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  1. Ode laborieuse au travail par Lapinchien - (09/01/2020)

    LC se découvre poète et nous chante une ode au travail que je trouve sublime, on sent bien les enjeux de cette année 2020 : la bienveillance, l'engagement dans le travail, la motivation, la joie. Comme quoi, la réforme des retraites n'annonce pas que de la merde mais aussi de l'espoir. N'oubliez pas de passer à Leroy Merlin avant de rentrer chez vous, la corde sera préférable à la retraite.

  2. Sixième chapitre. Viêt-Nam et infortunes. par HaiKulysse - (10/01/2020)

    Suite des aventures psychédéliques de Nausicaa au pays des merveilles. Nouvel épisode du carnet de Moleskine d'HaiKulysse avec son lot de majorettes pour s'attirer les faveurs de Dourak. Si vous n'aimez pas la littérature surréaliste, vous pouvez vous servir de ce texte en l'imprimant puis en l’accrochant à un mur pour tester votre vue.

  3. Le présentateur du JT par Lapinchien - (12/01/2020)

    Alors, comment vous dire ? LC a-t-il pété les plombs pendant les fêtes de noël, a-t-il été possédé par l'esprit de Baudelaire ? Influencé par Dourak pour nous pondre un recueil de poésie qu'on pourrait intituler "discussions de comptoirs autour d'un verre de porto" (à méditer) ? Aucune idée... Dans sa frénésie de création littéraire, l'auteur nous assomme à la Zola avec un poème peu percutant, qui, on est certain, ne restera pas dans les annales (sans mauvais jeux de mots).

  4. Septième chapitre : Viêt-Nam Surnaturel par HaiKulysse - (14/01/2020)

    Suite des aventures du club des cinq en Burroughsie. Beaucoup de contemplatif et assez peu d'action. On notera qu'HaiKulysse pour la Saint-Con 2057 aura brûlé l'ensemble des zonards dans sa cheminée. Trop de surréalisme vous détricote les neurones et on imagine bien la grosse pelote que l'auteur entrepose sur sa commode.

  5. Sonnet au lecteur par Charogne - (30/01/2020)

    La Zone se transforme en cercle des poètes disparus. Ici, Charogne poste un sonnet avec un dernier vers caché pas bien difficile à trouver. Pour le fond, c'est une sorte d'hommage à la phrase "Merde à celui qui lit".