Dourak, Ô Smerdiakov,
Toi qui dans mon alcôve
Vins de mes rêves flous
Faire dresser les gnous !
Dourak, poète-pouët !
Chais pas si t'as des couettes,
Mais j'te les tirerais bien,
Pour te faire plein d'bien !
Dourak, Ô grand masturbateur,
Toi qui jouis sur le visage de la géométrie,
Merde, un zonezandrin,
Diable, cette ode part en couille
Diantrebleu ! Les rimes se rebellent !
Et la strophe supra
Est un peu mahabile,
Mais si mon cœur labile
S'épanche comme un rat,
Sache, Ô mon Dourak
Que c'est parce que j't'aime
Comme un fou, comme un sac,
Comm' le grain que je sème.