Résumé : Ce 31/07/2016 restera dans les annales de la Zone comme une journée funeste ayant vu la première frappe groupée du clan des auteurs amateurs de troll littérature onirico Burroughsienne et autres écriture automatique, flood cosmique et prophétisations en mode transe zombification. Cela ressemble fort à un acte de guerre, une tentative de putch, une attaque par déni de service. En effet, une sombre coalition comptant déjà 3 membres puissants, à savoir : Vlad, Pascal Dandois et HaiKulysse sortant du cheval de Troie et venant égorger nos fils et nos compagnes et nos pauvres cerveaux saturé de phrases aléatoirement copiées-collées et de mots permutés, de phrases recomposées au petit bonheur la chance. étrangement j'ai bien aimé lire tous ces textes dont voici le premier écrit par Vlad. J'en appelle au sursaut des zonards de la première heure pour endiguer par leurs contributions, ces invasions barbares, pour la gloire de l'absurde concret, le violent réaliste et le sombre véridique. Que ces pollutions nocturnes que sont nos rêves, que ces cartes de France dans nos bonnets de nuit, soient écrasées par l'esprit originel zonard. Suce à l'ennemi, cunnilingus à l'ennemie !
= commentaires =
Clacker se réclame être le premier à avoir introduit, jusqu'au trognon, Burroughs sur la Zone. Il s'en mordait les doigts il y encore quelques jours. Quand soudain, tout bascula.
Dieu me garde d'introduire qui que ce soit à part ma cousine.
Je ne porte pas plus d'intérêt que ça à ce texte, mais je tiens quand même à dire que je ne désirais pas du tout faire de la "trollitérature". Je voulais l'écrire ainsi, et nous ne nous sommes pas concertés. Désolé, je ne veux pas briser ce mythe pathétiquement génial, je trouve ça juste un peu dommage que tout ça s'assimile à un pseudo-mouvement qui n'a pris naissance que dans la tête d'un administrateur du site. Je suis conscient de mon absence certaine de talent, mais je déteste me faire assimiler, liquéfier, malotruiser sans mon consentement. Mais la chose s'est ainsi faite, je ne peux plus faire marche arrière.
Etant conscient bien sûr que toute chose est reliée à toute autre par pure intrication absurdement quantique, je ne peux que me plier à la force de l'onde, comme je pourrais m'écraser face à une vague de 10 mètres, parce que je ne sais pas surfer. Entendez mes sincères désespérances envers tout ce qui existe et tout ce qui est probable, selon la loi des probabilités qui régit peut-être le monde, à combien de pourcent ? Je sais que je ne sais pas.
Ce sont mes paroles avant assimilation finale et insémination terminale.
c'est pourtant l'unique intention éditoriale qui me pousse à publier des textes liés de près ou de loin au cut up de Burroughs sur la Zone qui finissent la plus part du temps dans la catégorie "Pangolin et Licornes".
"Et pourtant, je n'ai pas utilisé de cut up !"
Galilée
la vérité n'existe pas, il n'y a que des storytellings en compétition Darwinienne.
Je ne sais pas si dès le début tu avais l'idée de faire une "série" ou une suite à l'histoire, mais j'ai trouvé ce texte moins bon que les précédents. J'ai eu un peu de mal avec le bouton dans le clito et Cassandre me parait un peu moins charismatique. On a l'impression que le coup du nichon qui coule et les passages sexuellement maladroits :"Toujours est-il qu'elle se retrouve à manger trente bons centimètres de queue de nécrovore" ne sont là que pour illustrer le passage et ne me provoque qu'un "bof" pour ce texte.
Effectivement, j'ai écrit ce texte sans réfléchir à une suite. Sans réfléchir du tout même. Ca se rapprochait plus de l'écriture automatique qu'autre chose.
D'ailleurs, si j'avais la possibilité de le remanier ainsi que le deuxième, je m'en priverais pas.
Je suis là.
Bien, l'intro.
Sabre d'abattis, je ne connaissais pas.
Thérémine non plus. Steam-punk, très bien.
Je comprends maintenant que l'action se déroule pendant Katrina, une contextualisation éclairante.
Il y a des descriptions de travelling comme dans la suite de la série, je suspecte une adaptation sur grand écran à venir.
Apparition d'un renardeau.
Commencer par le deuxième texte ne m'a pas trop perturbé. Enfin, considérant le sujet.
Je me remets donc en ordre de marche.
Je lis que l'auteur ne porte pas d'intérêt à son texte. Je continue.
Régénéré et concentré, ça va aller beaucoup mieux qu'hier.
Je me masturbe et j'enchaîne.