle éloignée aussi loin hors de notre vue, afin de piéger l'infection comme par un siège de guerre, condamnée à bouffer sa propre vermine jusqu'à disparaître. Ou bien la rédition.
Oui, la nature était loin, au-delà de l'horizon, et elle avait lancé quelques taupes dans le bastion du mal, pour y laisser une chance de salut. Soit que la vie retrouve son coeur et naisse encore sauvage, se couvrant de troncs centenaires et de caciques aux yeux vieux de mille ans, et aux sens et coeurs jeunes d'immortel. Soit qu'elle crève là isolée et folle, tâche de sang vile sur un désert de sel.
Agonisant de soi, mangeant sa semence, ses mains, ses pieds, tranche après tranche, ressérée au tronc, un bras amenant gratté par les ongles ses dernières rations de chaire à la bouche aux lèvres déjà dévorés, enfint la mort. - (Vision terrible de la mère monniale apparue en prière).
Nous n'en étions pas là quand même c'était proche. Les taupes de vies toutes orphelines pour ne pas risquer de contaminer le monde sauvage au-delà du désert, - par effet miroitant de l'eau sur toute sa longueure -, n'avaient d'autre choix que de prendre pouvoir au chateau, et d'y rendre par ce qu'elles étaient la nature première, sinon elles disparaitraient avec ce raté de monde, le lien qui les unissait avec l'au-delà avait été rompu par précaution, mais la vision qu'ils en gardaient était authentique, et ce lien orphelin s'agrégeait naturellement avec celui de leurs alliés-frères et soeurs pour parler sôtement. Ils prendraient le monde ou crèveraient avec.
Auteur : Connard
Posté le (26/11/21)
Titre : logiquement
masse-tube > ration
J'ai faim, de quoi ? De quelque chose à manger comme le veut la définition d'avoir faim : besoin de manger : ingérer de la nourriture : pourriture ingérable : comestible : se mange : indicatif présent 1,3 : chiffre : un des dix premières valeurs de comptabilité : emploi du temps ou de con : sexe : x : poisson grecque à caractère divin et inconnu : à rechercher ou introuvable
Cherchons donc ensemble, en notant tout, dans le réseau, qui s'évanouit.
Et en prenant à chaque intersexion un chemin au pif
qui aboutiera au cimetière, un nom bien compliqué, et deux numéros.
D'une naissance.
33-08 se nommait Paul, il eu pour parents 19** et 20**
Cherchez à comprendre s'il vous plait, j'ai faim.
le dernier est nul mais les deux autres sont bien meilleurs que la plupart des votres, seulement vous avez pas laisser le temps au reste de l'histoire de se mettre en place. En même temps je vous en remercie parceque comme ça transparait dans le dernier bien que ce soit le plus mauvais, ce n'est pas le lieu pour écrire de la sorte.
Tu vas encore rien comprendre à cque je dis n'est ce pas. Allez fais pas l'idiot
Tu vas encore rien comprendre à cque je dis n'est ce pas.Écris en russe, on comprendra peut être mieux.
tape tape tape tape
c le plus grand poeme de tout les temps jespere qu'on s'en rendra compte putin de boatpeople
Voici de quoi maintenir un peu je l'espère le parafoutre zonard.
Le texte n'est pas terminé, merci de ne pas le supprimer de mon seul éditeur de texte avant que je ne précise cela caduque.
princeptualisationnanale
Une petite princesse de village, chinoise. Elle se met des boules mignonnes de geïsha dans la chatte, ou le cul, voir les deux, c'est selon.
Elle a rendez-vous au conseil des mandarins et des poirettes -gentilles femmes de son genre-
Dans un patio de pagode au camp entouré de tentes mongoles, elle s'assoit sur un petit oreiller de paille couverte de laine traissée, aux nattes de crin pendantes. C'est une demoiselle souveraine du nord-est, toute habillée de peau et fourrure chassée.
Ils boivent le thé. Dehors les chevaux paissent et dorment à l'étable de grands chassis en tronc tendus de tapis de cuir de vache, ou mangent du foin.
C'est là-bas traditionnel, les mères l'enseignent aux filles. "Vais-je aux chiottes" dit-elle simplement à l'hôte, -faites, c'est à gauche après la viande sèche et les lapins en cage- répond-il.
Elle s'enfonce imperceptiblement la boule par un mouvement des cuisses et la main derrière la hanche, faisant mine de tenir la ceinture, allonge le majeur à l'abris de sa croupe, et tendu doucement renfonce la balle qui menaçait de glisser dans la culotte. C'est une culotte de soie tissée par les vers. Une fois bien dedans elle pourrait sprinter, monter à cheval. Ça monte et descend dedans, le cul fermé, elle va d'une démarche ivre -des volutes du feu, du thé bu de mystère, de ce qui loge en elle-
La cheminée brûle vive, alimentée avec soin par deux frères ou cousins qui ne participent pas au conseil mais ne s'occupent que de la braise, ils fument une viande quand cela leur chante, ils mettent aussi au foyer des essences de leur connaissance ramassées tout au long des saisons et sentiers passés, qu'ils gardent à l'arrière de leurs roulottes ou qu'ils jettent par tas dans des cabanes négligées sur la route, cela n'a l'air que de branchages, riches de mystère.
Ils sont assis à même la terre creusée à force de leur cul comme un sofa, des rondins de bois font table ou tabourets très à propos. Elle les envie mais celà n'est pas sa charge.
Eh bande d'enculés il est où le recueil de textes courts que j'étais en train de pondre ?Hey, Dugland, s'il n'est pas dans ton cul, d'où il n'aurait jamais dû sortir, il est peut être (grâce à l'immense mansuétude d'un admin) dans ta boîte à mp, ça aurait valu le coup de vérifier avant de braire comme un âne qu'on émascule.
JE ME SUIS DONNÉ DU MAL POUR l'ÉCRIRE ET J'AI PAS DE COPIE WORD BORDEL !
Eh bande d'enculés il est où le recueil de textes courts que j'étais en train de pondre ?Hey, Dugland, s'il n'est pas dans ton cul, d'où il n'aurait jamais dû sortir, il est peut être (grâce à l'immense mansuétude d'un admin) dans ta boîte à mp, ça aurait valu le coup de vérifier avant de braire comme un âne qu'on émascule.
JE ME SUIS DONNÉ DU MAL POUR l'ÉCRIRE ET J'AI PAS DE COPIE WORD BORDEL !
Pour rappel : le site n'a pas vocation à servir de traitement de texte personnel, les textes proposés à la publication doivent être achevés. On a autre chose à foutre que gérer un stock de brouillons et guetter le feu vert des auteurs avant de les publier.
Bien vue mec t’es trop fort et intelligent 😎
😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
Tu crois en restant sur ce site tu vas devenir quel qu’un exceptionnel???
Tu crois vraiment que en écoutant un gars qui parle de sa vision de choses et qui reflète ces pensées sataniques sur vous vas vous aider???
Seul l’amour aide
Et le vrai amour ce trouve en vous
Et il est liée à l’âme
Par le pacte que vous faite avec le dieu si vous l’acceptez
Et c’est qui dieu ?
C’est simplement ☦️
A la place de vous réconforter au près de l’homme ou de ce machin satanique
Avez vous déjà essayer l’option la plus simple et gratuite
L’option qui a sauvé le monde et les vies
L’option qui a soigné nourrir et aider des personnes dans des difficultés les absurdes ?
Une option ???
Non un choix
Dieu m’a sauvé
Dieu m’a nourris
Dieu m’a laver de me pêcher
Dieu m’a donner une seconde vie
Et mon devoir est de sauvé mes frères et sœurs
Comme il m’a sauvé
Alors pas convaincu??
Lit en bas 👇
Prie dieu avec ton cœur même s’il est souffrant
Même si t’es condition ne le permette pas
Même si cela peut être interprété comme mais comme c’est possible ???
Tout est possible avec dieu et ta volonté
Tout
Le bonheur est synonyme à dieu comme l’amour
Tu veux vraiment devenir un vieux mouton noir ??? T’es pas un rebelle mon pote
Tu restes un mouton sauf que t’as changé de couleur
Et que ce gars là remplace le terme de mouton noir par rebelle
Svp s’il y a encore des personnes qui veulent un minimum de paix en eu
Prie dieu
La clé Da la prière est simple
C’eût que tu demande à dieu faut que sa vienne de ton cœur et que tu le pense ouvre ton cœur à dieu pour que tu sois guérie de ton fardeau
Tu arriveras personne ne meurt souffrant en croyant en dieu 😇☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️☦️