Gonzo regarda l'actrice Lucy Starling morte et couchée par terre dans son salon. Il s'essuya la bouche puis passa dans sa salle de bain. Il fouilla dans un tiroir, en retira un tube de dentifrice et attrapa sa brosse à dents. Au moment où il s'apprêta à appuyer sur le tube, son téléphone se mit à vibrer. Il répondit d'une voix lasse :
• Oui, Duke, qu'est-ce que tu veux ? J'ai pas trop le temps.
• Tu plaisantes. Répondit Duke. T'as tout de même pas oublié que je passe te chercher dans un quart d'heure ?
• Oh merde ! Je suis désolé, mec. J'ai la tête un peu en vrac.
• Non, tu délires ! J'ai peaufiné cette soirée depuis un baille. Tu ne peux pas te défiler comme ça.
• Je sais Duke, mais je ne suis pas dans mon état normal. J'ai comme la nausée. Je me sens vraiment pas d'équerre.
Duke soupira, écouta son pote s'excuser une nouvelle fois avant de reprendre :
• T'as pas de l'aspirine ? T'as pas ça chez toi ?
• Non, j'en ai plus. J'ai filé les derniers comprimés à Depp, l'autre nuit. J'ai rien pour palier à cette putain de migraine.
• A Depp ? Merde mec, ça fait combien de temps que je ne l'ai pas vu ? Il est toujours dans les parages ?
• Aucune idée. Il devait s'envoler pour Las Vegas, mais peut-être qu'il traîne encore par ici. En tout cas, il était vraiment à l'ouest quand je l'ai dépanné avec l'aspirine.
• C'était quelle teuf ?
• Hein !
• Le soir où tu l'as dépanné, vous étiez à quelle teuf ?
• Un truc d'une nana de l'élite. Flamingo. Tu connais ?
• La mannequin ? Celle que Del Toro voulait se faire ?
• Ouais. Bref, la fête était plutôt minable, mais la bouffe assurait. Il y avait un max de pointures, alors on en a profité.
• C'est ce soir-là que vous avez eu l'industriel Oscar Zeta ?
• Oui, et puis aussi le photographe Thompson, ainsi que son amant Gilliam. Je crois que l'on a exagéré et que c'est pour cette raison que Depp s'est à moitié senti mal. Un peu comme moi, maintenant.
• Tu te sens mal ?
• Pas terrible. Je viens de te le dire.
Duke marqua un silence. Il s'inquiéta :
• Ce soir, t'as bouffé quoi, mec ? Tu ne t'es pas gavé, quand même ?
• Non, je te jure. Juste une meuf. Je l'ai levée au club Circus. J'ai pas abusé. Ça fait à peine trois heures que je suis levé. Je n'ai pas eu le temps de me goinfrer.
• Au Circus ! C'est la zone, là-bas. Tout est frelaté. Tout le monde est au courant. C'est l'un des pires lieus de cette ville. Qu'est-ce que tu es allé y foutre ?
• J'avais la dalle. Je voulais bouffer sans me prendre la tête. Ça t'arrive jamais d'avoir ce genre d'envie ?
• OK. Et je peux savoir qui tu as saigné ?
Gonzo appuya ses fesses contre le lavabo. Entendit Duke insister :
• Je peux savoir, mec, ou c'est un putain de secret tellement c'est foireux ?
Gonzo se lança :
• Lucy Starling. J'ai bouffé Lucy Starling. Une connerie, je sais. Pas la peine de...
• Oh, chiotte ! Le coupa Duke. Cette courge de Starling ?! Tu t'es payé Lucy Starling ?
• Oui. Tu veux que je te le dise comment ?
• D'accord, bouge pas ! Annonça Duke. J'arrive. J'en ai pour deux minutes.
Gonzo acquiesça, et la communication fut coupée.
L'instant suivant, il plaqua ses deux mains devant sa bouche, avant de se précipiter au-dessus des toilettes où il vomit sans presque pouvoir s'arrêter.
Duke mit moins d'une minute à se pointer.
Le ciel était dégagé, le trafic était fluide.
• Elle est où ?
• Dans le salon.
Duke portait un costume assez classe, tandis que Gonzo était resté habillé cool, genre sportswear.
• Merde, mec. Remarqua Duke. T'es encore plus blême que d'habitude ! Tiens, je t'ai apporté du Bayer.
• Merci. Prononça Gonzo. T'es un vrai pote.
Duke traversa le couloir puis pénétra dans le salon. Il chercha le corps. Questionna :
• Je la vois pas. T'es sûr que tu l'as saignée ici ?
• Oui, elle est derrière le canap.
Duke regarda dans cette direction.
• Wouah, tu as toujours cette vieillerie ? Ce canapé appartenait à qui, déjà ?
• Drac junior. Il me l'a filé quand il a déménagé de Transylvanie.
Duke haussa des épaules. Prononça entre ses dents :
• Il est has been. Je ne comprends pas que tu t'attaches à ce style de relique.
Gonzo ne répondit rien. Il resta figé dans la pièce, son tube de Bayer serré dans l'une de ses mains. Il sentait sa tête tourner, son estomac gesticuler, ses oreilles bourdonner. Il cligna des yeux, et suivit du regard Duke qui contournait le canapé.
• Holy shit ! S'exclama ce dernier en découvrant le corps refroidi de l'actrice. Tu lui as dévoré le cou ! Il n'en reste pratiquement rien. Et après, tu oses me dire que tu n'as pas abusé ! Tu déconnes, mec.
Gonzo s'appuya contre un meuble. Il rassembla dans sa bouche, le peu de salive qui s'y trouvait puis ingurgita deux aspirines.
Accroupis, Duke zieutait Lucy Starling en piteux état.
• Tu as vu ses films ? Il demanda en détaillant les trous d’incisives qui parcouraient le cou.
• Non. Juste entendu que c'était de la merde. Je suis pas trop cinéphile.
• De la merde ? C'est rien de le dire. C'est un véritable ramassis. Cette nana n'avait aucun talent et sa mentalité ne relevait pas le niveau. Je te le fais dans le désordre : Homophobe, raciste, camée, prête à tuer sa propre mère pour un rôle minable, du moment que ça rapporte du blé. Et tu veux que je te révèle le diamant véreux sur le tas de fumier ?
Gonzo agita la tête. Davantage pour chasser la sueur glaciale qui l'envahissait, que pour répondre à Duke.
• D'accord. Vas-y, dis-moi.
Son compagnon émergea de derrière le canapé, et le regard imperturbable, il lança :
• Elle a couché avec Hunter. Et plusieurs fois, mec. Elle a copulé avec cette enflure de Hunter. Le même qui a ouvert le cercueil de notre Comte. Le même qui a permis à Quincey Morris de tuer notre bien-aimé Comte. Tu imagines un peu dans quel merdier toxique, tu t'es fourré !
Gonzo s'agrippa au meuble, il vit un voile troubler sa vue, un filet de sueur coula entre ses omoplates, il ouvrit la bouche, répéta :
• Hunter.
Duke opina du chef.
Gonzo ferma son clapet.
La seconde suivante, il s'évanouit sans crier gare.
Son sang n'était plus fluide, et ses artères aussi obstruées que s'il s'était envoyé dix kilos de sucre raffiné.
Avant le lever du soleil, Duke ramena chez lui, le corps inerte de Gonzo.
Il le coucha dans un cercueil puis s'en alla fouiller dans une armoire qui abritait des réserves de sang.
Il s'empara de la poche de la bienfaitrice Marie Pasteur, puis l'installa sur un arbre à perfusion qu'il fit rouler à côté du cercueil.
Il enfonça l'aiguille dans l'une des veines du cou de Gonzo, tapota le tuyau afin que l'antidote puisse circuler le mieux possible.
Il maugréa : « Ça va l'faire. » Sortit de la pièce pour rejoindre une bibliothèque.
Epuisé, il s'assit dans un fauteuil. Saisit une télécommande, et alluma un écran télé.
Les images qui lui sautèrent au visage le firent presque se recroqueviller.
Des hommes, des femmes obèses s'empiffraient de nourriture grasse, trafiquée.
D'autres se piquaient, sniffaient, s'envoyaient dans les veines toutes sortes de saloperies.
L'air était empoisonné.
La croûte terrestre devenait aussi sèche que les rivières qui ne serpentaient plus.
L'être humain était un tas d'ordures qui ne jurait que par l'abject.
Il coupa la télé, et ne put s'empêcher de pleurer.
L'avenir était trouble, plus du tout fluide.
Leur survie était, maintenant, comptée.
Résumé : Dans un tourbillon halluciné, le texte de Carrie, soumis à l’œil scrutateur de lapinchien, se déploie comme une fresque grotesque, un miroir déformant où se croisent les ombres gothiques de l’auteur et l’éclat psychédélique de Hunter S. Thompson. Cette œuvre, oscillant entre parodie tarantinesque et comédie grinçante, s’affranchit des amarres temporelles : loin des années 70, elle flotte dans un présent intemporel, où Las Vegas, décor spectral, devient le théâtre d’une humanité vampirique à l’agonie. La chanson « Vampire » d’Antsy Pants, comptine désaccordée d’un suceur de sang édenté, n’est pas un simple ornement ; elle s’inscrit comme un clin d’œil ironique, un générique décalé qui annonce la déchéance d’un monde frelaté. Carrie, avec une audace jubilatoire, tisse un hommage à Juno et Diablo Cody, mais son texte, loin d’être un pastiche littéral de Fear and Loathing in Las Vegas, s’en émancipe pour mieux dynamiter ses codes. Pourtant, lapinchien, désarçonné, s’égare dans les méandres de cette prose. L’anachronisme supposé d’un portable vibrant, l’identité floue de Lucy Starling – avatar fictif d’une héroïne de jeu vidéo, Juliet Starling, grimée en actrice abjecte – ou encore l’énigmatique Flamingo, simple écho de l’hôtel du film, trahissent une confusion que Carrie revendique comme comique, non mentale. Son rire, acide et désabusé, traverse le texte : les vampires, de Raoul Duke à Gonzo, ne sont plus que des caricatures d’eux-mêmes, empoisonnés par une modernité obèse, droguée, asphyxiée par la malbouffe et le clinquant des soirées « bling-bling pourraves ». La poche de sang de Marie Pasteur, symbole d’une pureté illusoire, ne suffit pas à racheter ces créatures déchues, engluées dans un monde où l’air est vicié et la terre asséchée. Mais là où lapinchien cherche une mise en garde – sur le gonzo journalisme, la liberté des années 70 ou l’imaginaire gothique –, Carrie, lui, refuse la solennité. Son texte n’est pas une prophétie, mais un constat brutal, presque nihiliste : vampires et humains, tous sont des « bennes à ordures », condamnés par leur soif de pouvoir et leur avidité. Cette absence de rédemption, cette célébration de l’abject, heurte autant qu’elle fascine. Si l’humour de Carrie, validé par un lapinchien conquis, porte le texte, il n’efface pas ses ambiguïtés : la surcharge de références, entre Bram Stoker et Benicio del Toro, frôle parfois le chaos, au risque de perdre le lecteur. Pourtant, c’est dans ce désordre assumé, dans cette liberté gonzo, que le texte trouve sa force, celle d’une comédie sérieuse qui, sous ses dehors délirants, crache au visage d’une humanité à bout de souffle.
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= chemin =
= résumé =
[ Dans un tourbillon halluciné, le texte de Carrie, soumis à l’œil scrutateur de lapinchien, se déploie comme une fresque grotesque, un miroir déformant où se croisent les ombres gothiques de l’auteur et l’éclat psychédélique de Hunter S. Thompson. Cette œuvre, oscillant entre parodie tarantinesque et comédie grinçante, s’affranchit des amarres temporelles : loin des années 70, elle flotte dans un présent intemporel, où Las Vegas, décor spectral, devient le théâtre d’une humanité vampirique à l’agonie. La chanson « Vampire » d’Antsy Pants, comptine désaccordée d’un suceur de sang édenté, n’est pas un simple ornement ; elle s’inscrit comme un clin d’œil ironique, un générique décalé qui annonce la déchéance d’un monde frelaté. Carrie, avec une audace jubilatoire, tisse un hommage à Juno et Diablo Cody, mais son texte, loin d’être un pastiche littéral de Fear and Loathing in Las Vegas, s’en émancipe pour mieux dynamiter ses codes. Pourtant, lapinchien, désarçonné, s’égare dans les méandres de cette prose. L’anachronisme supposé d’un portable vibrant, l’identité floue de Lucy Starling – avatar fictif d’une héroïne de jeu vidéo, Juliet Starling, grimée en actrice abjecte – ou encore l’énigmatique Flamingo, simple écho de l’hôtel du film, trahissent une confusion que Carrie revendique comme comique, non mentale. Son rire, acide et désabusé, traverse le texte : les vampires, de Raoul Duke à Gonzo, ne sont plus que des caricatures d’eux-mêmes, empoisonnés par une modernité obèse, droguée, asphyxiée par la malbouffe et le clinquant des soirées « bling-bling pourraves ». La poche de sang de Marie Pasteur, symbole d’une pureté illusoire, ne suffit pas à racheter ces créatures déchues, engluées dans un monde où l’air est vicié et la terre asséchée. Mais là où lapinchien cherche une mise en garde – sur le gonzo journalisme, la liberté des années 70 ou l’imaginaire gothique –, Carrie, lui, refuse la solennité. Son texte n’est pas une prophétie, mais un constat brutal, presque nihiliste : vampires et humains, tous sont des « bennes à ordures », condamnés par leur soif de pouvoir et leur avidité. Cette absence de rédemption, cette célébration de l’abject, heurte autant qu’elle fascine. Si l’humour de Carrie, validé par un lapinchien conquis, porte le texte, il n’efface pas ses ambiguïtés : la surcharge de références, entre Bram Stoker et Benicio del Toro, frôle parfois le chaos, au risque de perdre le lecteur. Pourtant, c’est dans ce désordre assumé, dans cette liberté gonzo, que le texte trouve sa force, celle d’une comédie sérieuse qui, sous ses dehors délirants, crache au visage d’une humanité à bout de souffle. ]
= biblio =
08/05/2025
13/04/2025
03/04/2025
14/03/2025
22/02/2025
![[illustration]](/data/img/images/2025-05-08-vampire-big.jpg)
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L'alcool peut augmenter le risque de saignement gastrique dû à l'aspirine. Consultez immédiatement votre médecin si vous présentez des symptômes de saignement gastrique ou intestinal, notamment des selles noires, sanglantes ou goudronneuses, ou des crachats de sang ou des vomissements ressemblant à du marc de café.
Rescousse rapide pulpfictionienne, je connais un nom sur deux, on s'en fout je crois, petits problèmes de virgules et de majuscules mais on va pas faire chier pour ça.
Dialogues pas trop réalistes ("chiottes, Je me sens vraiment pas d'équerre, avec cette ENFLURE de Hunter - qui est une insulte inventée par Jean Reno, J'ai la tête un peu en vrac") ça fait un peu télé mais bon, après tout, on dirait une scène de film et avec la musique c'est cool, stressé comique
à toi, tu fais du gonzocommentaire alors ?
je commente, je commente, gentiment je commente, on nous dit qu'il faut commenter, je commente
C'est très bien, je ne critique pas. Je constate que tu lances un nouveau courant commentatoire. J'ai moi même fait un gonzodescriptif de ce texte
aime pas pronoms
ni articles
Gonzo ça ?
wah mais nan LC toi ton recueil de poèmes de descriptifs faudrait le proposer à des maisons d'édition
J'ai même une hygiène de vie. Faire des drive-by de commentaires pour qu'en page d'accueil il n'y ait que mon nom qui apparaisse. Tu devrais essayer, c'est marrant. Tout le monde devrait essayer en même temps, ce serait encore plus marrant.
mais c'est ce que je fais bordel
Pampers, prêt pour en rajouter une couche.
Le vampire malade est un concept apparu au début des années 80 avec l’épidémie de Sida, qui décima la malheureuse population sodomite de San Francisco, amen.
Depuis cette époque, les créatures de la nuit, quasi- indestructibles jusqu’alors- doivent compulser le guide vampirique du consommateur avant de saigner un con sans prendre trop de risques.
Et en ce qui concerne les gremlins? Comme nous sommes le 8 mai, il est important de rappeler que les courageux et jeunes pilotes de la Royal Air Force avaient imaginés ces créatures qui étaient responsables des pannes et des crashs de leur Spitfire.
Ouais, bof. J'sais pas, ça manquait un peu de scènes délirantes, de PEP'S quoi. Je rejoins mes camarades sur la ponctuation. J'ai les rétines qui brûlent. PITI2 § AIDEZ6MOI§
Je peux t'arracher les yeux. J'en ai même très envie.
souviens bien de Gonzo.
C’était un volatile au cou maigre et tordu dans le Muppetshow. Est ce que son nom était inspiré du style de Hunter? Je ne sais pas. Je ne sais plus. Je suis perdu. N’empêche, il avait du style. En parlant vampire, le film de Andy Warol était chouette - du sang pour Dracula? - et la trilogie de Tanith Lee n’était pas mal non plus, si je ne me Docteur Mabuse.
Vous aussi vous vous posez une question existentielle ? N'hésitez pas à la poser à lapinchien car il a un compte premium+ sur X et peut utiliser Grok de manière illimitée. Magicien Pampers, voici la réponse de l'Oracle à ton interrogation :
Le nom "Gonzo" du personnage du Muppet Show provient d'une inspiration tirée de l'argot américain. Selon les créateurs, notamment Jim Henson et son équipe, le terme "gonzo" est dérivé du journalisme "gonzo", un style d'écriture excentrique et audacieux popularisé par Hunter S. Thompson dans les années 1970. Ce style se caractérise par une approche non conventionnelle, souvent absurde ou extravagante, ce qui correspond parfaitement à la personnalité unique et excentrique de Gonzo, connu pour ses cascades farfelues et son comportement imprévisible.
Une autre anecdote mentionne que le nom pourrait aussi faire écho à l'argot des années 1960, où "gonzo" désignait quelque chose ou quelqu'un de bizarre ou d'extravagant. Les marionnettistes ont choisi ce nom pour refléter le caractère étrange et audacieux du personnage, qui ne rentre dans aucune case.
Il n'y a pas de référence directe à une origine unique dans les archives officielles des Muppets, mais l'association avec le journalisme gonzo et l'idée d'excentricité reste la plus couramment acceptée.
Tu n'as pas posé la question mais Grok sait que tu te la poses alors voici quand même sa réponse (t'auras l'occasion de te la poser au calme plus tard) :
Gonzo, personnage du Muppet Show, est officiellement décrit comme un "bizarre" ou un "whatever" (en anglais), sans appartenance claire à une espèce animale précise. Les créateurs, dont Jim Henson, ont volontairement laissé son identité ambiguë pour renforcer son caractère excentrique.
Cependant, il est souvent perçu comme une créature extraterrestre ou un oiseau étrange, notamment en raison de son bec crochu, de son plumage bleu et de ses traits évoquant vaguement un volatile. Dans le film Muppets from Space (1999), il est révélé que Gonzo est un extraterrestre originaire d'une autre planète, ce qui explique son apparence et son comportement atypiques.
En résumé, Gonzo n’est pas un animal spécifique, mais une créature unique, finalement identifiée comme extraterrestre.
C'est à quel moment, exactement, qu'on est autorisé à envoyer Magicien-de-mes-couilles à aller se faire mettre avec ses commentaires dont le seul but est de caser un max de références obscures emballées dans une chiasse pseudo littéraire délirante t'as vu ? Faut synchroniser nos montres ou je suis à l'heure d'été ?
Tous sur Magicien Pampers, il est blessé achevons le collectivement pour la pérennité du groupe. On se partagera les restes pour que tout le monde bouffe à sa fin.
Sinon, je trouve que Magicien Pampers est essentiel à la Zone. Si tout le monde pouvait commenter comme lui, ce serait génial. Nos bases de données seraient plus grandes que celles de Wikipedia et l'usage anti-écologique de l'IA serait anecdotique.
Non, sans déconner. Je trouve qu'il est rarement hors sujet avec ses références.