J'ai jamais aimé les cafés philo, ça pue le gel coiffant à effet décoiffé et le parfum de marque, et les chemises blanches ouvertes jusqu'à un nombril glabre, ça me donne envie de gerber dedans.
J'ai jamais trop aimé non plus parler philo, ça mène à rien sauf à des manifestations simiesques de puissance conceptuelle. Mais c'est vide.
Qu'un bouquin réponde à un autre, oui.
Mais ici, je vois pas à quoi ça peut mener.
Et y a même pas de pinard pour accompagner, bordel, dans tout bon café du commerce, y a du pinard à volonté. C'est quoi, ça.
Alors je crois que je vais pas répondre.