LA ZONE -

Une nuit mémorable

Le 10/09/2007
par Lussylver
[illustration] Je l'aimais. Je l'aime profondément. Et des personnes comme elle sont rares. Personne jusqu'à ce jour ne lui parvient à la cheville. Ses formes, sa peau légèrement doré, ses petits tressaillements quand mon rasoir s'incrustait plus profondément dans sa chair. Mais cette nuit était mémorable et valait largement ces nuits de solitude.

Ce soir là, on se l'étaient décidé.
Elle était couché sur le lit, un bandeau noir lui cachait les yeux. Je la menota aux montants du lit. Elle avait encore ses sous-vêtement. Je me suis couché contre elle. Je me suis mis à l'embrasser avec toute ma fougue. Elle adorait que je l'embrasse. Mes lèvres glissèrent sur sa joue, puis lui mordillât le lobe de l'oreille. Je me suis mit à lui faire un suçon dans le bas du coup. Elle aimait ça. Parcouru d'un léger frisson, elle reposa la tête contre la mienne. Je décidais alors de passer aux seins. Je commençait par le haut des seins, puis, gêné par son soutien-gorge, je pris mon couteau et je l'enlevât. Je me suis à lécher ses seins qui se tortillaient voluptueusement de parts et d'autres de mon visage. Quand j'ai arrêtait, je lui dit un léger "je t'aime" au creux de l'oreille.

Je m'emparais de mon rasoir. Je le fit parcourir par le plat de la lame sur la peau, lentement, de bas en haut, puis, arrivé au creux du coup, je le fit passer sur le contour des os avant des clavicules. Elle tressaillit, et un léger filet de sang se mit à couler sur sa poitrine, du coté droit de l'incision. Elle accueillit la douleur sans protestations ni grimace. Juste un léger souffle à la fin de l'incision. Le tracé du rasoir continua du haut du sternum, jusqu'au bas du ventre, juste en haut du pubis en tournant autour du nombril. Aucun filet de sang ne s'écoulais alors de ce tracé. Je continuais mon incision sur le creux des reins. Là, le sang se mis à s'écouler lentement. Elle esquissa une grimace de douleur. Je fit parcourir mes doigts sur ce sang, et le lécha. Je suis penché sur son corps pour lui sucer le mince filet de sang qui coulait sur son épaule. Je me relevât.

Mes mains se mirent à parcourir son corps puis mes doigts s'infiltrèrent dans l'incision du bas, en les faisant rentrer sous la peau. Là-dessus, sa grimace devint plus marqué. Je décidait alors de ne plus faire durer l'appréhension de la douleur, et lui arracha la peau. Elle se mit à hurler. La peau avait étonnamment respecté l'incision et s'était enlevé sans bruit particulier, juste un son humide. Et le spectacle était merveilleux. Sa chair était visible, et tout ses muscles étaient saillants de contraction dues à la douleur. Je ne pouvait plus supporter. J'était dans une excitation terrifiante et mon érection était insoutenable.

Je lui arracha la culotte et la pénétrât. Mon plaisir était extraordinaire et mes mains tremblaient pendant qu'elle parcouraient sa chair. Son cri décuplait mon bonheur et je la pénétrait plus profondément. Sans attendre, je me suis emparé de mon couteau et le lui plantait dans le bas de l'abdomen. Je le fit bouger, le lançait dans le coin de la pièce, puis mes mains pénétrèrent dans cette coupure et l'ouvrit plus largement. Là, je le vis, et mon plaisir grandit encore, sans jaillir. Mon sexe, qui rentrait et sortait du sien en faisant bouger son vagin, qui se gonflait et se dégonflait au fur et à mesure de mes va-et-viens. Je me mis à bander tellement fort, que ça se transformât en douleur, comme si mon sexe allait exploser sous une éruption. Ses cris s'étaient assourdi et je me suis mis à prier qu'elle ne perdit pas connaissance. Plus fort et plus rapidement, je la pénétrait jusqu'à ce que mon gland déchira son vagin, se découvrant ainsi au sein même de ma bien aimé. Mon plaisir jaillit comme un volcan trop longtemps en sommeil, et mon sperme se propulsa, sortant du trou et atteignit ma femme sur son visage. Ce fut peut-être une illusion, mais je sentit que c'est à ce moment qu'elle expira pour la dernière fois. Quelle spectacle que de voir l'âme s'envoler d'un être vivant. Je lui arracha alors l'utérus et le lançait contre l'un des murs de la chambre. Elle ne bougeait plus, et moi non plus, dans cette position pendant un interminable moment.

Je ne pouvais la réanimer. Et avec elle est parti le paroxysme de mon plaisir. Je voulait la laisser sur mon lit comme oeuvre d'art reposerait sur son socle. En son souvenir, j'enlève des jeunes femmes pour réessayer d'atteindre ce niveau de bonheur, le commémorer en juste cause comme un évènement mémorable, mais je ne leur infligeait pas la même chose qu'à elle. Elle, au moins, était consentante, pour un dernier moment de bonheur, une dernière volonté. Non, parfois, les éventrait puis les pénétrait par cette coupure, ou les sodomisait en les poignardant dans le dos. Les meilleurs d'entre elles, pour la plupart des vierges, se voyaient égorgé au dessus de la plaie encore béante de ma bien aimée pendant une sodomie. Mais même ce sang frais ne pouvait la réanimer. C'est alors que je décidais de me suicider, par eventrement, dans mon lit, à coté de son cadavre, au milieu de tout ces corps.

= commentaires =

Dourak Smerdiakov

site
Pute : 0
ma non troppo
    le 10/09/2007 à 19:39:13
Je me marras.
Narak

Pute : 2
    le 10/09/2007 à 20:18:58
Affligeant.
nihil

Pute : 1
void
    le 10/09/2007 à 20:40:13
Toi tu passes inactif demain, je sais pas si t'as encore droit à la parole.
Rouage

Pute : 0
    le 10/09/2007 à 21:17:23
"Je me suis à lécher ses seins qui se tortillaient voluptueusement de parts et d'autres de mon visage."
Un peu comme des lombrics.
MantaalF4ct0re

Pute : 1
    le 17/09/2007 à 17:11:23
l'avant dernier paragraphe me donne faim.
weewee
peepee    le 29/09/2007 à 02:42:30
Vous etes tous des perverts.
    le 29/09/2007 à 11:00:55
Et ça t'arrive aussi de te poser devant un arbre et de lui dire "tu portes des feuilles", ou d'aller sur la voie de gauche d'une autoroute à pied et de gueuler en ouvrant les bras "VOUS ROULEZ SUR L4ASPHAAAAALTE" ?

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