Mala Espina
Fiche :
État-civil | |
---|---|
Surnom / titre : | |
Sexe : | |
Espèce : | |
Date de naissance : | |
Lieu de naissance : | |
Adresse actuelle : | |
Profession : | |
Situation familiale : | |
Physique : | |
Taille : | |
Poids : | |
Groupe sanguin : | |
Age : | |
Température corporelle : | |
Electro-encéphalogramme : | |
Signes particuliers : | |
Divers : | |
Caractère : | |
Sexualité : | |
Ennemi héréditaire : | |
Loisirs : | |
QI : | |
Maitre à penser : | |
Alimentation : |
Articles :
- Comme papa dans maman (08/03/2018) - Dossiers / #balancetonporc
Avec un titre comme celui-ci, on était en droit d'attendre du grivois, du pas beau, du sévèrement grossier jusqu'à la moelle mais que nenni. (Je déteste cette expression, je sais même pas pourquoi je l'emploie). Des grossièretés, oui, y en a et pas qu'un peu mais la situation décrite, hélas banale pour beaucoup trop de femmes, suffit à passer du registre grossier à celui de l'ordurier avec tout ce ce que ça implique. Simple et glaçant. - Dixit Valentino (06/11/2017) - Thèmes / Divers / Poèmes de merde
Bizarre. De la part de Mala Espina, on attendait plutôt un Jet de Bile. Rien de tel dans cette espèce de litanie déguisée en histoire racontée / vécue par une mouche de bar répondant au nom gouleyant de Francky-la-Cogne. Si l'on s'en tient au fil ténu du pseudo-récit qu'on nous propose ici sous forme de prose poétique, on peut considérer qu'il s'agit d'une incitation à la fuite. Exit, la révolte, la lutte et le torse bombé. Ici, on largue les amarres et on va voir ailleurs si on y est. Quelques images clefs, deux trois tournures élégantes ou au moins agréables. Pour le reste, ça sent un peu l'écriture automatique. - Ourdir, c'est bien, mais ça dépend quoi #InspirationAmibe (14/05/2016) - Dossiers / écrire quand vous avez l'inspiration d'une amibe
Au tour de Mala Espina de se coller à l'exercice du tirage au sort via la magnifique initiative collective de Lapinchien. L'histoire est un pet de lapin rédigé le petit doigt levé au tour des mots aguiller, butane, chiqueuses, eudiométrie, incontournable, insondablement, opuscule, ostéoporose, pénitentiaux, sophiste. On y rencontre un vieil original à la conversation assommante qui s'entiche d'un père de famille aux arrières-pensées méphistophéliques, un escalier périlleux et des figurants déguisés en ambulanciers. La chute m'a laissé coi. - Nous, les gueux (03/05/2016) - Thèmes / Divers / Poèmes de merde
Oh, un poème, oh des vers, oh des rimes, le tout bancal et arythmique, sachons-le, puisque c'est Mala Espina qui s'y colle, pour cette rentrée littéraire d'après Saint-Con alors même que le suspense est à son comble et que les votes n'ont pas fini de tomber. Réjouissons-nous toutefois, ceci n'est pas un rondel, ni même un sonnet et ça causerait même un petit peu des Nuits debout que ça ne nous étonnerait guère. Mignon comme un jet de bile dont la prose nous manque ici toutefois pour les raisons évoquées plus haut. Il n'empêche que c'est cool, quand même, d'avoir un auteur qui y croit sans cynisme aucun. Qu'on ne vienne pas se plaindre ensuite d'écoutes téléphoniques intempestives, merci. - 12. La poésie est une arme chargée d'avenir #SaintCon2016 (15/04/2016) - Thèmes / Saint-Con / 2016
Texte en compétition dans le cadre de la #SaintCon2016. Cette année, l'auteur des textes demeure anonyme jusqu'au verdict des votes pour ne pas les influencer. Mais bon faut pas déconner. Pour ce texte, l'anonymat est juste impossible. ça se ressent quand même à la lecture que ce poème a été écrit avec le sang d'une seringue de toxicomane séropositif usagée. Ta joie de vivre nous irradie. On t'a reconnu, Pete Doherty. Rappelons qu'il vous est toujours possible de poster une ou plusieurs contributions pour briguer le titre de Grand Inquisiteur de l'Ordre de Saint-Con, avant le 17 Avril. - Jet de bile n°2 (14/02/2016) - Rubriques / Jets de bile
J'ai pensé que cette intervention littéraire de Mala Espina convenait tout particulièrement à cette journée de la Saint-Valentin. Voilà pourquoi je publie le N°2 aujourd'hui après le N°3 et vous la dédicace à tous. Derrière la Goth aigrie se cache une poétesse maudite qui frappe juste et fort là où ça fait mal. Ne lui tenons pas trop rigueur de ses insultes et invectives, ça ne peut-être que du Role Play voire un mal être pubère passager. L'écriture est si noble et si bien sentie. Et non, Mala Espina, je ne dis pas ça parce que je veux te pé-cho. Je ne veux pé-cho personne surtout après avoir lu ton texte. Pé-cho ça n'a aucun sens et vouloir pé-cho c'est une pulsion nécrophilie qui renie son nom. J'adhère à 100% à ton discours et me prosterne, accepte tes lapidations et nous devrions tous en faire de même. Cette vision des relations humaines (entre autres sexuelles) me semble bien plus enchanteresse que celle qui vient de furtivement me traverser l'esprit à l'instant : des centaines de hangars militaires remplis de milliers de barils de foutre et de jerrycans de cyprine, celle de millions de gerçures et de cloques, provoquées par des trillions de vas-et-viens dans des orifices plus ou moins appropriés, celle d'urgences encombrées par d'interminables files d'attente de couples voire triplets, quadruplets, quintets, unis tels d'improbables human centipèdes dans d'improbables coitus captivus, un éclair de lucidité sur la vérité de la saint Valentin en somme. - Jet de bile n° 3 (02/02/2016) - Rubriques / Jets de bile
Visiblement, Mala Espina ne traîne sur la Zone que pour nous affliger de ses textes bilieux à frange de poète à la dérive. Nous avons choisi de poster le Jet de bile n° 3 en hommage aux Shadocks et parce qu'il semblait répondre à l'étrange parodie de Lourdes Phalanges. Ici, l'accent est mis sur les plagiaires et les escrocs de la prose à deux balles, le tout dans un gloubiboulga confus et maniéré, ce qui n'est pas pour nous déplaire, avouons-le, puisqu'on retrouve tout de même quelques mots intéressants, comme "verveine", "oesophage" et "Janet Leigh". Les poètes apprécieront mais nom d'un glaviot lancé à la face du vent : qu'est-ce qu'ils viendraient donc foutre ici ? - Jet de bile n°1 (25/01/2016) - Rubriques / Jets de bile
De prime abord, Mala Espina nous semble une créature sordide et pathétique. Non mais regardez-moi ça : du pus qui s'étale sur votre écran, de la bile au sucre raffiné, du sang parfumé grenadine, de la rébellion à deux balles enrobée dans une poésie plus triste qu'un jour de pluie sans you porn. Et qu'est-ce que c'est que c'est que ces pylônes de tungstène, ce jasmin et ces anges ? C'est écrit, et presque joliment. Dans la série des objets si lisses qu'on se les collerait joyeusement dans l'arrière-train, voici le premier Jet de bile de Mala Espina, n'est pas Lautréamont qui veut.
Derniers articles commentés par Mala Espina
Le 10/05/16 (18h48) par Mala Espina sur Lieu commun n°22 : On est tous le con de quelqu'un d'autre (Mill)Le 02/02/16 (23h28) par Mala Espina sur Jet de bile n° 3 (Mala Espina)
Le 27/01/16 (12h31) par Mala Espina sur Jet de bile Cosby (Jet de bile n°0) (Lourdes Phalanges)
Le 25/01/16 (23h48) par Mala Espina sur Jet de bile n°1 (Mala Espina)
Derniers articles de Mala Espina commentés
Le 10/03/18 (21h56) par Clacker sur Comme papa dans maman (Mala Espina)Le 24/12/17 (21h47) par David sur Dixit Valentino (Mala Espina)
Le 25/05/16 (09h21) par Mill sur Ourdir, c'est bien, mais ça dépend quoi #InspirationAmibe (Mala Espina)
Le 03/05/16 (23h59) par David sur Nous, les gueux (Mala Espina)
Le 29/04/16 (21h28) par Lapinchien sur 12. La poésie est une arme chargée d'avenir #SaintCon2016 (Mala Espina)
Le 25/02/16 (10h56) par Lapinchien sur Jet de bile n° 3 (Mala Espina)
Le 14/02/16 (18h24) par Tu as raison sur Jet de bile n°2 (Mala Espina)
Le 26/01/16 (02h00) par AFP sur Jet de bile n°1 (Mala Espina)