Quand je vois ton doux visage tordu de douleur disparaître dans la gueule de cette peluche rouge,
ta peau blanche de terreur se plisser sous les crocs invisibles mais bien réels de cette bête immonde,
j'avoue, je suis pris de pitié, j'ai envie de te sauver,
de plonger dans l'écran, t'arracher à ce gros ras couvert de sang humain.
J'ai ôté ma cravate, me voilà maintenant.
N'ai pas peur, je suis là
Moi, Le Dieu Re: