Bernie

Extrait 1 :

"Je m'appelle Bernie Noël et j'aime bien les hyènes, parce que la hyène c'est... c'est un animal dont on parle jamais, alors que c'est un animal qui peut être... qui peut être très important.
Parce que moi je trouve que être ami avec une hyène, souvent c'est plus important qu'être ami... avec des... avec des vrais amis.
C'est... Elle vous protège, si y avait du danger, eh ben : "ouais ben moi, chuis avec une hyène", alors là, évidemment..."

Extrait 2 :

"Le député : - Bonjour comissaire, je suis le député Valois.
Le comissaire : - Je vous avais reconnu, Monsieur le député... Mais restez pas là, il est armé.
Le député : - Je vais aller parler personnellement au forcené.
Le comissaire : - Vous allez pas faire ça ? J'ai lu les rapports des psychiatres : c'est une bête ! C'est un vrai fou.

[plus loin]
Bernie : - ... et après je la mangerai ! Et je la découperai en morceaux ! Et je dirai que c'est même pas moi ! Alors ?

[retour]
Le comissaire (au député qui se dirige vers le lieu de la prise d'otages) : - Non, faites pas ça, je vous en prie, non faites pas ça !
Le député (à Bernie) : - Allo ? C'est le député Valois. Allo, vous m'entendez ? Et si nous cherchions... Un autre chemin que la violence ? Allo ? Est-ce que vous m'entendez ?
L'otage : - Reculez tous ! Sinon il est capable du pire !
Bernie : Parfaitement ! C'est ça !
L'otage : - Dégagez la route !
Le député : - Je suis le député Valois, Bernie Noël. Relachez votre otage, je vous donne ma parole qu'il ne vous sera fait aucun mal, n'ayez pas peur, Bernie Noël. Faut ouvrir les bras.
Bernie : - Who is Bernie Noël ?
Le député : - Quoi ?
Bernie (à la ronde): - Is there anyone... euh... whose name is Bernie Noël ?
Le député : - C'est pas la prise d'otage de Torigny, ici ?

[...]

[Bernie explose la tête du député au fusil de chasse]
Bernie : - ALORS ON FAIT MOINS LE MALIN, MAINTENANT, HEIN ? ON FAIT MOINS LE MALIN !"