Jacques Cauda
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- Propositions (27/10/2016) - Thèmes / Divers / Pangolins et licornes
Jacques Cauda poste une seconde contribution sur la Zone accompagnée de "milles bises" en message complémentaire. C'est de la pure provocation. Probablement teste-t-il le site ? Les admins ? Le lectorat ? Quoi qu'il en soit, que Jacques Cauda assume intégralement les propos qu'il fait tenir à ses personnages, à son narrateur, ou peut être même qu'il cautionne lui-même. On n'en sait rien. Bien entendu, ici personne ne donne la moindre crédibilité à de telles conneries. Alors pourquoi le publier me direz-vous ? Et bien, le texte est dans la ligne éditoriale, certes, puisque tout à la fois sombre, violent et absurde. Par ailleurs, le texte n'est pas fasciste, n'est pas raciste. Il est néanmoins ultra misogyne. On pourrait imaginer que l'auteur fait parler Soral ou Zemmour, pourquoi pas ? On n'en sait rien. Il n'y a pas le moindre indice. Pas le moindre contexte. Nos règles d'édition ont donc été hackées. La contribution passe tous les benchmarks, tous les tests, répond à toutes les conditions. Voilà pourquoi le texte est publié. Faudra-t-il songer à durcir la ligne éditoriale dans le futur ? Je ne pense pas. En réalité, les admins ont un droit de veto inconditionnel aussi j'aurais très bien pu refuser le texte. à nouveau, vous me demandez pourquoi donc le publier ? Et bien tout simplement pour en dire tout le mal que j'en pense en attendant que l'auteur vienne s'en expliquer. Déjà, ça se veut probablement être un texte conceptuel bien senti, un truc expérimental original, un coup d'éclat, mais en réalité, c'est un Nième délire d'OuLiPiste inconséquent et mille fois vu ailleurs voire un pur délire trollesque. Une liste de mots, ça n'a jamais fait un texte. Pitié, qu'on ne me dise pas que c'est poétique, que ça me dépasse. C'est un truc nul d'un point de vue littéraire et l'autre raison pour laquelle je le publie est l'unique raison pour laquelle il a été écrit : générer de l'émulation, provoquer de l'indignation, des commentaires à la chaîne. Peut-être que pour vous autres, lecteurs, la meilleure des réponses à toutes ces manigances serait purement et simplement l'indifférence ? - La jeune fille et la meute (22/09/2016) - Thèmes / Obscur / Introspection
Suite à un de mes nouveaux spams sur Facebook, Jacques Cauda, éminent réalisateur de documentaires, peintre et écrivain (je tiens ici à remercier Wikipedia, l'ami sans qui je commettrais d'énormes bourdes diplomatiques par mon inculture générale notoire) décide de poster le texte que vous trouverez ci-dessous sur la Zone en l'accompagnant de bises. Ce qui suit est un copier/coller de ce que me raconte mon ami Wikipedia : "Jacques Cauda poursuit également une activité d'écrivain. Dans Vox Imago, roman à plusieurs voix, il met en œuvre sa théorie de l'écriture polymorphe. Le style doit être au service du sens, la forme être l'effet du fond. Théorie qu'il illustre par ailleurs dans plusieurs de ses nouvelles, au style toujours différent selon le sujet qu'elles traitent. Mais son grand livre, Comilédie, reste inédit. Il est à rapprocher des écrits des fous littéraires selon la classification établie par André Blavier. Structuré comme un solo d'Albert Ayler, Comilédie est écrit à la manière d'un nouage du langage sur lui-même tournant dans une structure en spirale. C'est un OVNI." Le décor protocolaire est planté. Mon cerveau à la lecture de ce court poème en prose sans ponctuation, tout autant. La documentation m'a laissé présager l'attaque d'un vortex. Puis je me suis dis, ce mec qui fait des bisous, doit, d'une manière ou d'une autre, écrire comme il peint. Wikipedia, mon ami, m'a appris que Jacques Cauda a carrément inventé un courant pictural, le mouvement surfiguratif. Je me suis dit que comprendre l’intention derrière le mouvement me permettrait d'avoir un prisme pour appréhender ce texte. L'auteur décrypte sa peinture : "il faut prendre pour objet des sensations dont la source n'est plus le réel mais sa représentation rétinienne." Ok. Je vais faire ça alors. J'ai essayé de gratter les aplats pastels mais l'hermétisme est resté là, profond, pas juste en surface : le texte qui s'imprime sur mes rétines est un amas de mots sans ponctuation, sans majuscule, des paragraphes faisant référence à une certaine timeline. J'ai alors fait mouliner ma caboche. Connaissant la ligne éditoriale de ce site, la jeune fille dont il est question dans ce texte ne peut être que le texte lui-même. Quant à la meute, ce sont les zonards, qui vont se déchaîner dans les commentaires. Reste la mystérieuse phrase en introduction. Est-ce une invitation de l'auteur à déchirer le texte par tous ses orifices ? On va avoir du taf car il est poreux.
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