LA ZONE -

Devine qui vient dîner ce soir ?

Le 21/03/2008
par M. Con
[illustration]     Peu à peu, des centaines de lumières venant des appartements où s’empilaient les familles, éclairaient la morne cité dortoir. Comme chaque soir, le rituel se mettait en place.
Dans les contre allées, des scooters passaient et repassaient en une ronde incessante et bruyante tandis qu’au rez-de-chaussée des immeubles gris, les bandes d’ados du quartier se regroupaient pour tromper l’ennui. Une sirène hurlait du coté des entrepôts. Le périph proche, n’en finissait pas de charrier des milliers de véhicules vers un ailleurs maussade. Une soirée d’avril comme une autre dans une banlieue.
    Au 5ème étage de l’immeuble 24, une brune plantureuse ferma brusquement la fenêtre de son salon. Elle monta le son de la télé et retourna s’avachir dans la vieille banquette. C’était l’heure sacrée des infos. Son mari, concentré sur ses pensées les plus secrètes, mitonnait le dîner dans la cuisine. Il savait que cette soirée serait exceptionnelle. Il avait tout soigneusement préparé, tout repassé mille fois en revue dans sa tête, rien ne devait être laissé au hasard.

    Une fois encore il vérifia si tout était bien en place, à portée de main. Tout était impeccable. Satisfait il sourit. Il n’y avait plus qu’à attendre le moment inéluctable où ça allait démarrer, comme chaque jour.

    Il entendit alors cette voix masculine qui le faisait frissonner de dégout, briser sa quiétude. Ce ton hargneux plein de suffisance.

    La salope, depuis combien d’années je la supporte sans faillir dans cette dérive sado masochiste où d’homme je suis devenu son objet ?

- Robert !
- Oui chérie ?

    Ne rien précipiter. Rester calme.

    Ses mains moites se crispèrent malgré lui sur le torchon à vaisselle.
- On bouffe quoi ce soir ?
- Je t’ai fait une salade composée et des légumes…
-Y a pas de viande ?

    Ca y est, nous y voilà, ça commence !

- Mais enfin Martine, c’est toi qui m’as demandé de faire léger le soir pour ton régime ? Aussi, j’ai fait du léger. Je pensais bien faire.
    Robert serra les mâchoires, il tremblait. Au travers de la vitre de la fenêtre il fixa son regard sur l’immeuble d’en face afin de vider son esprit.

    Evacuer, faire redescendre la pression qui me vrille les tempes…

    Devant ses yeux rougis, des hommes et des femmes, formes fugitives, s’activaient dans leurs appartements respectifs. Au septième étage de la tour 9, une femme passa à moitié nue dans une chambre. Un homme la rejoignit et la lumière s’éteignit tandis qu’il s’allongeait sur elle. Il imagina les deux cuisses chaudes enserrant les reins de l’homme, les soupirs envahir leur espace. Robert, le nez collé au carreau de sa fenêtre embuée, les enviait.

- Connard ! Je veux de la viande moi. Tu crois quoi toi, que le métier de flic est un boulot de feignasse ? Après huit heures passées à arpenter le bitume et courir après les loubards, j’ai besoin de manger du sérieux, alors démerde toi !

    Ne pas répondre, pas encore, c’est inutile me concentrer, savourer à l’avance l’instant imminent.

    Robert entrouvrit doucement le tiroir à sa gauche afin de se réconforter. Il posa délicatement sa main blanche sur l’acier froid et respira profondément. Il ne devait surtout pas flancher. Encore quelques minutes et d’une façon ou d’une autre, tout serait terminé.

    Une fois de plus Martine, une grande brune approchant la quarantaine, avait décidé de tyranniser son mari. C’était devenu une habitude, son plaisir. Au fil des années, Robert, un homme discret et timide était passé du statut d’époux à celui de défouloir domestique. Même s’il avait renoncé à tenter de changer les choses, il ne s’était pas pour autant résigné et il n’en pouvait plus de vivre chaque jour avec une harpie hystérique. C’était même devenu de pire en pire. Alors il s’était réfugié dans un autre univers mental. Un monde où il était fort, où il se faisait respecter, un monde où elle n’était pas.

    La lumière de la chambre du septième étage de la tour 9 se ralluma. La femme totalement nue passait dans la salle de bain. Ils avaient fait vite songea Robert intrigué. La voix de sa femme le ramena vers sa réalité. Elle gueulait toujours. Il ferma les yeux et des souvenirs remontèrent jusqu’à l’étouffer. Il vacilla. S’accrocha au plan de travail. Mais les images violaient sa volonté. Ces derniers mois ses tourments conjugaux avaient encore empiré. Martine avait franchi un stade supplémentaire vers l’humiliation. Surtout depuis qu’elle revenait de soirées particulièrement arrosées avec ses collègues flics.
    Au cours de ses nouveaux délires masochistes, elle en était arrivée à le frapper jusqu’à ce qu’il se laisse attacher sur le lit avec des menottes. Puis elle le forçait avec divers accessoires spécialisés qu’elle récupérait dans son commissariat de quartier où qu’elle avait acheté dans un Sex Shop. Chaque fois, comme pour justifier sa violence, elle lui expliquait avec convictions qu’il devrait être un peu moins coincé au lit, car ce qu’ils faisaient n’était au fond rien de plus qu’une pratique très courante chez les couples de policiers.
Alors, résigné, pour avoir la paix, il se laissait faire, passif, dominé, humilié.

    Mais au fond de lui Robert doutait sincèrement que tous les flics de France tabassaient leur conjoint le soir avant de s’endormir, satisfait du devoir accompli. Il voyait surtout qu’il partageait la vie d’une folle. A force de ruminer son dépit et sa honte, avec le temps, son chagrin s’était transformé lentement en haine silencieuse.
    Martine, elle ne se préoccupait pas de savoir s’il appréciait ou non d’être traiter comme une quantité négligeable. Lors de ces ébats houleux et avinés, elle le chevauchait sans vergogne, le griffait, le mordait, l’insultait, lui crachait dessus et lorsqu’elle l’avait suffisamment rabaissé et que son excitation était à son paroxysme, elle en arrivait fréquemment à se masturber avec sa matraque de service en suffocant telle une bête malade.

    Mais cette fois c’était terminé. Il allait lui faire payer en bloc toutes ces humiliations, toutes ces années de souffrances. Ce soir allait être son grand soir. Sa grande fête…

- Oh la tafiole, tu fais quoi dans la cuisine ? Tu rêvasses encore ? Attends mon coco tu vas voir ce soir, je suis en forme et je sens que ça va être ta fête. D’ailleurs je t’ai rapporté plein de trucs qui vont te dérider les miches ! Allez file moi une bière en attendant et dépêche !

    En effet, tu as raison connasse ce soir ce sera la fête, mais pas la mienne…

- Je suis désolé Martine, mais je n’ai plus de bière. Je n’ai pas encore eu le temps de passer faire les courses.
- Mais ce n’est pas possible ? T’es vraiment un con mon pauvre Robert ! Un minable juste bon à curer les chiottes de la maison de vieux cinglés qui t’emploie à temps partiel. Mais Nom de dieu ! Qu’est ce que je fiche avec toi ? Quand je pense aux mecs virils avec qui je bosse ! Ah ça ce sont des mecs, des vrais, pas de la lopette…

    Tu vas voir comment elle va te faire jouir la lopette !

    Martine toisa son mari d’un œil mauvais pour voir s’il allait trouver quelque chose à répondre et lui donner enfin le prétexte qu’elle attendait pour se défouler. Mais à l’autre bout de l’appartement, son souffre douleur ne dit rien. Satisfaite de ce qu’elle pensait être un silence soumis, elle s’avachit davantage dans le fauteuil face à la télé, les pieds posés sur la table basse, une main caressant son entrejambe.
    La fin de semaine approchait avec en perspective un long week-end à passer dans sa cité pourrie de banlieue. Sans parler de Robert toujours à ses pieds, docile comme un chien. Elle sourit d’un air mauvais, Cette nuit, elle allait particulièrement le soigner…
    Ah c’est certain qu’il n’était pas de la même trempe que son collègue Jean-Marie, un ancien para devenu flic et qui la prenait comme la dernière des catins à l’arrière de la bagnole de service. Ce qu’elle pouvait aimer ça lorsqu’il la culbutait contre une porte cochère où la sodomisait dans des toilettes publique. C’est sûr, il n’était pas comme son crétin de mari, ce mou du gland.

- Bon alors ça vient la bouffe oui ou merde ? S’emporta-t-elle.

    Robert restait imperturbable, silencieux. Il avait posé son saladier sur le plan de travail et attachait calmement son tablier de cuisine autour de sa taille. Il regarda la pendule et jugea qu’il était temps. L’heure était venue
    Cela faisait combien d’années déjà que sa femme lui pourrissait l’existence au point d’en devenir fou ? Il ne savait plus. Il avait arrêté de compter. En plus, cette garce refusait obstinément de divorcer sous prétexte qu’il possédait quelques biens au soleil. Alors, il avait subi chaque jour, planté dans cet enfer. C’était presque devenu normal. Comme quoi, avec le temps où par lâcheté, on s’habitue à tout. Puis un après midi, il y eut ce fameux déclic. Ce reportage à la télé le mois dernier sur ce type qui avait…
    Rien que de repenser aux images, il en avait les yeux pleins de larmes, des larmes de joie. Oui, aujourd’hui, Robert allait se libérer et présenter la facture.

- Oh je te parle, tu veux que je me lève t’en coller une où quoi ?

    Allez viens, approche salope, tu vas être servie, je suis prêt !

    Robert concentré sur ce qu’il allait faire, entendit à peine sa femme complètement surexcitée se lever en vociférant. Cela arrivait de plus en plus souvent. Sans doute à cause des Pastis qu’elle s’enfilait dans le gosier après le service, le débriefing comme elle disait.
    Elle pénétra dans la cuisine, menaçante. Il sentit son haleine anisée la précéder. Se retourna et vit alors les yeux injectés de sang, bouffis, cernés, ces dents jaunes, ce teint cireux, ce rictus mauvais aux coins de ses lèvres sèches. Qu’était donc devenue la jeune femme qu’il avait tant aimée jadis ? Qui était cette folle ?
    Il se rendit compte au moment ultime que pour la première fois depuis des années, il n’avait plus peur d’elle, ni de ses cris, ni des scènes, ni des coups. Il était serein, enfin…

    Les souvenirs du reportage dansèrent à nouveau dans son cerveau. Il sourit et ce fut le début du carnage.

    En une fraction de seconde, Robert sans prononcer une parole, tendit son bras en direction de la gorge de sa femme. Il posa ses doigts sur son cou et serra jusqu’à ce que les hurlements se transforment en gargouillis. Martine surprise par cette réaction impensable, porta par réflexe ses mains à son cou sans comprendre. Elle rua, tenta de se dégager, mais son mari serra davantage. Une force incroyable l’animait. Martine suffoquait. Ses yeux sortaient de leurs orbites affichant une totale incompréhension.
    Sans quitter son regard éperdu, Robert plongea son autre main dans le tiroir et à tâtons s’empara du long couteau de boucher qu’il avait longuement aiguisé cet après midi. Sa femme vit la lame scintiller et l’incompréhension se mua en peur. Elle tenta de crier mais aucun son ne sortit de sa gorge en feu, le larynx broyé par un étau.

    D’un geste lent et précis Robert lui perfora le ventre. D’abord la pointe piqua légèrement au dessus du nombril, quelques gouttes de sang perlèrent sur le chemisier bleu puis il y eu une légère déchirure et l’incision s’élargie. Progressivement la lame froide glissa à l’intérieur du ventre chaud. Le craquement sec des chairs qui se déchirent brisèrent le silence de la pièce.
    Martine battait des bras et des jambes. Sentant en elle la longue lame effilée s’enfoncer tel un phallus mortel.

- Alors ma chérie, dis moi est-ce que tu le sens bien celui là ? Est-il assez gros cette fois ? Questionna froidement Robert en la dévisageant. Ne voulant rien perdre de l’expression stupide défigurant le visage de sa tortionnaire quotidienne.

    C’était si facile, tellement simple. Comme dans le reportage où ce type avait massacré toute sa famille. Robert jubilait. Il tournait et retournait le couteau à l’intérieur du ventre de sa femme, faisant jaillir à chaque fois des filets de sang. Ponctuant ses gestes par des :

- Tiens salope, tu aimes ? Ca te plaît de te faire fourrer hein ? Tu es contente ?...

    Il l’éventrait sereinement. Des organes violacés commençaient à apparaître au travers de la plaie devenue béante. Martine se sentait déchirée, vidée comme un lapin. Une douleur insoutenable avertissait son cerveau que la vie la quittait. Elle avait froid.
    Robert impassible, enfonça davantage le couteau, jusqu’au manche, la clouant comme un papillon sur le galandage. Le sang vermeil inondait à présent le chemisier de sa femme qui palissait à vue d’œil. Une énorme flaque rouge s’étendait sur le carrelage blanc. L’odeur nauséabonde de tripes chaudes montait dans l’air. Martine tenta un fois encore de crier, de supplier. Elle porta ses mains sur l’objet mortel qui lui cisaillait les entrailles et ne sentit que ses propres organes mous et tièdes se répandre entre ses doigts.

    Sans prononcer une parole, sans la quitter des yeux, d’un coup de poing Robert lui fracassa la mâchoire.
- Chut, tais toi ma chérie, ça fait des années que tu gueules, alors pour une fois essaie au moins de crever en silence! Lui souffla t’il au creux de l’oreille, je ne veux plus t’entendre,

    Le corps de Martine fut secoué d’ultimes tremblements incontrôlables. Le couteau tenait bon et elle resta clouée contre le mur, pantelante. Ses lèvres tremblaient, peut être pour prononcer une ultime prière.

Robert lâcha le couteau à regret. Il s’assit posément sur une chaise en face d’elle, alluma une cigarette et la regarda plantée contre le mur, se vider, agoniser et mourir. Une fois certain qu’elle était passée de vie à trépas, il alla éteindre la télévision, mit un CD dans la chaîne et revint contempler sa femme la tête inclinée sur la poitrine qui pendait contre le mur semblable à un vieux manteau pourpre chiffonné.

- Tu vois, cette fois tu la fermes ta grande gueule ! Attends, tu vas voir ce n’est pas fini, je vais te la refiler ta dose de foutre. Joignant le geste à la parole il sortit fièrement son sexe en érection de son jeans et se masturba sur les viscères enroulées autour du couteau.
    Qui aurait pu imaginer dans l’immeuble 24 que le voisin du 5ème, ce monsieur d’ordinaire si tranquille, se vidait de sa semence tel un dément sur le corps sans vie de sa femme en pataugeant dans une mare de sang.

    Une fois apaisé, Robert en sueur, le regard luisant, les joues en feu, s’adossa contre l’évier pour récupérer. Il but un verre d’eau et se décida à sortir d’un placard tous les récipients en plastique qu’il avait acheté et entreposé spécialement pour l’occasion. Sur les plaques chauffantes Un gros faitout mijotait une sauce au vin n’attendant plus que des morceaux de viandes.
    Il mit des gants de caoutchouc et sans la décrocher du mur où Martine demeurait empalée, il la dévêtit méthodiquement. Une fois qu’elle fut intégralement nue, Robert la palpa comme un légiste. Il trouva qu’elle avait gros cul, des cuisses molles et les seins flasques. Il roula les vêtements souillés dans un sac poubelle, il les brûlerait plus tard. Sans précipitation, il choisit judicieusement un autre couteau et entreprit de découper le corps de sa femme en morceaux qu’il entreposait au fur et à mesure dans les récipients déposé avec soins sur le carrelage.
    Au sol, les serpillères n’absorbaient plus le sang et les résidus qui se déversaient. On se serait cru aux abattoirs. Le plan de travail de la cuisine ressemblait au laboratoire d’un charcutier. L’air était irrespirable mais tel un gnome sorti des enfers l’homme s’affairait avec jubilation.
Pour venir à bout de sa sinistre besogne, il dut même s’aider d’un hachoir et d’une scie. S’y reprendre à plusieurs fois pour venir à bout des os. Mais il avait prévu cela aussi, il avait acheté le matériel en conséquence et tout fut nettoyé, empaqueté, congelé. En deux heures chrono il avait intégralement transformé sa femme en produits alimentaires pour animaux domestiques à l’exception de la tête et de deux morceaux de choix taillés avec soins dans l’arrière cuisse.
    Robert maculé de sang et de morceaux de chaire humaine, adossé au mur, faisait face à la pyramide de boites. Il contemplait son ouvrage, heureux, fier de sa besogne. Une douche s’imposait.

*****

    Les lumières s’éteignaient peu à peu dans la cité. Dans un appartement bercé de musique classique, un homme vêtu d’un costume impeccable, d’une chemise blanche et d’une cravate, dînait sur une table décorée avec goût. Des bougies dansantes éclairaient cette scène. Tout était calme, apaisé. En face de lui, la tête de sa femme coiffée et maquillée trônait au centre d’un plateau d’argent.

    Finalement bien accommodée, Martine était succulente.

= commentaires =

MantaalF4ct0re

Pute : 1
    le 21/03/2008 à 21:25:34
Jubilatoire.
Anglerond

Pute : 0
    le 22/03/2008 à 00:28:12
c'est vraiment pas cool de s'appeler Robert et en plus d'être marié à une flic.
c'est bien envoyé. surtout pour un thème aussi archi classique déca écrit des milliers de fois.cent fois vécu aussi, hélas. mais le monde est classique, alors....
sauf en Afrique
les scènes gores sont bien, t'en rajoute pas pour convaincre et ça fait plaisir. tu sais écrire.
et tu sais aussi cuisiner dis donc ! l'arrière cuisse tu la cuit à l'ail ou vapeur ?
    le 22/03/2008 à 14:22:45
C'est vraiment bien foutue, la dernière scène est écrite dans un style plus lourd que le reste du texte, la rupture pourrait être choquante elle fait ici une fin agréable.

Mais putain c'est la semaine du roman sur la zone ?
nihil

Pute : 1
void
    le 22/03/2008 à 14:33:46
Pas ma came. Hors les scènes de boucherie qui sont pas désagréables (mais bon, épinglage et découpage de meuf en appartement, on connait), j'ai trouvé ça très dispensable. Les trois premiers quarts du texte m'ont laissé une sale impression : notamment les personnages aussi fouillés que dans une comédie de De Funès (c'est caricatural volontairement mais sans grand humour) et l'espèce de suspense foireux : on sait bien dès le début que ce type va planter sa meuf, et pourtant l'auteur essaye de tortiller en faisant semblant de rien. Et en plus je trouve ça mal écrit. Bref, ça aurait valu le coup de résumer tout le début en un ou deux paragraphes.
Omega-17

Pute : 0
    le 22/03/2008 à 15:21:15
Ah oui mais non.
Ohlà non alors.
    le 22/03/2008 à 21:14:50
Putain les vieilles astuces merdiques pour commenter même quand on a pas eu la force de lire le truc.
Omega-17

Pute : 0
    le 22/03/2008 à 22:01:10
la flatterie ne prendra pas.
MantaalF4ct0re

Pute : 1
    le 22/03/2008 à 23:53:25
j'ai l'impression que Nihil ne se rend pas bien compte (commentaires ici ou naguère sur zoo2) que cette psychologie sommaire est pourtant répandue... eh oui il y a bien des pétasses comme décrites ci-dessus, la caricature ne dénaturant pas le fond, enfin bref, bien à vous dans vos culs dégueulasses.
Dourak Smerdiakov

site
Pute : 0
ma non troppo
    le 23/03/2008 à 16:53:30
Rien à rajouter aux autres commentaires. C'est clair qu'on n'est surpris à aucun moment, mais c'est bien fait. Juste une ou deux phrase en trop, tout de même. Le "Qui aurait pu se douter [...]", et la dernière phrase ; ça gâche un peu, ce genre de prise à partie ou de conclusion pas drôle.
Hag

Pute : 2
    le 23/03/2008 à 22:19:36
Tout comme les autres.
Simple et agréable.
MantaalF4ct0re

Pute : 1
    le 24/03/2008 à 00:20:07
edit: si ça se trouve c'est pas nihil qui a rédigé le commentaire "par défaut", auquel cas ne pas tenir compte de mon précédent commentaire.
    le 29/03/2008 à 13:09:22
Déjà fait, déjà vu, psychologie de comptoir, imagerie de fond de tiroir, je me suis fait chier comme un rat mort, et se faire chier sur un massacre c'est décevant.

On se croirait dans une version pour fin de soirée de Navarro.

[edit] Plus pécisément et en un mot : besogneux. Un massacre d'esthète c'est un massacre raté.

Commentaire édité par Glaüx-le-Chouette.
lafad
    le 08/10/2009 à 17:19:34
ha jouissement bordel!!!

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