Résumé : L'ambiance du texte de Vlad est totalement Kinguienne. Plein de références et par exemple et non des moindres celle d'un narrateur qui est écrivain. Texte à savourer sans modération. *SPOILER ALERT* Je pense à titre personnel que le monstre de l'histoire est la tignasse de cheveux de Donald Trump mais ce n'est qu'une supposition.
[ L'ambiance du texte de Vlad est totalement Kinguienne. Plein de références et par exemple et non des moindres celle d'un narrateur qui est écrivain. Texte à savourer sans modération. *SPOILER ALERT* Je pense à titre personnel que le monstre de l'histoire est la tignasse de cheveux de Donald Trump mais ce n'est qu'une supposition. ]
le 16/10/2020 à 20:07:47
Superbe. C'est inventif, dégoûtant, l'esprit de King dans la baignoire de Clacker. En outre on retrouve en coup de vent ce gros con d'Henry Bowers qui traîne toujours ses lattes dans les coups merdeux.
Qu'est-ce qu'il fait à Freeport, d'ailleurs ? Il s'est évadé de Juniper Hill ?
Bref, un excellent texte, dithyrambai-je, ce qui va me valoir une descente musclée de la Brigade des Bisous, mais j'assume.
"Elle ne réagit pas à la brûlure de l'éthanol, et continuait à fumer comme si de rien n'était.", le "continuait" ne devrait pas être à l'imparfait, mais tu fais bien comme tu veux.
le 16/10/2020 à 20:51:42
Ce texte m'a bien plu tout comme celui de Castor Tillon. J'avoue ne connaître Stephen King que par ses adaptations audiovisuelles.
Le monstre avant tout. le 18/10/2020 à 18:49:55
La nouvelle idéale selon moi, je lis et relis ce texte avec une fascination morbide, la description de la bête, l'ambiance, les personnages et les dialogues tout est parfaitement étudié pour m'envoyer à nouveau à l'asile, play again Clacker.
De la supériorité de la douche sur la baignoire le 18/10/2020 à 23:17:11
À partir de l’apparition du sac de sport qui barbote dans son eau tiède, ça devient foutrement étrange, et intrigant, et flippant.
Clacker, épouse-moi le 18/10/2020 à 23:19:06
J’ai une super bombe anti-blattes sous mon évier. Format XXL.
Et un slip Deadpool, à défaut de string rouge.
Il faudrait revenir le 18/10/2020 à 23:21:32
à la possibilité d'éditer/augmenter ses commentaires pour le commun des mortels et pas seulement pour ces planqués d'admins
EDIT : comme ça, tu veux dire ? Non, non, non... c'est bien trop jouissif d'avoir ce pouvoir sur vous, pauvres mortels.
le 19/10/2020 à 00:14:13
Ne parlons même pas du scandale absolu du retour à la ligne pour une lettre et des cés
ures hephthémimères sauvages.
(Si ce com ne fait pas revenir Dourak, on ne va pas tarder à être à court de suppliques.)
le 19/10/2020 à 18:05:28
Personnellement, je suis dans le même état que ces bigoudènes en deuil dont Pierre Jackez Héliaz faisait le portrait dans son livre qu'on ne présente plus : Le Cheval D'Orgueil. Je me lamente et je crie, et je me déplace à genoux depuis la disparition non-élucidée de Dourak. L'espoir m'a quitté, mais la douleur reste.
le 25/10/2020 à 19:37:15
Très très bon, j'aime bien l'idée du sac de sport qui patauge dans la baignoire. Tout le passage où il se trimballe avec son truc dans la ville donne bien envie de savoir ce qu'il y a dedans et ça, c'est très très bon. J'y lâcherais même une petite larme. Même le côté vie "normale" avec la créature me fait vraiment penser à certains bouquins de Stephen, ce con il aime bien les monstres sympas.
L'inconcevable string rouge d'Arlette L. le 22/11/2020 à 10:15:00
À mon avis, cette nouvelle de Clacker a toute ses chances d'être rachetée par une grande compagnie cinématographique qui kiffe l'underground littéraire (si encore ça existe, mais bon, on est dans le fantasmagorique jusqu'au bout ou bien on se prend une douche froide, à défaut de baignoire où patauge, non pas le monstre d'inspiration du King, mais bien effectivement cette mèche de chibre de Trump tu avais presque raison Lapin, bref pour en revenir à la libre interprétation cinématographique de ce texte, peut-être maintenant que j'y pense projetée dans un cinéma indépendant (si encore indépendant veut dire quelque chose actuellement dans cette société capitaliste qui va peut-être perdre son sang froid quand on lui dira que tout reste fermé pour Noël on peut toujours rêver, je précise juste que ce commentaire n'a été réellement conçu que par Pascal Dandois, alias Arlette Laguiller...
le 03/12/2020 à 22:52:28
Tu fais vraiment chier.
C'était vraiment bien.
Du début à la fin.
Tu fais vraiment chier.
Je vais tout de suite te restituer ce point pute.
Merde...
le 07/12/2020 à 13:24:04
Arrête de me draguer, tu ne récolteras que des algues vertes, je serai intraitable concernant ton texte. Point. Tu nous as manqué, enfoiré.
le 07/12/2020 à 18:40:13
Mon texte est à peu près inattaquable, de toute manière. D'une grande pureté. C'est sans doute la plus belle chose que j'ai écrite en 60 minutes (à l'exception de cette lettre à ta mère, au début des années 80). Bref, balance ton algue verte. Je suis prêt.
le 07/12/2020 à 18:42:27
Quoi qu'il en soit, il ne sera sans doute jamais publié car je me suis mis tout le monde a dos ici, en disparaissant sans crier gare (tchou tchou!).
le 07/12/2020 à 19:15:36
Et toi, tu t'en branles, c'est ça ?
C'est bien ainsi que je dois l'entendre, LC ?
C'est tout ce qu'il nous reste, à présent, le mépris ?
le 07/12/2020 à 21:29:25
Ta mère t'expliquera ça mieux que moi. De toute manière, c'était les années 80. Tout le monde sautait ta mère. Les autres regardaient Intervilles. Au final, ça changeait quoi ?
le 08/12/2020 à 07:11:04
Dans les années 80, tout le monde sautait tout le monde, de véritables gastéropodes. La mousse des soirées mousse c'était un mélange de sperme et de cyprine.
= commentaires =
Superbe. C'est inventif, dégoûtant, l'esprit de King dans la baignoire de Clacker. En outre on retrouve en coup de vent ce gros con d'Henry Bowers qui traîne toujours ses lattes dans les coups merdeux.
Qu'est-ce qu'il fait à Freeport, d'ailleurs ? Il s'est évadé de Juniper Hill ?
Bref, un excellent texte, dithyrambai-je, ce qui va me valoir une descente musclée de la Brigade des Bisous, mais j'assume.
"Elle ne réagit pas à la brûlure de l'éthanol, et continuait à fumer comme si de rien n'était.", le "continuait" ne devrait pas être à l'imparfait, mais tu fais bien comme tu veux.
Ce texte m'a bien plu tout comme celui de Castor Tillon. J'avoue ne connaître Stephen King que par ses adaptations audiovisuelles.
La nouvelle idéale selon moi, je lis et relis ce texte avec une fascination morbide, la description de la bête, l'ambiance, les personnages et les dialogues tout est parfaitement étudié pour m'envoyer à nouveau à l'asile, play again Clacker.
Nickel de la tête à la queue, et kingien juste ce qu’il faut.
Dans mon best of zonard.
À partir de l’apparition du sac de sport qui barbote dans son eau tiède, ça devient foutrement étrange, et intrigant, et flippant.
J’ai une super bombe anti-blattes sous mon évier. Format XXL.
Et un slip Deadpool, à défaut de string rouge.
L'incipit est pas dégueu
à la possibilité d'éditer/augmenter ses commentaires pour le commun des mortels et pas seulement pour ces planqués d'admins
EDIT : comme ça, tu veux dire ? Non, non, non... c'est bien trop jouissif d'avoir ce pouvoir sur vous, pauvres mortels.
Ne parlons même pas du scandale absolu du retour à la ligne pour une lettre et des cés
ures hephthémimères sauvages.
(Si ce com ne fait pas revenir Dourak, on ne va pas tarder à être à court de suppliques.)
Personnellement, je suis dans le même état que ces bigoudènes en deuil dont Pierre Jackez Héliaz faisait le portrait dans son livre qu'on ne présente plus : Le Cheval D'Orgueil. Je me lamente et je crie, et je me déplace à genoux depuis la disparition non-élucidée de Dourak. L'espoir m'a quitté, mais la douleur reste.
Très très bon, j'aime bien l'idée du sac de sport qui patauge dans la baignoire. Tout le passage où il se trimballe avec son truc dans la ville donne bien envie de savoir ce qu'il y a dedans et ça, c'est très très bon. J'y lâcherais même une petite larme. Même le côté vie "normale" avec la créature me fait vraiment penser à certains bouquins de Stephen, ce con il aime bien les monstres sympas.
Qui a ENCORE cassé le forum ?
Je veux des noms.
Que Clackahouette se dénonce, au lieu de bidouiller mes commentaires.
Vazy Lunatik, fais-en du pâté Hénaff. Il est encore puté, ce pétain de forum.
À mon avis, cette nouvelle de Clacker a toute ses chances d'être rachetée par une grande compagnie cinématographique qui kiffe l'underground littéraire (si encore ça existe, mais bon, on est dans le fantasmagorique jusqu'au bout ou bien on se prend une douche froide, à défaut de baignoire où patauge, non pas le monstre d'inspiration du King, mais bien effectivement cette mèche de chibre de Trump tu avais presque raison Lapin, bref pour en revenir à la libre interprétation cinématographique de ce texte, peut-être maintenant que j'y pense projetée dans un cinéma indépendant (si encore indépendant veut dire quelque chose actuellement dans cette société capitaliste qui va peut-être perdre son sang froid quand on lui dira que tout reste fermé pour Noël on peut toujours rêver, je précise juste que ce commentaire n'a été réellement conçu que par Pascal Dandois, alias Arlette Laguiller...
Tu fais vraiment chier.
C'était vraiment bien.
Du début à la fin.
Tu fais vraiment chier.
Je vais tout de suite te restituer ce point pute.
Merde...
Arrête de me draguer, tu ne récolteras que des algues vertes, je serai intraitable concernant ton texte. Point. Tu nous as manqué, enfoiré.
Mon texte est à peu près inattaquable, de toute manière. D'une grande pureté. C'est sans doute la plus belle chose que j'ai écrite en 60 minutes (à l'exception de cette lettre à ta mère, au début des années 80). Bref, balance ton algue verte. Je suis prêt.
Quoi qu'il en soit, il ne sera sans doute jamais publié car je me suis mis tout le monde a dos ici, en disparaissant sans crier gare (tchou tchou!).
M'en fous, je vous aimais pas non plus.
A priori Clacker tient à publier ton texte.
Et toi, tu t'en branles, c'est ça ?
C'est bien ainsi que je dois l'entendre, LC ?
C'est tout ce qu'il nous reste, à présent, le mépris ?
non. Je l'ai lu et il m'a bien plu. C'est juste que Clacker s'est manifesté avant moi pour le publier.
Papa ?
Ta mère t'expliquera ça mieux que moi. De toute manière, c'était les années 80. Tout le monde sautait ta mère. Les autres regardaient Intervilles. Au final, ça changeait quoi ?
Dans les années 80, tout le monde sautait tout le monde, de véritables gastéropodes. La mousse des soirées mousse c'était un mélange de sperme et de cyprine.
J’ignorais que les gastéropodes sautaient. Je mettrais ma queue à couper que je n’en ai jamais vu un seul sur un 100m haies.
Tiens, v'là un castoropode sautillant
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