"Non, on ne peut pas."
Voilà ce que la vie me répond, irrévocablement. En dépit de ce que mes yeux voyent, et de ce que mes mains sensuelles touchoyent, et de ce que mon nez, ce nez comac', qui m'a valu bien des éloges - de ce que mon nez, donc, comac', sentoye.
Mes sens élémentaires, une tragédie qui rime en oye. Et pas remboursés par la sécu.