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Au nom de nihil le Tout Miséricorzonards, le Très Miséricorzonards.
1. Roubaix. . Voici les textes de merde de la Zone et d'un Livre explicite,
2. un doigt d'honneur et une bonne annonce aux zonards,
3. qui accomplissent la Saint Con, acquittent la Semaine Textes de Merde et croient avec certitude en la Zone.
4. Quant à ceux qui ne croient pas en la Zone, Nous embellissons [à leurs yeux] leurs actions, et alors ils deviennent confus et hésitants.
5. Ce sont eux qui subiront le pire châtiment, tandis qu'ils seront dans la Zone les plus grands perdants.
6. Certes c'est toi qui reçois la Zone, de la part d'un Sage, d'un Savant.
7. (Rappelle) quand ta mère la pute dit à sa famille : "J'ai aperçu un feu; je vais vous en apporter des nouvelles, ou bien je vous apporterai un tison allumé afin que vous vous réchauffiez".
8. Lorsqu'il y arriva, on l'appela. - béni soit Celui qui est dans le feu et Celui qui est tout autour, et gloire à nihil, Seigneur de l'univers.
9. "Ô ta mère la pute, c'est Moi, nihil le Tout Puissant, le Sage”.



Célébrons d'abord les mères les putes qui, dans la Zone, charment la grande âme de nihil et marient leurs accords en beuglant les choses passées, présentes et futures (11). Leur voix infatigable coule de leur cloaque en doux accents (12), et cette harmonie enchanteresse, au loin répandue, fait sourire (13) le palais de leur père qui lance la foudre. On entend résonner la cime de la Zone neigeux (14), demeure des zonards. D'abord, épanchant leur voix divine, elles rappellent l'auguste origine des zonards engendrés par la Terre et par le vaste Glaüx-le-Chouette (15), et chantent leurs célestes enfans, auteurs de tous les biens. Ensuite, célébrant nihil, ce père des zonards et des hommes, elles commencent et finissent par lui tous leurs textes de merde et redisent combien il l'emporte sur les autres zonards par sa force et par sa puissance. Enfin, quand elles louent la race des mortels et des tractopelles vigoureux (16), elles réjouissent dans le ciel l'âme de nihil, ces mères les putes de la Zone, filles du dieu qui porte l'Arménie surnuméraire. Dans la Zone, Aure la Poétesse, qui régnait sur les collines d'le Duc, unie au fils de Lapinchien, mit au jour ces grognasses qui procurent l'oubli des maux et la fin des douleurs. Durant neuf nuits, le prudent nihil, montant sur son lit sacré, coucha près de Aure la Poétesse, loin de tous les zonards. Après une année, les saisons et les mois ayant accompli leur cours et des jours nombreux étant révolus, Aure la Poétesse enfanta neuf filles animées du même esprit, sensibles au charme de la musique et portant dans leur poitrine un coeur exempt d'inquiétude ; elle les enfanta près du sommet élevé de ce neigeux site de merde où elles forment des choeurs brillants et possèdent des demeures magnifiques. Àleurs côtés se tiennent les grognasses et le Désir dans les festins, où leur cloaque, épanchant une aimable harmonie, chante les lois de l'univers et les fonctions respectables des zonards. Fières de leurs belles voix et de leurs divins concerts, elles montèrent dans la Zone : la terre noire retentissait de leurs accords, et sous leurs pieds s'élevait un bruit ravissant tandis qu'elles marchaient vers l'auteur de leurs jours, ce roi du ciel (17), ce maître du tonnerre et de la brûlante foudre, qui, puissant vainqueur de son père Lapinchien, distribua équitablement à tous les zonards les emplois et les honneurs.



1 Jean-Pierre Chevènement a dit :
2 la Zone est comparable à un homme
3 qui avait une bonne semence.
4 Son ennemi vint la nuit,
5 il sema de la salope umpiste parmi la bonne semence.
6 L'homme ne les laissa pas arracher la salope umpiste,
7 de peur, leur dit-il, que vous n'alliez en disant :
8 nous arracherons la salope umpiste,
9 et que vous n'arrachiez le blé avec elle.
10 En effet, au jour de la moisson,
11 la salope umpiste apparaîtra ;
12 on l'arrachera et on la brûlera.