Rubriques
- Les aventures de Thrash Boy :
- Plongez dans l’univers brutal et chaotique de Thrash Boy, une série où chaque épisode vous entraîne dans les bas-fonds d’une zone urbaine abandonnée, dominée par un prédateur cannibale à l’allure de cauchemar punk. Suivez le lieutenant Eli Gomez-Stern et son escouade dans leur mission périlleuse pour capturer cette créature insaisissable, où chaque affrontement révèle des enjeux plus sombres et des mystères sur les origines de Thrash Boy.
Textes :
-
Les aventures de Thrash Boy - 1er volet
par
Mill
Mill passe 80% de ce texte à décrire son personnage. Pire que ça, c'est une description uniquement physique : rien sur ses pensées ou son histoire, tout sur sa super coupe de cheveux. Je veux bien que le Trash Boy en question ait un look intéressant, mais on est pas à un défilé de mode. Heureusement, y a un deuxième épîsode qui arrive derrière. Espérons qu'il s'y passera quelque chose et que Mill nous décrira pas un réverbère ou un pigeon tout du long. -
Les aventures de Thrash Boy - 2e volet
par
Mill
Les premiers épisodes qui plantent des contextes et présentent des personnages, sans qu'il se passe rien d'autre, c'est toujours gonflant. Alors en avant pour l'action dans ce numéro 2. Et pas raté, ça claque bien. Au menu : crossover de clichés kitschogore et série Z débile qui s'assume, c'est de la grosse merde, mais c'est bien agréable. Triple portion de gras pour un bon moment de rigolade sans prise de tête. Putain ma dernière phrase, on dirait une annonce de pêcheur de thons sur Meetic. -
Les aventures de Thrash Boy - 3e volet
par
Mill
Mill a flairé l'engouement du lectorat pour le second épisode de Trash Boy (à juste titre), alors comme tous les bons commerçants, il en remet une couche pour fidéliser le client. La recette est simple : un super-zombie écharpe un commando de marines. De la série Z ornée de tripes répandues et rehaussée d'action comics-style. Sauf que là, non seulement ça avance pas d'un poil depuis l'épisode précédent, mais en plus Mill s'amuse à nous décrire le background de chaque soldat, dont on se fout éperdument, puisqu'ils ne sont là que pour servir de victimes. 'Epic fail', comme disait ma grand-mère.