Résumé : Je repasse l'initiative K.Dick en page d'accueil comme le réclame Vlad qui argumente en message complémentaire : " Surtout avec la sortie de Blade Runner 2049 (que je vous conseille bigrement, c'est autre chose que l'Alien Covenant dégueulasse dont Ridley Scott nous a gratifié)" et effectivement la Zone point org s'associe à l'industrie hollywoodienne et ARTE pour presser les restes du pauvre P.K.Dick jusqu'à la dernière goutte. Quoi qu'il en soit, et même si je ne suis pas d'accord sur le constat du dernier Alien, Vlad nous propose un remarquable univers dickien en mode immersion et évitant l'écueil du world building. Excellentissime série en perspective avec la promesse de 3 épisodes du même acabit puisque Clacker réussit un incroyable tour de force : créer un dickivers avec l'ensemble des ingrédients de la soupe primitive du maître. A savoir : paranoïa introspectrice, système dictatorial en mode tech noire, pouvoir de l'esprit sur la matière, usage de drogues alternatives et même l'emploi de chats oniriques. (Qu'on se rassure, aucun félin n'a été maltraité durant l'écriture du premier volet. ) Rajoutez à cela un bestiaire de personnages plus folkloriques les uns que les autres et vous serez comblés et pourtant interloqués : Comment Vlad sur cette base nickelle réussira-t-il à n'écrire que 3 épisodes alors que les fondations d'un roman super bien fichu viennent d'être posées ?
= commentaires =
vivement la suite. j'ai particulièrement aimé les réplicants à la sauce GATACA.
Holà, je viens de repérer des incohérences de dates. Flustre. De l'intérêt de se relire beaucoup beaucoup...
La parano et les produits qui déboîtent la tronche sont bien là, le père Dick s'y retrouverait. Le dialogue final amène un peu de fraîcheur à la lecture, après trois chapitres de descriptions un poil arides. Peut-être qu'un poil, justement, un rien de fantaisie comme le vieux savait la distiller, assouplirait l'ensemble.
Sinon c'est bien foutu, ambiance garantie.
Avec une petite tendresse pour ces hardeurs à la tâche de Donald et Jack, les coquinous de queutards.
Coucou, je vais être chiant mais vous croyez que c'est possible de me changer le titre ?
J'étais bourré quand j'ai trouvé celui-ci, et finalement en construisant mon truc j'en ai trouvé un autre qui claque vraiment.
C'est possible. On peut aussi éditer pour tes histoires de date si tu veux.
Super. Ce serait cool en effet de faire d'une pierre deux coups.
Il y a donc le titre à remplacer par "Le Seuil du miroir"
et pour les dates : ligne 33 "...et recevait sa pastille IC, l'objet le plus fondamental du [22]e siècle."
Ligne 37 "La pastille InterCom était l'outil de vie indispensable[supprimer "depuis la moitié du 22e siècle"], et tout le monde sans exception en possédait une après [2125]..."
Merci braz.
J'ai fait comme tu as dit, mais il me semble que si l'on met la majuscule à "seuil" il serait logique de la mettre à "miroir", sauf si c'est délibéré pour une raison qui m'échappe.
Ah tiens, bonne question.
Pour moi, à partir du moment ou il y a un article défini, le deuxième mot du titre doit être en majuscule.
Les Fleurs du mal
Des fleurs pour Algernon
Maintenant on peut considérer que puisqu'il y a un autre article défini dans le titre (du miroir), il faudrait y mettre aussi une majuscule ? Je ne sais pas en fait.
(On remarquera que je fais déjà n'importe quoi avec les noms de chapitres, donc je veux te croire sur parole)
Le nouveau titre fait plus lewis carroll que philip k dick
mais peut-être taquines-tu les éditions du même nom ?
Nulle taquinerie.
"D'une étoile l'autre" ça faisait peut-être plus Dickien, mais ça n'avait pas vraiment de sens avec mon histoire.
Merci en tous cas à Dourak pour les rectifications.
Netra ebet. Pour l'histoire du titre, il me semble que la règle que tu évoques vaut surtout pour les listes ou citations de titres. Pour les titres eux-mêmes, si je jette un oeil sur mes étagères, on voit de tout comme pratique, en fait, du tout en majuscules au tout en minuscules.Cela dit, on s'en tamponne le nombril avec le cachet du je m'en foutisme, comme dirait l'autre (Dupa, dans Cubitus, je crois).
Ah effectivement. C'était un reste torsadé de formatage scolaire qui grippait mon cerveau.