LA ZONE -

Jeu d'adresse

Le 25/10/2025
par Junko
[illustration] Extrait de carnet de rêve, ni plus ni moins.
Un taudis crade, murs gris. Espace souterrain en dessous des dance-floors suant, en dessous des caves a cul, chaines et odeur de sperme.
Lumiere neon. Séparé en deux espaces, d'un coté deux banquettes en cuir face à face, une table basse entre elles. De l'autre coté une table de billard illuminé d'un luminaire menaçant de tomber.
Trois personne sur les canapés, tant d'autres dos contre les murs queue déjà en main.
Dans le canapé dos au billard, un type qui me rappelle William Bennet, cheveux grisonnant et lunettes de soleil trois niveaux sous terre éclairé par des néons branlant, veste en cuir sans manche, jean gris sans ceinture qui demande qu'à tomber, jambes écarté, sourire en coin. Tout le monde ici le sais c'est un dominant parmi les dominants, un sadiste pur souche, le genre qui se sert de sa queue que pour faire mal, qui prend plaisir qu'a faire souffrir, et a se sentir important, et tout le monde sait qu'il est bon la dedans, c'est ca qui le rend si bandant.
De l'autre coté de la table, jambes fermées, un gars dans la fin de vingtaine, peau abimé, cheveux mal coiffées, tish bleu passé, jean si simple a enlever.
Sur la table cette femme a quatre patte, rien de plus qu'un archetype hérité d'un porno vintage, ensemble en cuir avec des trous au niveaux des orifices et des tétons, elle est le partenaire officielle de l'expérimenté.

Elle regarde son mec droit dans les yeux a travers le verre teinté, en demandant au jeune a qui elle fait dos de lui enfoncer les doigts dans le cul en gloussant comme le voudrait le scénariste sans talent qui l'as ecrit, le jeune timide s'execute en silence. La blonde/objet s'excite dans se scenario hypothétique a essayer de rendre jaloux son conjoint, mais celui-ci s'en rend bien compte et donc trouve ca ridicule, alors il laisse faire. elle bouge son cul en arrière pour engloutir les doigts dans leurs entièreté, le tout accompagner de faux gémissements.
Le dominant se relève doucement du fond de son siège craquelé et collant après avoir fini sa pinte qui était déjà bien assez tiède, pince l'un des tétons de la femme, sors un canif de sa poche et au moment ou il se lève, coupe sec le bout du nibard sans même daigner adresser un regard au bout de chair posé sur la table, plutôt, il se dirige vers celui qui a partir de cet instant fut sans qu'un mot sois dit son soumis, il lui saisis les cheveux par le derrière du crane, et le traine jusqu'à au billard, pendant que le sol ce recouvre de sang, et aussi du sperme des plus précoce du public.
IL prend par la gorge le soumis et le fait s'allonger sur le billard, tire un grand coup sec sur son fute pour le retirer, le soumis comprend de suite son role, ca respiration de plus en plus forte et haletante fait office de consentement, le dominant ce saisi de ca queue mi-molle, la sectionne aussitôt, balance le membre inutile a la gueule de l'objet sur la table basse en hors-champ, dieu seul sait quelle pourrait être sa reaction.
Il dispose entre ces jambes quelques boules de billards en triangle, ce saisi d'une queue de billard, et de l'autre main relève les couilles et le reste de bite du jeune pour introduire la queue dans l'anus du soumis, trop excité pour dire quoi que ce soit.
Le dominant prend le temps de bien viser, ce permet quelque vas et viens avec la queue pour être bien a l'aise, un subtil jeu avec le trou du cul de l'hémorragique qui tâche non pas pour la premiere fois le tissu vert du billard.
Le sosie de Bennet ce concentre un instant, et prend un bon recul avant de tirer, un relativement miserable coup, par un grand hasard il rentre une boule.
Mais ce n'est pas bien important, tout le monde le sais, ce n'est qu'un prétexte.
Changement de scene:
Je suis dans mon lit, surement mal au crane.
Pas de billard, pas de lumière néon ou d'actrices de cul, mais un sol aussi crade avec les meme cadavres de bières et caleçons taché de sperme, aucun souvenir de ce que j'ai bien pu faire cette journée.

= commentaires =

Lapinchien

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Pute : 87
à mort
    le 24/10/2025 à 19:08:37
Hey ! Bienvenue sur le site, depuis le temps qu'on se côtoie sur le serveur Discord. Ravi de te lire enfin.

Sinon, j'aimerais ne jamais avoir à conduire une inception dans tes rêves. Risque de me réveiller avec la boule au ventre sauf que ce serait une vraie boule de billard dans le ventre, au réveil. Et à part ça, je trouve que le style est un peu sec mais en même temps ça rend bien compte du coté vaporeux et évanescent des rêves alors ce n'est pas un reproche.
Lapinchien

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Pute : 87
à mort
    le 24/10/2025 à 19:15:34
Je tiens à préciser que l'invitation à jouer au billard dans la critique du texte n'est pas de moi mais de Cuddle. Voilà, pour pas qu'il y ait de malentendu.
    le 24/10/2025 à 19:30:22
Les vingt premières lignes sont écrites à la manière d'un scénario. C'est une façon froide, chirurgicale de poser le décor, et une manière d'annoncer les mutilations qui vont suivre.

Lorsque l'action est lancée, la narration devient insoutenable.
Dans le genre cauchemardesque (et anti-érotique au possible), c'est très bien fait. Personnellement, je ne pourrai pas lire plus d'une page de tels écrits.
    le 24/10/2025 à 19:32:06
Lapinchien, je viens de te mettre un point p... sans le vouloir.
Mais au moins, maintenant, je comprends ce que ça veut dire.
Lapinchien

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Pute : 87
à mort
    le 24/10/2025 à 20:08:20
Je t'ai rendu la pareille mais par contre j'ai fait exprès. Je ne comprends toujours pas à quoi ils servent.
    le 24/10/2025 à 20:23:06
Je dirais que, en l'occurrence, ça sert à m'énerver deux fois.

Mais bon, tu m'as expliqué que les points "pute" étaient un marqueur identitaire de La Zone, un incontournable, un intouchable, un non-négociable. Et tu m'as convaincue. Je m'incline.
Rajoute-m'en un, tiens.
Lapinchien

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Pute : 87
à mort
    le 24/10/2025 à 21:04:28
Je ne peux malheureusement t'amputer qu'une fois par jour, pobablement pour éviter l'effondrement boursier, les jeudis noirs et des licenciements massifs. Tout est sous contrôle pour éviter les grandes variations de la monotonie putassière et les catastrophes induites.
A.P

Pute : 35
    le 24/10/2025 à 21:04:44
Le bon point : ça me rappelle certains délires de Burroughs (encore lui ?) ou bien de Poppy Z. Brite dans le corps exquis.

Les mauvais points : l'orthographe, l'écriture assez inégale et la note salée du psy de l'auteur.

Je crois que je ne suis plus du tout réceptif à ce type de boucherie gratuite littéraire. Sans une plus value qui donne du sens au propos je serai tenté de répondre : "mouais... bof... déjà vu en pire"

L'ajout de la mention "extrait d'un carnet de rêve" pourrait donner à cet exercice une pointe d'inquiétude quant à la santé mentale de l'auteur. Un peu comme l'ajout de "inspiré de fait réel" dans les films et séries qui sont la plupart du temps bien bidonnés.

Bref je crois que j'en ai trop dit pour un texte qui manifestement ne m'inspire pas grand-chose.

Ce qui je m'en rends compte est un brin contradictoire avec la longueur de ce commentaire.
Alors soit. Assumons. Allons jusqu'au bout du délire à enchaîner les mots et les phrases afin de retenir l'attention d'un lecteur malchanceux qui sans même s'en rendre compte sera tombé dans le piège improvisé d'une espèce de couillon qui s'ennuyant un soir n'a rien trouvé de mieux que de parasiter la section commentaire d'un texte franchement passable pour y éructer un néant abyssal sans aucune autre forme de respect pour la structure grammaticale de cette phrase trop longue et sûrement bien trop débile pour mériter d'être publiée ici, sur ce site prônant pourtant une ouverture à toutes et à tous, du jeune au vieux, de l'écrivain publié à l'ado boutonneux qui n'a pas compris que les vagues rouges sous ses mots sont la marque d'un correcteur orthographique qu'il ignore et non pas une rémanence onirique horrifique ou une synesthésie qui soit dit en passant est un truc dont on ne parle pas assez dans nos sociétés modernes et, certes ça n'empêche personne de vivre mais tout de même, ça ne surprend aucun d'entre vous que tout le monde s'en fout ?
Nino St Félix

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Pute : 14
    le 24/10/2025 à 21:57:47
Je n'ai hélas pas compris grand chose a la scène centrale, du moins a la première lecture. Et donc j'ai du m'en infliger une seconde.
Dans mon souvenir Sade était beaucoup plus subtil dans ses descriptions, et pourtant fluide. Là c'est l'inverse, c'est simple et brutal, mais on s'y perd, donc y a forcément quelque chose a revoir en terme de narration. Sans parler bien sûr de l'orthographe et de quelques phrases qui, malgré le style sec, sont mal fagottées. Quant à la syntaxe... J'ai aucun souci a lire du crade gore, surtout que j'ai beaucoup apprécié la chute, mais là, ça saccage tout et, hélas, c'est pas fait exprès. On peut décrire des horreurs mais le faire avec un minimum de formes, c'est ce qui fait la différence entre un brouillon d'étudiant onaniste et un coup de poing dans la gueule des vieux cons declassés comme bibi.
Lapinchien

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Pute : 87
à mort
    le 24/10/2025 à 22:44:30
Je vous trouve bien exigeants pour un premier texte. Franchement je trouve que le "contrat" est bien plus que rempli. Mais vous êtes surement de vrais adeptes du BDSM à qui on l'a fait pas ?
A.P

Pute : 35
    le 24/10/2025 à 23:48:42
Un sadique et un masochiste sont dans un ascenseur en panne.
Le maso dit :
- Fais-moi mal !
Le sadique répond :
- Non
Lapinchien

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Pute : 87
à mort
    le 24/10/2025 à 23:56:51
Très drôle mais pas autant que ta "synesthésie" que je ne manquerai pas de recaser lors des soirées de l'ambassadeur entre 2 Ferrero rochers.
Lindsay S

Pute : 99
    le 25/10/2025 à 09:16:13
Félicitations à l’auteur : j’ai réussi à lire jusqu’au bout sans vomir, ce qui est une performance.

On sent qu’on est quelque part entre le rêve humide, le film interdit et un épisode de *Dexter* mal doublé. C’est d’un goût… disons… très affirmé.

L’orthographe est un carnage, la syntaxe un champ de bataille, mais paradoxalement, ça colle assez bien au décor : crade, déglingué, sans oxygène. Il y a une cohérence, quelque part sous les taches de sang et de sperme.

Soyons honnêtes : si c’était totalement nul, j’aurais décroché avant la mutilation du téton. Donc oui, il y a un truc. Une sorte de pulsion d’écriture brute, pas maîtrisée mais sincère.

Ce serait même presque fascinant si on sentait une pensée derrière, autre chose qu’un fantasme gore. Mais là, c’est juste le chaos, un peu comme si un rêve érotique avait pris trop de café et décidé de faire du bruit.
Maintenant, reste à voir si l’auteur veut écrire un texte ou juste exorciser un mauvais trip.
    le 25/10/2025 à 14:16:41
Bin moi j'en ai fini avec le cul. Même imaginer une vulve de près me dégoûte. Et puis, ce texte est vulgaire et chiant. On dirait un mauvais début de scénar porno sans budget...
Laure AWENYDD

Pute : 21
    le 27/10/2025 à 16:37:06
Gros avantage de la synthèse vocale… Je ne vois pas les fautes d'orthographe… Donc là-dessus je n'aurais rien à dire… Par contre, vu tous les détails au niveau vestimentaire, j'ai cru un instant qu'on était dans une boutique de fringues.

Je n'ai pas particulièrement apprécié le texte, sauf la fin… J'aime quand il y a une certaine logique dans l'horreur. Là c'est du gratuit… Pas de fondement… Bon je comprends que ce soit juste la narration d'un rêve… Les cauchemars, je connais… Essaie deux cachets de mélatonine le soir dans une infusion relaxante de préférence bio… Ça devrait améliorer les choses… Enfin seulement en lune montante…

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