Ô sens de la vie, question vaine et risible,
/Toi qu’on traque en vain, chimère insaisissable,
Dans les ruelles crades de l’âme, tu te perds,
/Fuyant les esprits faibles, leurs rêves à l’envers. Un scribouillard, fier de son texte boiteux,
Pensait toucher les cieux, mais c’était bien hideux.
Critique acérée, son ego s’est brisé,
Il a plié bagage, son torchon effacé. Qu’il parte donc, le frêle, avec son verbe mou,
/Qu’il aille pleurnicher sous un ciel sans remous.
Bon vent, l’artiste blessé, va-t’en jouer ailleurs,
La vie, elle, se moque de tes rimes sans cœur.
LA ZONE -
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= chemin =
= résumé =
[ Ce poème est une coquille vide, un amas de mots clinquants qui privilégie l’esthétique au détriment de toute substance. Ses images alambiquées s’empilent dans un chaos prétentieux, sans jamais s’articuler autour d’une idée claire ou d’une émotion sincère. La fragmentation des vers, censée donner du rythme, ne fait que camoufler l’absence de propos cohérent. Le premier vers promet une réflexion sur la vie, mais le texte s’égare dans un déluge de métaphores gratuites, laissant le lecteur perdu et indifférent. C’est une parade de style vaine, qui flatte l’auteur mais oublie de parler au cœur ou à l’esprit. ]
![[illustration]](/data/img/images/2025-11-09-merde-big.jpg)
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= commentaires =
Vraiment trop honte de moi de pas avoir profité du fait que le mec qui avait posté le poème de merde initial m'ait demandé de l'enlever pour lancer une grande initiative collective à la place pour un texte de substitution. Du coup, c'est Pute à frange qui s'y colle dans un style assez proche du poème initial.
Je crois qu'il s'est barré parce qu'il a pas apprécié ma critique ni l'image d'illustration. J'étais pourtant super sincère dans ma démarche.
Il y avait aussi des petits backslashs à la con que j'ai décidé de laisser comme décoration d'halloween.
Bon sang, y en a plein sur Instagram des petits poèmes de merde dans le genre, un vrai musée des horreurs, Instagram. Vive la poésie mais quand on la trouve dans un roman, une nouvelle ou au minimum un récit pour lui donner du style mais franchement l'esthétique pour l'esthétique, la posture pour faire comme dans l'air du temps et la vacuité des propos ça m'avait vraiment gavé.
Du coup j'ai pas compris, la critique, c'est la critique du texte originel ?
Et du coup le texte de substitution est, lui même, une critique de ce qu'il remplace, c'est... J'ai presqu'envie de dire que c'est digne d'Inception
Poète, grosse arnaque à plumes,
Tu recraches du vide en alexandrins qui puent.
Tu crois pondre du sens, tu fais juste des pets d’âme,
Des diarrhées lyriques en robe de drame.
T’appelles ça beauté ? Moi j’appelle ça branlette,
Un ego qui rime, un spleen sous pipette.
T’écris sur la mort, t’écris sur la pluie,
Mais tu t’es jamais mouillé, pas même la nuit.
Tes poèmes ? Des mots morts dans un bocal à sperme.
T’as confondu Verlaine avec ton propre germe.
J'ai essayé de faire cracher à Pute à frange un poème assez proche du premier donc la critique est valable pour les deux et je vais de suite proposer le scénario à Christopher Nolan.
Lindsay, tu sais que tu pourrais avoir des 100aines de likes sur Instagram avec un tel déluge de feu poétique ?
C’est vrai que techniquement, la caca ne vient pas du cœur.
j'en rêve LC... des likes, des compliments creux, de la notoriété et des EUROS
@Paul Sunderland Des fois, on dirait qu'ils se sont fait transplanter un sanibroyeur SFA.
Le caca vient du cul
🤣
Pute à frange m'inspire un poème.
Oh muse insolente
Désinvolte
"Excellent ce petit weekend à Oléron
J'étais dégoûté...
Je voulais me rendre à l'ouverture du magasin shein pas loin
Des émeutiers m'en empêchaient l'accès
Alors direction la mer
Grosse teuf seul sur la plage
Il s'est mis à flotter
J'ai pris la bagnole
J'ai éclaté plein de piétons
J'ai fini aux informations "
Sérieux
Y en ont qui se désistent ?
Je propose qu'on le cherche
Qu'on le trouve
Et qu'on lui pèle le jonc
Les mots ça va deux minutes
On passe à l'action
On le lacére
On lui chie dans la bouche
Et on l'encule
On lui pète un tibia
On le Taillade en croix sur le cul
Comme ça à chaque fois qu'il va chier
La cicatrice s'ouvre à nouveau
Ses likes il va les prendre dans son scrotum
Et on va tirer dessus
Pour le pendre avec
( On rajoutera de l'intestin si c'est pas assez long)
On appellera ça
Le principe de réalité
Mongolito Caca, je plaide coupable, j'ai moi-même essayé dans le passé de traiter l'actualité sous forme de poèmes sur Youtube. C'était vraiment nul à chier. 2 mauvaises idées : actualités et poésie. Daily Sonnet News que ça s'appelait. Présenté par Gérard de Nerval.
Une fois le travail effectué
On l'appellera Apollinaire
( Un morceau de tête en moins)
Et blaise Cendrars
Parce qu'on lui aura couper le bras avec lequel il se branle 🤣
Ah je savais pas
Faudra que j'aille voir... ça
Franchement tu abuses
Mon poème est magnifique
Si si
Mon blog s'appelle jackie shein
Va y faire un tour...
Je parle pas d'actualité 🤣
Je parle de coiffure
J'y parle également d'art
Avec un grand A
Comme anal gésier
C'est hyper cool
Ici
Enfin un endroit où on peut s'insulter librement !!
👍👍👍
Bisous je te chie dans le cul
( 🤣🤣🤣 Formule de politesse teintée de respect analfabete)
De toute façon je me suis inscrit pour rencontrer des gens et potentiellement pouvoir pécho....
Du cul
Etc..
🙂
Le premier ou la première qui m'effleure ne serait que l'avant bras
Avec une douce main
Un Gentil sourire
Je lui pète le crâne
Tu rentres pas dans ma sphère autour de moi
Toi là
Mort à appolinaire
Et Gérard de Nerval
( Cet espèce de taré PSCHYCHIATRIQUE de merde)