La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

Poèmes déguelasses

Démarré par El Dégueulis, Octobre 04, 2021, 00:46:23

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El Dégueulis

Dégueulouse.

En m'coupant les veines
Au bord d'la Seine
J'vois des rats boiteux
Suivre un clochard-moi-l'nœud.

Moignons tordus en dégueulis
Sur mon imaginaire honni !
Soit, qui mal y pens' ne nuit
Qu'à la mamelle de la truie.

Mais mon cochon qu'est-ce tu fous-là ?
C'est pas que j'veux t'virer mais moi,
J'ai des salopes à masturber
Et des phocidés à bouffer.

Moi mon cochon celle que j'préfère
C'est la guerr' de 14-18
Cell' mon côlon que j'voudrais fair
C'est l'118-218 !

Je versifaille avec mes tripes
En répandant le mauvais goût
Sur les abominhomm's des neiges

Je versifaille avec mes tripes
Et si je suis complèt'ment saoûl
C'est pas que je m'appell' Nadège !
¡Muerte a todos los traidores golpistas! ¡El fuego del Dégueulis os quemara! ¡Os quemara todos, viles sinvergüenzas!

El Dégueulis

#1
Les monstres chouettes chauvelus
Chevauchent les horticultrices,
Diaboliques traîtress' à tresses
Empalées sur le Grand Cornu !

L'homo sapiens, sapiens sapiens,
Plus savant que les savants-fous
Déverrouille les grott'd'calais
Où sont planquées les pyramides !

Y'a un perroquet qu'a l'hoquet
Et j'sais pas trop quoi lui fair' dire
Pour qu'y s'bouge un peu le derrière
Pendant que j'l'encule profond.

C'est pas de la zoophilie
C'est un traitement pelliculaire
Médical et pharmaceutique
Contr'un mal anaphylactique.

J'ai pas foutu son déplumage
Sur la liste de mes onguents
La colle galeus' sur ses ailes
N'est pas autre chos' qu'un macaque.

J'vois pas pourquoi j'versifierais
En rimant riche ou même pauvre
Viv' le vers libre sémaphore
Et l'écriture automatique.

J'ai pas l'temps d'penser à aut'chose
Et j'ai la plume un peu pétée
Mon cerveau s'est fait pirater
Par un enculé de dauphin.

Scaphandriers scolopendriques !
Ô astronautes sexologues !
Superpouvoirs et superflu,
J'invoque votre invocation !!!!!

!!!! !!!! !!!! !!!! !! !! !!!

J'suis pas l'premier à m'fair péter
Les côt's par un grand baraqué
Mais j'ai l'fumier qui fumigène
Et la rancune hyper tenace.

Alors m'sieur dam' le Grand Cornu
Je vous tire ma révérence
Et si il faut fellationner
Votre membre aux poils serpentants...

C'est avec plaisir, Ô Cornu
Que je lècherai vos morpions
En avalant votre nectar
Afin d'me remplir l'estomac.
¡Muerte a todos los traidores golpistas! ¡El fuego del Dégueulis os quemara! ¡Os quemara todos, viles sinvergüenzas!

El Dégueulis

Un dernier mot cependehant
Je suis un peu surexcité
J'crois qu'vous l'avez remarqué,
Car j'ai revu ma dulcinée,
Avec sa barbe et sa moustache.
Ah, que je t'aim' ma bien-aimée !

Ah, que je t'aim' ma bien aimée !

Ah, que je t'aim' ... Mais qu'est-c'que j'fous ?

J'ai révélé d'ma dulcinée
L'existence à des inconnus
Et j'ai pas trouvé d'autr' endroit
Que cet' putain de Zone morte !

Argle urgul urguhugul
Droukol Morgnol Dor Nargaroth
Zobi zobou Zob zbibouba
Uglukhhhhhh'kkk zbzbzbzbz !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
¡Muerte a todos los traidores golpistas! ¡El fuego del Dégueulis os quemara! ¡Os quemara todos, viles sinvergüenzas!

Fosard

Oh mon pouet ! Queue d'amour !

El Dégueulis

Dans le derrièr' de ta maman
J'ai rencontré Serge Oriflan
L'avait la queue qui f'sait coin-coin
En lui ramonant les recoins.

C'est cool, que j'me suis dit soudain,
En sortant de mon pantalon
Mon gland tout vibrant de ronrons
Comme un gros chat avec des mains.

L'avait l'anus anadyomène
Et les sphincters tout frétillants
À tour de rôle comme des flancs
Et moi j'étais énergumène.

L'avait l'anus ANADYOMÈNE
J'VOUS DIS BORDEL C'ÉTAIT RONFLANT
Comme un artilleur v'nu d'Athènes
Dansant sur un pont vacillant.

Alors mon gland, tout frémissant
S'est fendu d'un beau geyser blanc
Alors mon gland, tout frétillant
S'est fendu d'un beau jet brillant.

Et just'après j'me suis castré
Pour pas ruiner ce souvenir
Oui, juste après, j'me suis castré,
Pour devenir comme Mjölnir.
¡Muerte a todos los traidores golpistas! ¡El fuego del Dégueulis os quemara! ¡Os quemara todos, viles sinvergüenzas!

El Dégueulis

Les grands inquisiteurs ne sont
Aut' chose que des gens comm' les zôtes
Y z'ont des familles à nourrir
Mais le poulet n'est pas très bon.

LE POULET IL EST PAS TRÈS BON !
SONT PAS CONTENTS LES INQUISITS !
PAS COOL PAS GLO'P GLO GLOUGLOUGLOU
Pouet pouet. Mais le dernier Batman est naze.

Et chuis fatigué de parler.
Mais le dernier Batman est naze
Et si j'ai encore excrété
Un poème sur ce beau site

C'est juste que Dourak me manque
Il est passé dans l'trou du cul
De l'internet après l'avoir dilaté et préparé parfumé pour le coït ultime qui devait avoir lieu hier mais qui finalement
N'a pas eu lieu parce

Que Dourak a disparu
L'EST PARTI l'EST PARTI DOURAK
J'SUIS PAS CONSPIRATIIONANISTE
MAIS PEURKOI COMM'KI DIRAIT

JUSTEMENT QUAND TOUT VA MAL ?
L'EST où l'DOURAK ? Le GRAND Dourak. Le Gros, le Bon, l'OmnipoTENT !!!!!

J'ai perdu le fil de mes vers
Et chuis pas sûr de leur métrique.
Mais j'sais pour sûr, Ô grands SEIgneurs
Qu'le monde est un peu merluchon.
¡Muerte a todos los traidores golpistas! ¡El fuego del Dégueulis os quemara! ¡Os quemara todos, viles sinvergüenzas!

Dourak Smerdiakov

Pour le débat citoyen et convivial dans le respect indivisiblement démocratique de la diversité multi-culturelle des valeurs républicaines oecuméniques.


El Dégueulis

Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d'amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu'au cœur de son ourlet.

Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s'aller perdre où la pente les appelait.

Mon Rêve s'aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.

C'est l'olive pâmée, et la flûte câline,
C'est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !

Arthur Rimbaud
¡Muerte a todos los traidores golpistas! ¡El fuego del Dégueulis os quemara! ¡Os quemara todos, viles sinvergüenzas!

Dourak Smerdiakov

Pour le débat citoyen et convivial dans le respect indivisiblement démocratique de la diversité multi-culturelle des valeurs républicaines oecuméniques.

El Dégueulis

Dourak, Ô Smerdiakov,
Toi qui dans mon alcôve
Vins de mes rêves flous
Faire dresser les gnous !

Dourak, poète-pouët !
Chais pas si t'as des couettes,
Mais j'te les tirerais bien,
Pour te faire plein d'bien !

Dourak, Ô grand masturbateur,
Toi qui jouis sur le visage de la géométrie,
Merde, un zonezandrin,
Diable, cette ode part en couille
Diantrebleu ! Les rimes se rebellent !

Et la strophe supra
Est un peu mahabile,
Mais si mon cœur labile
S'épanche comme un rat,

Sache, Ô mon Dourak
Que c'est parce que j't'aime
Comme un fou, comme un sac,
Comm' le grain que je sème.
¡Muerte a todos los traidores golpistas! ¡El fuego del Dégueulis os quemara! ¡Os quemara todos, viles sinvergüenzas!

El Dégueulis

Citation de: Un Dégueulis le Mai 11, 2022, 19:12:25
Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d'amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu'au cœur de son ourlet.

Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s'aller perdre où la pente les appelait.

Mon Rêve s'aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.

C'est l'olive pâmée, et la flûte câline,
C'est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !

Arthur Rimbaud

Au cas où vous auriez pas compris, c'est le sonnet du trou du cul.

Bande d'incultes.

D'OÙ MES NOMBREUSES RÉFÉRENCES AU TROU DU CUL DANS MES SIGNATURES CES DERNIERS JOURS.
¡Muerte a todos los traidores golpistas! ¡El fuego del Dégueulis os quemara! ¡Os quemara todos, viles sinvergüenzas!

El Dégueulis

Ô pingouins, OH !
Plus agressifs que des perruches
Terribles comme des céphalées
Brutaux comme l'absurde !

Ô PINGOUINS D'EAU !
Bourdonnant dans vos ruches
Sul'canap' affalés,
Mangeant des hommes rudes !

PINGOUINS, Ô PINGRES DÉLÉTÈRES,
Ô ailes du Dieu Divin,
Aussi vrai que j'le pince
Je vous aime, Ô mes piafs !

C'est parce que vous êt'fiers
Et beaux comme des reins
Ah, mes aïeux, j'en pince ;
Et même, je m'esclaffe !

Dégueulis, Sonnet du Pingouin
¡Muerte a todos los traidores golpistas! ¡El fuego del Dégueulis os quemara! ¡Os quemara todos, viles sinvergüenzas!

Dourak Smerdiakov

Chaque fois que tu écris un truc en vers, un ange meurt, tu sais ça ?
Pour le débat citoyen et convivial dans le respect indivisiblement démocratique de la diversité multi-culturelle des valeurs républicaines oecuméniques.

Charogne

Loués soient-ils, de ne pas avoir à vivre un jour de plus à subir cette poésie.