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Ça y est, j'y suis. Décidément. Quel vil salaud de base. Qu'on m'attache et me fasse lire du Lévy jusqu'à plus d'âme. Tout a été checké, approuvé, rectifié.

ta race de puant.

Tu l'as supprimé ? Car je n'ai reçu qu'un joyeux mail de paix et de reconnaissance qui disait "va crever connard". Ça tombe, j'ai justement tout un stock de tabourets disons très cheap et de cordes solides.

Dear Dourak, merci  infiniment pour cette réponse longue et concise. Je me demandais, justement, pourquoi mon rang de troisième place en attente avait chuté depuis la nuit dernière. Désormais tout s'éclair, s'illumine, et n'est que pure merveille qui brille.

A l'époque de ce texte il y avait une suite logique qui depuis a été écrite. Du coup, et à juste titre, patientons que je poste le reste avant de valider quoi que ce soit aux fins de réunir les deux parties. Je pense que ça sera nettement meilleur comme ça. A indifférer, certes, mais plus longuement.

Notons quand même que le titre de cette...heu, nouvelle..., est "cher journal", et que par simple principe de causalité, il y aura manifestement tout un tas de suites à la fin de chaque bribes (où encore une fois, je m'efforcerai d'en réunir un maximum pour que le machin est de la quantité.). Si je ne meurs pas dans d'atroces souffrances d'ici là. Même si c'est tout le bien que je me souhaite.

Bref, mea culpa.

Ton duel, tu peux sauvagement te l'insérer dans l'orifice comme une jeune fille de l'Est à la fleur de l'âge. Avec des tessons de bouteille. GORET.

OK. Je lis tous ces messages d'amour et dores et déjà tout ça se bouscule et s'émoustille dans mon slibar poches-couilles. Je lis tous ces putains de messages et je comprends. Je comprends qu'aujourd'hui le zonard moyen c'est un employé de mairie avec un piercing et un tatouage maori, qui regarde les films porno de Canal + en essayant de coller le sex toy qu'il a offert à sa femme sur le catalogue de La Redoute dans le cul de son chien... On en est pratiquement là.

EDIT : Et putain faites-moi le plaisir de valider mon putain de texte entre deux tontes de putain de pelouses.

@Carc l'escrocsounours : Doux jésus... Je pense pour ma part qu'il est fort dommage qu'un secteur comme la Zone, potentiellement aussi dynamique, soit entre les mains de gus primaires dans ton foutu genre. De nazes, de vauriens et de pisse-copies frappés de myopie et d'apathie, bouffis de satisfaction, vraisemblablement confits dans un marais de médiocrité stagnante. Sans causer des insultes dont tu as eu la bassesse de balancer il y a de ça quelques lunes. Sourire.... Espèce d'alevin asphyxié .

C'est pondu, Le Duc. Trente-et-un textes en attente, ma bribe étant la trente et unième. Dur...

Chose inéluctablement trop subtile pour cet escroc de bois blanc de Carc. En passant, dans le mot -leurrer- il y a deux syllabes, soit le double de son pseudo qui, en vérité, est la plus belle daube qui n'aie jamais été chié entre deux sandales.

BAC A SABLE, c'est un beau titre.

Disons-le tout net, un amas de grains grippe la mécanique. La parfaite symétrie de mes prémolaires grince encore à la lecture de certain texte. Ma parole, j'aime à penser que certain puceau lettré chauve aux yeux verts ont un plan B. Dieu m'est témoin que tout cette puanteur va s'aérer !...

BAC A SABLE donc, on me demande de me présenter... ça me va.
Comment dire non à un forum qui vous veut, c'est si rare, surtout avec un gentil respect à la clef...
Mais je m'emballe, je m'excite.
Me calmer, donc, ne plus déraper et attendre qu'on me jette quelques miettes...
La colère qui se répète, ça tourne au fond de commerce, je ne vais pas devenir le Jean-Pierre Coffe du politiquement incorrect, le monsieur "c'est d'la merde" du pamphlet.

Je m'appelle Oussama-Joseph-Maximilien...
Non, ça part encore trop brutal. Je m'appelle... Robert, c'est mieux, plus personne ne s'appelle Robert aujourd'hui, ça fait français.
Je m'appelle Robert et je suis au bout du rouleau.
Littéralement causant, j'ai fait un bon bout du chemin : donné dans le pathos, la fiction, la sodomie même, histoire de ne pas me mettre en même temps toutes les communautés à dos...

Si aujourd'hui j'ai le sombre désir d'intégrer la zone, c'est que comme vous une odeur de mort rôde autour de moi, une odeur de mort de l'âme et de mort sociale, tandis que je m'échine à décoder le réel pour ne pas faire que subir et l'avoir dans le cul.