Ne comprends-tu pas que c'est ton bonheur que je veux ? Je te jure de ne jamais outrager ta vertu, la simple idée de ta langue dans ma bouche suffit à faire mon bonheur. Ne me repousse pas. Là, voilà, je te sens t'alanguir entre mes bras. Tout doucement. Voilà. Tu sais depuis toujours n'est-ce pas ? Tu n'as pas pu ne pas me remarquer mes regards. Je n'ai plus cessé de penser à toi depuis que je t'ai vu, fraîche et gambadant dans ce pré sans peur du lendemain. Je ne veux rien d'autre que ton souffle chaud mêlé au mien
Là, laisse moi enrouler ma langue contre la tienne, laisser moi en caresser tout doucement tes grosses dents carrées, effleurer l'intérieur de tes joues rebondies. Une fois et une seule nous nous retrouvons, ensemble, unis comme nous l'étions déjà en esprit depuis le commencement des temps. Je ne peux quitter les lèvres épaisses, entre en moi, glisse ton énorme langue dans ma bouche, emplis moi de ton suc et fais moi perdre la tête comme aucune femme ne le pourrait.
Demain, on t'amènera à l'abattoir, avec les autres. Je ne t'oublierai jamais.
Ne te débats donc point tant.
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Nihil, t'abuses.
existe aussi sous cellophane.
..DTC
Apès Yo et sa bouteille, nihil etles animaux. Vive la sexualité déviante.
Sinon on m'a changé mon pass, j'aimerais bien le récupérer.
simple, efficace et de bon goût.
On peut pas dire que ce soit un final twist, étant donné que d'emblée on capte ; donc j'aime bien.
La première phrase est grandiose, imaginée dans la bouche d'un mec face à une vache.
J'avais complètement oublié que j'avais écrit ce truc. D'ailleurs c'était pas moi, c'était mes mains. Celles qui me touchent fréquemment la bite, vous voyez. D'où le mauvais goût.
"J'avais complètement oublié que j'avais écrit ce truc."
Oh, la pute.
Oh, la GROSSE pute.
Plaisant, c'est du digestif quoi.
Non, du digéré.
La Zone, foie de porc et langue de veau.
Arrrrrrrr.
Certes, ça manque de majorette.
On peut en faire une salade?
"Tu ne m'a pas pu à moi ne pas me remarquer mes regards de moi, tu sais ceux qui sont les miens." ?
Alors voilà,
null, je t'aime, tu suces, t'avales, qu'est-ce que tu penses de la Grammaire Méthodique du Français, elle est bien mais moins accessible que le Grévisse hein, dis, hein, tu veux être mon ami surlittéraire flicaillon de la langue française dis ?
Mais surtout, tu suces, t'avales ?
Joli, mignon, court.
CTB
Hey, j'avais fait la même et quelqu'un l'a effacée, ou y a eu un bug, c'est scandaleux, je suis outré.
Vas y fais nous loutre.
Il est hors de question que je te fasse loutre.
On dit ça puis on finit par jouer au banjo.
elle n'est pas entierement fermée.
mon ombre te chuchote qu'elle apprecie ce style là, préçis.
dommage de regarder de si haut et de n'accepter critiques positives ou négatives .
Enfin . Un choix mûr est à toujours plus respectable que certains propos aveugles et durs , n'effleurant pas même l' égo dissout , du chancellant réceptacle.
Amicalement