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La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

Le Clystère SM ! Première Partie.

Démarré par Dourak Smerdiakov, Février 26, 2015, 22:24:24

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Dourak Smerdiakov

Le Clystère SM ! Première Partie.
Posté le 25/02/2015
par NualCalZone-Up

CitationLe clystère est le nom anciennement donné au lavement, un traitement très fréquemment administré dans de nombreuses indications aux XVIIe et XVIIIe siècles. Par extension, il désigne aussi la grande seringue métallique, généralement en étain, utilisée à cet effet. La période XVIe XVIIe a pu être qualifiée d'« âge de l'étain ». « [...] L'instrument d'Ambroise Paré avait dû être rapidement remplacé par la canule recourbée. [...] C'est au XIXe siècle que se produira le dernier changement, lorsqu'on passera du système de piston, nécessitant une poussée manuelle, à celui de la pression, par l'élévation d'un bock [...]. » (Hervé Baudry).
Le terme clystérophilie désigne aujourd'hui une pratique liée à la scatophilie.
Source Wikipédia.

S.M., artiste handicapé, peintre de talent dans la tradition des impressionnistes, avait abandonné ce soir là ses pinceaux pour recevoir dans son appartement (Paris Sud XI) La Geisha des Seines Blondes. S'acoquinant à plusieurs reprises dans les coins sombres d'un Paris souterrain de type Haussmannien, et gangrenant de leurs vices tous ces bas-fonds, S.M. et la Dolente Geisha s'étaient rencontré dans un club libertin. S.M. s'était effondré comme les tours du Wall Trade Center un triste jour, fatigué de se tenir toujours debout sur ses deux jambes. Mais il gardait cette fougue qui ne le quittait jamais pour arpenter de nombreux quartiers inconnus, à la recherche d'un nouveau bordel. Ses tableaux étaient chargés d'indications occultes permettant de se repérer parmi les dédales parisiens et référençant ainsi tous ces maisons de passe.

Quant à la Geisha des Seines Blondes, elle aimait se coiffer du gazouillis de ces oiseaux de nuit, tombés dans l'escarcelle d'un Temps déchu de ses fonctions. Tombant en pluie sur sa tête échauffée de fantasmagories, le doux gazouillis de S.M. lui avait fait la cours dans les règles de l'art. Leur relation s'engagea sur les chemins à la fois boueux et burlesques du sadomasochisme lorsqu'ils apprirent à se connaître.

Dans leurs instruments de torture il y avait bien sûr la bougie, le fouet, la cravache mais aussi la cage et le berceau de Judas, et plus accessoirement le mutilateur de seins. La cave de S.M. avait été transformée en geôle où les pires atrocités se déroulaient ; Ce fut ainsi, après le dîner aux chandelles, que S.M. et la Geisha descendirent au sous-sol, euphoriques et exaltés à l'idée de se faire empaler par des outils qui n'étaient jamais nettoyés. Ils avaient hâte de tester aussi leur nouveau joujou : un clystère qui avait servi pour des actes chirurgicaux moyenâgeux, et qui allait être au centre cette nuit là de tous leurs délires. Par prudence, ils avaient quand même emmené une trousse à pharmacie pour soigner les bobos qui pouvaient être mortels...

A suivre !
CitationMessage complémentaire : D'autres épisodes sont à suivre ! Cette première partie de Clystère est consacré à la présentations des deux personnages ainsi qu'à leurs fantasmes un peu particuliers.


Bon, comme on n'est pas une plateforme de blogs, on publiera peut-être si un jour il y a un vrai texte. Un article de quatre paragraphe dont le premier est un copier-coller de wikipedia et dont le deuxième commence par une phrase pour laquelle Google renvoie des résultats, ça ne fait pas sérieux.

Et aussi si il y a une justification par rapport au fait que, là où j'ai substitué les initiales 'S.M.' partout dans le texte ci-dessus, il y avait dans le texte original les prénoms et noms complets d'une personne réelle (d'après Google, toujours). J'ai bien compris que les initiales donnaient SM, mais bon, mes maigres connaissances en droit et mes couilles atrophiées me suggèrent que ce texte n'en vaut pas  la peine.

Bref, soit Google est devenu autonome et cherche à devenir auteur sur la Zone au lieu de faire du fric comme ses papas, soit on se fout légèrement de notre gueule.
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