La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

Textes rejetés

Démarré par nihil, Juin 21, 2007, 16:25:18

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lapinchien

j'ai déjà publié de pire bouses sur ce site, souvent c'étaient mes propres textes. Ils collaient encore moins à la ligne éditoriale du site. Cela dit chaque admin publicateur publie un texte ou le refuse en son âme et conscience sans avoir à se justifier.

Lourdes Phalanges

Après concertation, les admins ont décidé de recycler ces deux foutages de gueule. Quand on trolle, on s'applique.
« Allons bon ! s'écria Socrate ; nous étions à la recherche d'une vertu : en voici tout un essaim ! »

Lourdes Phalanges

Poètroll pas drôle et pas dans la ligne du parti :

Mon premier poème
Le 05/06/2017
par Axel Perhirin




Je t'ai croisé à un coin de rue

le regard un peu perdu

Moi qui attendait souvent regardant le ciel

Tu es venue tel un ange descendue du ciel

Je t'ai regardé et tout à coup mon cœur s'est embrasé

Toi qui n'accompagnait que des pauvres cinglés

j'étais la pour te protégé

le cœur serré, tu m'as rejeté parmis des amours oublié

Toi qui voulait gagné as tu compris tout ce que j'avais traversé

Depuis ce temps je pense à celui que tu ne peux cesser de penser

celui qui t'as apprivoisé et qui t'as laissé parmis les âmes déchaînés

Tu auras tout pris de mon cœur et tu m'as laissé que la froideur

et la noirceur tel un détraqueur

Maintenant je m'en vais telle une hirondelle traversant le ciel
« Allons bon ! s'écria Socrate ; nous étions à la recherche d'une vertu : en voici tout un essaim ! »

lapinchien

#TDM de base cependant totalement HS dev personnel

Cuddle

[Saint-Con 2019] Noël à la Saint Con
Le 20/05/2018
par pascal dandois


Kevin Mongolo, 12 ans et demi en avait marre des cadeaux qu'il trouvait « de merde » que lui amène chaque année le père Noël. Ce soir-là ( je vous raconte cet espèce de conte bien qu'il soit en quelque sorte hors saison et que je ne sais même pas, d'ailleurs, si je suis encore dans les dates de la Saint Con, ce dont je doute, mais l'inspiration ça vient comme ça peut, on fera ce qu'on veut de ce pauvre texte, peut-être un épilogue à la Saint Con, à moins qu'on le garde pour l'année prochaine de toute façon c'est pas grave, j'aurais pas gagner), la nuit du 24 au 25 décembre, il avait décidé, pour se venger de papa-Noël, malgré la température agréable (avec le réchauffement climatique vous savez bien qu'il n'y a plus de saisons), d'allumer la cheminée justement pour que le vieux barbu se crame le cul, et ainsi lui donner une bonne leçon (car ça le faisait vraiment chier les livres avec plein d'écriture dessus qu'il recevait à Noël, il avait jamais que ça) Kevin en rigolait d'avance en imaginant l'homme en rouge avec le feu au derrière. Mais cet abruti de Kevin Mongolo était, comme son nom l'indique, bien incapable d'allumer un feu proprement, il a lâché le papier journal et les allumettes allumés en se brulant les doigts, et hop ! voila que ça fout le feu au tapis puis à son falzar, sa chemise ses cheveux etc. le voilà, en feu, qui court, en gueulant et en foutant le feu à toute la baraque, toute sa famille, toute la ville, à tout l'univers... que c'est con !
J'aime pas ta gueule.

lapinchien

la polémique n'est pas loin

Dourak Smerdiakov

Oui, parce que ça nous faisait deux participants pour la Saint-Con 2019 avec celle de HK déjà publiée. Là, virtuellement, HaiKulysse est Grand Inquisiteur avec un texte naze.
Pour le débat citoyen et convivial dans le respect indivisiblement démocratique de la diversité multi-culturelle des valeurs républicaines oecuméniques.

Cuddle

En même temps faut avouer que c'était de la grosse merde ce truc
J'aime pas ta gueule.

Lunatik

Titre : Tous les jours
Auteur : Connard
Date de soumission : 1er mai 2021

Motifs du rejet : hormis les deux premières phrases, indubitablement pertinentes, ce texte est putain d'imbitable, mal écrit, bourré de fautes, et les petits relents nazillons, n'en déplaise à Esther, dictent obligeamment à cette bouse la voie à suivre : direction la benne à ordures.

CitationLa saint con est une invention prodigieuse, c'est la plus grande idée de l'époque. Le crasseux que je suis n'est pas à la hauteur. Mais ce texte volé et copié d'une machine restée anonyme et dont le propriétaire est peut-être mort vousconviendra sans doute; S'il en est autrement c'est que vous savez pas lire ou que vous êtes le plus grand génie de tout le monde entier et qu'il faut que vous nous guidiez, pauvres pêcheurs summum ec perditur.

On me demandait un texte sur un con, ou plutôt pour brûler un con. En d'autres mots du papier, mais le papier de mes cahiers étant blanchi et tracé de lignes d'encre, bien que venant du bois cela me posait un problème d'ordre écologique. Et le logo certifiant l'origine de forêts durablement gérées, le même que celui sur le papier toilette, ne suffisait pas à me rassurer sur le bon comportement à adopter dans cette situation.
  Enfin il m'était clairement demandé un texte, je ne pouvais pas simplement balancer quelques feuilles en guise d'allume-feu et laisser au hasard des allés, venus et des passants de se débrouiller avec pour bûcher et griller un con. Bien que n'importe qui aurait fait l'affaire, il y a mathématiquement une telle proportion de merde putréfiante et cousin germain par nature de cette espèce ; le con à l'état sociétale est endémique, et à prendre au hasard quelqu'un on peut être sûr que : s'il n'est con c'est un enculé, et qu'est ce qu'un enculé dans une ville de con ? Un trou à merde. Car en effet le seul outil capable de changer la fonction du cul, pour un temps, ne fait pas partie de l'arsenal des cons. Donc l'enculé, cousin germinal du con, en est si proche à tout points de vue qu'en les croisant on peut être aisément sûr d'obtenir une espèce viable et reproductible.
Pourquoi faire me direz-vous ? Un autodafé à l'huile de con, cela évitera le problème des forêts, et pour ce qui est de la merde, la sagesse mongole nous apprend que celle du troupeau alimentera le foyer de la yourte au plus froid des hivers steppiques. Cela fera donc bien l'affaire pour cramer un quoi-que-qui-qu-qu'-q-q-qu- Con !
  Peut-être faudra-t-il la faire sécher ?

Soudain m'apparut que le texte demandé serait envoyé par fibre optique et décryptage informatique. C'était donc peine perdue, je ne maîtrisais pas les centrales à charbon chinois chargés par leur combustion et fission de refroidir les données cérébrales générées de par le monde. Était-ce donc en pointant l'idiot du doigt que je pourrai le brûler? Sur un tas de travailleurs bridés.
  La nature miraculeusement m'enseigne que par un matériel non combustible tel que l'électronique je puis atteindre aux sources du feu sur terre dont le centre névralgique s'est récemment déplacé de Dashau à Datong en Asie centrale non loin du Xinjiang et de ses bons Ouïgours qui parait-il jouent au ping-pong avec leurs dents en attendant de devenir chinois, et cela m'arrangeait !
  Car il me manquait déjà un bouton à mon manteau et je me rationnais aussi dans l'utilisation du savon, n'ayant presque plus aucun ancêtre à mettre au feu pour en extraire la graisse nécessaire, mais passons sur les explications d'ordre scientifique ; j'étais au moins sûr avec ce charbon de Datong que lorsque la fumée m'arriverait aux narines, il ne se trouverait plus personne pour savoir quelle en était l'origine.

  Voilà un problème de résolu pensais-je bienheureux, mais l'on sonna. C'était sans doute le livreur de justeat. D'instinct je jetais un œil sur mon téléphone pour voir l'heure qu'il était, et si je pouvais me faire rembourser. C'est alors que l'oracle braqué sur ma rétine me notifia quelque chose :
  « Le président impose le couvre-feu à partir de 19heure. »
L'ennuie c'est qu'il était dix-neuf heure passé. La sonnette sonna encore, « Ah ça ! » dis-je tout haut. J'étais habitué depuis quelques temps à ce que les applications de mon téléphone m'appellent président, et observent mes décrets avec obligeance et admiration, ça ne me choquait donc pas que la porte du poulailler soit close à la nuit tombée. « C'est le livreur ! » cria dehors, et il s'agaçait sur la sonnette. « Ah ça ! » répétais-je avec emportement.
  J'allais pour ouvrir, la porte donnait sur celle de la cuisine, ma belle cuisine nickelle, passée à la javel, aux couteaux aiguisés aimantés sur le mur. J'ouvris, le malappris avait un masque ! Il ne parlait même pas français, sale race ! Je ne me fit pas prier, j'empoignais le sac en carton d'une main, l'homme au collet de l'autre, les entraînant dans la cuisine et sur le sol, je me saisis dans la bagarre du couteau à égorger les porcs, et savez-vous ce qu'il me dit ? « Allah Wakbar » ou quelque chose du genre, ça sonnait entre le pakistanais et l'africain non lettré, c'était indéfinissable, enfin il priait dieu quoi, ou sa mère. « Un terroriste en plus ! » triomphai-je.Et Shlack ! Shlasse ! Shize ! De la merde rouge giclait partout sur les carreaux blancs. Les couteaux parlent une langue germanique, leur acier clair comme les yeux bleus d'Esther aux nattes blondes, et l'opale rosée de ses joues.

  Sur ce je retournais satisfait à mon bureau, content d'avoir trouvé la matière première au brûlât d'un sale con, sans dépenser ni rogner sur le budget carbone de la terre. J'avais certes le bois, mais il me fallait l'homme.
  La saint-con n'était pas une mince affaire, l'oracle me l'avait sommé, en plus de quoi il y mêlait sa sainteté ; au commencement était le verbe pensais-je presque désœuvré et pourtant solennel. Faudrait-il que l'encens de ce sacrifice atteigne au divin. Il fallait donc que le con soit bon, du moins que cela sente. La femme sent, bon. Mais c'était hors de question, car le con n'en a pas.Et puis de plus par suite d'un épisode métalogique exceptionnel toutes les femmes de cette ville avaient perdu leur enveloppe charnelle ce qui acheva tout à fait de barrer cette piste odorable, car en fait sans odeur.
& sans viande pas de sacrifice.
  Las, j'appuyai mon menton à la paume de la main dans la pose délicieuse du penseur de Rodin, mirant dans le miroir, & me délectant de, mon athénienne charpente.
  « Robin ! Mais bien sûr ! » exultai-je, c'était un des hommes les plus cons qu'il m'ait été permit de connaître, un idiot parmi les idiots, brillant ! Il sentait le cochon de lait, franchement qui n'aime pas ça ? Et c'était un de mes meilleurs amis, aisé donc de le faire monter de gré sur le bûcher.
Le con n'y verrait que du feu.

  Dois-je vous décrire l'âme de ce garçon ? Il vivait dans le tronc mort d'un arbre, probablement un chêne, mais peut-être un sapin. Avec sa mère, une photo de sa demi-sœur encaillée se déplaçait sur les murs, ils dînaient à table posée sur le corps, cadavre de son beau-père à qui ils parlaient parfois, à qui ils donnaient un peu de leur assiette. Et quoi ? Me direz-vous, cela fait-il un con ? Non, naturellement.
  Il copulait avec sa mère. Oh !?
  Sur la table du mort. Ah ! Mais c'est horrible!     Mais encore, cela ne fait pas un con.
  Parfois il racontait à son beau-père ce qu'elle et lui faisaient, à peine ressortit d'elle et avec le même naturel que s'il parlait d'une omelette ou du temps qu'il fait. C'est un fou ! Mais ça ne fait toujours pas un con.
  Une fois il m'a dit qu'il couchait dans le lit de sa sœur et alors que je lui fit remarquer qu'ils en auraient des enfants, il s'outra et gueula que j'étais dégueulasse.     Vraiment ?
Oui, en fait il ne sait pas ce qu'il fait, ses yeux sont clos.   Tu dis ?
Il est encore aveugle, pourtant déjà adulte.  Ah ! C'est un con !   Oui comme je vous le dis.   
Brûle-le !
Certainement.

  Saisi de vigueur je m'élançai dans le couloir, une odeur de riz au poulet m'arrêta, c'était le corps du feu qui puait déjà sur le carrelage. Combien de temps avait passé ? Pour que l'œuvre soit complète, je me devais de brûler l'homme sur ce bois là. Dans mon emportement je rompais à la hâte les articulations à la force de mes bras, j'espérais ainsi emporter un paquet de cinq ou six bouts, mais la chaire résistait, enfin à l'aide de mon beau couteau j'ai sectionné les tendons, les nerfs, que sais-je d'autre, toutes ces petites choses qui résistent et que n'importe quel manuel de boucherie vous expliquerai dans le détail. C'est dans un grand sac Lidl que j'emportais mon bois des Indes. Comme c'était un peu lourd je l'ai mis dans le premier caddie que j'ai trouvé, c'est plein de roms par chez moi, c'est donc aussi plein de caddies. Savez-vous ce que c'est qu'un caddie ? Le nom de la marque est étrange, ça vient pas de chez nous, mais en soit : c'est une grille sur quatre roues.

  C'est donc au volant de ma Cadillac que j'emmenai mon tas de bûches à développement local et durable dans le bois, non loin du lac, à la souche de mon con à flamber.
  Mais il n'était pas là ce fils de pute.
Soudain je me réalisai être en plein Nantes avec un tas de mort sur les bras, et à l'heure du couvre-feu. Je me senti un peu mal.

  Un clochard s'approcha, me demander du feu. J'en avais pas et j'en cherchai, mais il me regarda comme si je mentais. Au lieu de s'en aller il me fixa avec ces yeux profonds comme ont les vieux à l'état sauvage. Alors en un éclair je compris ce que c'était. J'ouvris grand mon sac et le vidais avec cérémonie sur le trottoir, préparant là un bûcher pour les siècles à venir. Le vieux n'en fût pas surpris, il m'aida à porter et agencer tout cela au mieux. Et tout était parfaitement bien mis, il ne nous manquait plus qu'un briquet « Et le con ! » éclatais-je soudain un sanglot dans la voix.
  D'où venait cette faiblesse, suis-je une fiotte ? D'un coup de poing j'étalais le type sur le tas de membres. Empoignant une jambe ou un bras mort, je le fracassai contre sa tête, continuant ainsi jusqu'à ce que ce ne fût que de la bouillie. Pas besoin de démembrer celui-ci, je jetais simplement son gras sur le tas déjà là, et ça faisait bien, une pointe de couleur blanche c'était, presque jolie.
  Heureusement qu'il n'y a personne pensais-je bien tranquille.
Je m'assied sur les morts, encore une fois dans la pause du penseur, résolument j'attendais mon con suprême et admirable. Il ne vint jamais, le jour par contre, et avec ça les gens, puis la police. Ils m'ont menotté, ils m'emmènent. Que vont-ils faire, me pendre ? On ne tue plus les gens aujourd'hui, peut-être m'enfermer, oui c'est ça on enferme aujourd'hui.

  « Monsieur ? » « Monsieur ! » - Hein ? Eu, Oouui !? « Vous pensez vraiment ce que vous dites ? »
- Eh bien, oui.
«  Vraiment  vraiment ?! Ça s'est passé comme ça ? »
- Ah oui, bien sûr.
  Elle se tourna vers un gros homme en blanc, ou peut-être bleu pâle « Emmenez-le »
Ça n'était pas l'habit d'un bourreau qui abat. - Où m'emmène-t-on ?
« À l'asile » entendis-je, mais elle ne s'adressait pas directement à moi, elle parlait à son associé, apprenti, quoiquecesoit jenesaisqui, et continua :
« On l'a trouvé assis sur un tas d'ordure en plein carrefour à midi et buvant une bouteille vide, abruti de soleil ; tu as vu comme ça tape cet été ? Il parlait tout haut tout seul apparemment et ne voulait descendre sans que quelqu'un ne le remplace. » « Qui ? » « Saint-con »
« Pourquoi l'arrêter ? Y'en a des tonnes comme lui. » «
« C'est vrai, mais il bloquait le passage avec son tas d'ordures. » « Tu penses ? » « Sûrement »
« Et les poubelles ? » « Les éboueurs s'en chargent. »
  J'entendis pas la fin, mais avant de tourner au bout du couloir je gueulai comme un dingue :
- Vous dites qu'on m'a trouvé, mais qui m'a trouvé ? Je vous demande : Qui !?

  Et puis c'est tout, le garçon en blanc m'a donné à d'autres gens en blanc qui m'ont assis et donné de la purée avec des tranquillisants puis je me suis calé confortablement devant la télé, qui diffusait une énième retransmission de l'histoire de Saint Antoine de Padoue.
  C'est entre deux pubs pour des gâteaux bios et des voitures électriques.
Apparemment chez « Lu » et depuis plus d'un siècle : on prend soin de la terre et des agriculteurs, nos céréales sont cultivés en France et acheminés par camions roulant au bio-gaz jusqu'à l'usine de transformation. Chez « Lu », on prend soin de nos enfants et de notre avenir.
- Mais c'est qui « On » ? Putin !
J'ai dit ça à voix haute, mon voisin de table qui se battait avec son jeu de pilules a tenté d'émettre une hypothèse, du moins d'entamer un dialogue :
« Qu'Qu,Qu'...Quq;q : Quoi ? »                                  - C'est qui : On ?
« Qu 'Qu,Qu'qu... Qui ?! »                         -Bordel ! Mais t'es complètement con !
«  Que,que'que;qu ;..qque : Con ! Oui c'est ça, que des cons, dis moi quand est-ce que tu vas t'en rendre compte mon pauvre ami. » dit-il enfin d'un ton limpide et linéaire.
  Sur ce une femme de blanc vêtue et à la bouche toute rouge entra, me poussa l'air de rien jusqu'à ce que je veuille bien la baiser avec ma bite métalogique parfaitement adaptée à la forme évasée de sa croupe, s'en retourna ma semence au fond d'elle.
  Je m'adressai à mon nouvel ami : - T'as vu ça ?
« Qu'qu-qu_Qu,..Qu'q' Quoi ? »
Putin cette fois-ci c'en est trop, je vais me le faire celui-là, il a bien la gueule d'un saint, complètement niais, complètement con ! J'avais qu'un briquet en poche mais vu l'état du légume ça devait suffire. J'allume donc la flamme sous son pif, une bonne minute avant qu'il se mette à geindre, je lui ai foutu son tee-shirt bien au fond de la gorge, ça faisait comme le chiffon d'un cocktail Molotov, ça a bien prit. À partir de là les cheveux, le visage, tout s'est mit à fondre, on l'entendait encore caqueter sous le mélange visqueux de dents, de langue, et de tissu poly-éthy'que qu ? Et puis merde ! Que c'est rien que du pétrole de toute façon. Habillez-vous autrement si vous voulez pas cramer bande de bâtards !
  Un petit attroupement s'était formé autour du feu de Bengale déjà méconnaissable si bien que ma seule faute lorsque l'autorité se présenta fût d'avoir foutu le feu et le dawa dans toute la cantine. Et puisque j'étais fou, on dirait que c'est sinon normal des choses qui arrivent.
  On m'a remit dans la chambre et maintenant celle qui m'amène mon plateau me fait les poches, faudrait pas brûler tout le quartier.

  J'en suis à trois, sans compter ceux qui s'immolent à la force du verbe.

Joyeuse Saint-Con à Tous.

                                                              ~ Ô saint Antoine, le plus gentil des saints, ton amour de Dieu et de ses créatures t'a valu, sur cette terre, des pouvoirs miraculeux. Je t'implore d'intercéder en ma faveur. Murmure ma demande aux oreilles du doux Enfant-Jésus, qui aimait se blottir dans tes bras...(exprimez votre demande)             Ô saint Antoine, saint des miracles, dont le cœur était rempli de compassion humaine, je t'en prie, exauce ma prière et je te serai reconnaissant pour toujours.                   
                                                                                                          Amen    ~

CitationMessage complémentaire de l'auteur : nnananananananananèèèèreeeee lalalalalal

El Dégueulis

Je me demande si Connard et Théo sont de la même famille.
¡Muerte a todos los traidores golpistas! ¡El fuego del Dégueulis os quemara! ¡Os quemara todos, viles sinvergüenzas!

Dourak Smerdiakov

un petit texte in englitch
Le 31/05/2021
par Jizii

Commentaire : si on publiait ça, je ne verrais aucune raison objective de refuser les contributions des bots. Foutage de gueule ? Drogue ?

CitationVoici un résumé de ma lif lisez bien avec attention vous pouvez y découvrir la vérité ou des banalitéx des mensonges et des mirages hihihi bonne soirée à tous ou belle maitnée à bientôt j'espère on se revoit dans l'au-delà je vais jouer du violion en enfer merci bonsouère pute))
partying portraying blood
so I wasn't looking for fape
but you bundle yourself special for a chip
i wantthe cook rape me for you
sheets on my bloody shoulders
pure
punknet
nlankess kot
you should know let go
feezy us
abordin me
sualidy salvality
i've said uh
town novelish
true bleend
this wolrd's northeless nothingness culture torture
samish the pussy
now i gotta deal
a bazuk rup
when I'm snow
skin i can't for mask mind
neederland
in my bad dam den
i can't fuss my fu madx
matix
toute pense bonne
a bang rude
line invalid
my derm
j'en aura pas d'besoin
killin black for
i gettin bored
catchin for lease
monsters all the time
bad things in my mind
come back in everynacht
i don,t wanna see you restin on my napkin
bad thinks
stink in my hand
mind
land
hard
luz in my mind
grettin me strong
i see is won't
monsterize mad
shake in my mierda
i don,t wanna sake de mindsters
den cinkin
voicin
what i told
taught
prassing blog globe
so I wasn't lookin for no have
star aesthetic
wizzin cough
i think too much
mais c'est boi çca tabarnak
hostel bleeds
pouvez-vous aller chier nouys
blades
wiiz
no one in the gamer
made u
this honestich
drugstop
gucci rest
here i am revealed manoked
peteux doesn't look like rimer à rien
nastiest
seventryfour
seventyfour
tapeur
pussecret
goodbye luke skywerner
are u revealable
now
maybe

a
motel
tu m'fais des brofist ses oeils
tas les bras qui t'allongent
drawing
drwaing
perdre dans le sassy je M,astine
pointe à callicoumbayay
I'm coming home
she call me big nanny
roujalav
je reparle à Valdy

pourquoi
si tu meurs
je veux pas que tu meurs
je vais être
unhippie
portez-vous bien
y m fait très vite
vaporizer
essuyer
rincer
queb table
tout cela n'est qu'une vulgaire mise en scène la réponse est tellement pourrie chaîne sympa top secret des emplois on fait partie des JT
rire des rares personnes le texts une sur deux pilules toxiques moment survivrait comment décorer il est assez évident pout moi a tape chez cette cultive
des casiers Jul
çca fait partie zic casser de notre dé wtf grippe ouf of merde oh merde oh tiens 6eme sens qui espèere des clopes heu aucun Bob il va s'suicider? quelle table right there you visit Yellowknife bip dope Bug youtube peu traditionnel derrièere un buro mouvementer tu penses aux trucs cool que tu vas faire au gamin déjàPhilippe É;licoptèere avec cheveux longs le partipant
Brice de Nice qui picore des miettes dans sa mains sur la route Chopping Dance
L,antidote est dans les glaçcon un homme a Été retroubé morts
À aucun moment
le propriétaire a cbien dire rien la vériter
en échjo jpeux dire un truc l'analyse allez saisi fast nous pas ta dégoûtée un serial killer oils ont pomme le tueur en deux mais aussitôt décidé décèede Jay pour remasteriser BiG notoriy
le tueur a empoisonné lame
[******* nom propre édité ******]
Pour le débat citoyen et convivial dans le respect indivisiblement démocratique de la diversité multi-culturelle des valeurs républicaines oecuméniques.

El Dégueulis

Cette citation de Sade décrit assez bien ce que je pense de ce texte :

"de ma vie je n'avais vu un tel étron, il remplissait à lui tout seul un très profond saladier, notre homme s'en empare, se couche avec lui sur le bord du lit, me présenta son cul, tout merdeux, et m'ordonna de le lui branler fortement pendant qu'il va faire subitement repasser dans ses entrailles, ce qu'il vient de dégorger"

Je suis hôtesse d'accueil si je veux,
Gopnik de mes deux,
J'avais mis un tailleur, des bas et du rouge à lèvres,
Si t'continue j'me fous en grèvre.
J'deviens chèvre.
Merdevre.
¡Muerte a todos los traidores golpistas! ¡El fuego del Dégueulis os quemara! ¡Os quemara todos, viles sinvergüenzas!

lapinchien

c'était peut être un TDM ?

El Dégueulis

¡Muerte a todos los traidores golpistas! ¡El fuego del Dégueulis os quemara! ¡Os quemara todos, viles sinvergüenzas!

Dourak Smerdiakov

Ah, j'ai complètement zappé cette possibilité, en effet. Reste que si les bots décident de participer aux semaines TDM également, on n'aura rien à leur objecter.
Pour le débat citoyen et convivial dans le respect indivisiblement démocratique de la diversité multi-culturelle des valeurs républicaines oecuméniques.