Archives Menstruelles

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Tableaux

Recherche d'articles par mois

  1. Ma génitrice par Anaddict - (01/04/2008)

    Il y avait déjà un texte intitulé 'Maman' par B52 sur le site, alors j'ai renommé. Ce serait d'ailleurs dommage de confondre ce texte avec la pourriture de B52. Sur le même thème, celui-ci est bien écrit et bien ficelé, sans être un must de subtilité, avec du mépris, de la rancoeur écrasante et quelques pulsions de violence sincère. Y a décidément quelque chose à tirer des couineuses oestrogéniques.

  2. Les pieds devant par Marquise de Sade - (02/04/2008)

    Tiens, une vraie nouvelle, avec une vraie intrigue, ça devient rare. Ca se passe dans une prison pour femmes, avec une détenue prête à tout pour s'en sortir qui s'acqquine avec un gêolier particulièrement pourri. Des conditions idéales pour peu que l'auteur sache mener sa barque. Et c'est une réussite. C'est bien construit, avec la bonne dose de sordide et assez de brutalité crade pour nous tenir en haleine. Excellent.

  3. Passe-moi le sel 1.38.7 par LCBeat - (04/04/2008)

    Encore un néo-réaliste de mes burnes. Ce texte, ça équivaut à du Omega-17 dans ses pires moments auto-érotiques. Heureusement, LCBeat fait des textes plus courts et plus porno, dans un même créneau monotone et confus. Ca n'empêche pas le truc d'être dispensable, absurde comme du Ellis, ennuyeux comme du Houellebecq. Bref un texte de suiveur sans talent.

  4. Kevin le killer par Wold - (04/04/2008)

    Voilà ce que ça donne quand une fougère naine tente d'écrire un texte. Bon c'est un texte de fougère quoi : des bouts de phrases stupides reliées sans ponctuation, une volonté d'être agressif et d'être drôle qui tombe totalement à plat, un quarantième degré totalement foiré. Bref. Vive la lobotomie.

  5. L'ancien combattant par Sharivary - (05/04/2008)

    Personnage neutre, style neutre, histoire neutre. Dur de distinguer quoi que ce soit à retenir dans ces conditions. En fait le seul truc qui m'a fait lever un sourcil, c'est une certaine forme d'appitoiement larvaire, par endroits, sur ce personnage en bout de course et tué par la monotonie et le jmenfoutisme. Le reste est volontairement plat et morose, et en ce sens, ça fonctionne.

  6. Pamphlets [Original + Expansion Set] par Omega-17 - (07/04/2008)

    Comme un avant-goût de Saint-Con, la crémation en moins. Omega nous démolit deux cons pour le prix d'un, Richard Bohringer et Gérard Miller. Deux personnalités auto-suffisantes et horripilantes, pour peu qu'on passe son temps à mater des talk-shows de merde. Le genre de gauchistes d'opérette qui fait frémir le doigt sur la gâchette du lance-flammes. Manque plus que Bernard Lavilliers, dans le genre.

  7. Haïkon par Counifle - (10/04/2008)

    On va commencer en douceur par cette petite merde de rien du tout, qui n'a rien d'un haïku contrairement à ce que son titre suppose. Y a un con (transparent), une crémation (à peine esquissée) donc c'est un texte de Saint-Con. A part ça, le mec s'est pas foulé.

  8. Mégalo-académie par Advienne-que-pourra - (10/04/2008)

    Bon. Le con de ce texte, c'est un producteur de musique de merde pour radio FM et de soupe mainstream type Star Ac. Bonne idée. Mais le doute plane : le vrai con, ce serait pas plutôt le consommateur bovin et ? En lui-même, le texte c'est du Beigbeder-like qui a copulé avec Running Man, franchement anecdotique et mal écrit... C'est con parce que y avait une excellente idée de départ, qui méritait un meilleur traitement.

  9. Abonnez-vous par Lemon A - (10/04/2008)

    Après une introduction un peu inutile au sujet du journal le 'Courier International', Lemon A met son plan à éxécution. Même si on manque un peu de détails sur le con et ce qui le carctérise, la crémation a le mérite d'être originale et assez jouissive. C'est gratuit et violent, donc idéal, manquerait que quelques grosses vannes bien abruties pour nous faire glapir de joie.

  10. Lucie par Johnny - (10/04/2008)

    On dirait que c'est pas l'année des gros gags qui tâchent. Encore un texte franchement sérieux, une vraie nouvelle bien construite et bien écrite, qui se place dans le cadre de la Saint-Con presque par inadvertance. Parce qu'avant d'être le récit d'une crémation, c'est surtout le portrait psychologique subtil d'un taré, une tranche de vie angoissante. C'est très bien, mais c'est pas très festif tout ça.

  11. Mauvaise excuse par Lahyenne - (11/04/2008)

    Cette ordure de Lahyenne est prêt à tout pour ne pas écrire de texte de Saint-Con, même lorsqu'il écrit un texte de Saint-Con. Ce texte explique pour quelle raison (foireuse) l'auteur n'a pas pu écrire son texte. C'est pas de sa faute, c'est son PC qui a crâmé. Bien sûr. Vannes débiles, racontage de life, humeur de chien et mauvaise volonté au programme. Et un texte qui vire peu à peu au sérieux, avec une fin étonnamment tragique. Gné ?

  12. Par le feu par Nico - (11/04/2008)

    Outch, ça casse l'ambiance. Texte non seulement sérieux, mais sombre et sulfureux. Ca s'inspire des légendes arthuriennes, avec chevaliers, reine à délivrer, quête initiatique et tout le bordel. Intéressant, mais inutile de s'attendre à ricaner ou glapir de joie devant une bonne crémation jouissive. Le contrat est respecté mais on est bien loin de l'esprit de la Saint-Con. D'autre part, des faiblesses dans l'écriture (un style médiéval franchement mal maitrisé), laissent entendre que l'auteur est pas encore au niveau pour chier ce genre de texte.

  13. Zemmour, secte & bûcher par Aesahaettr, Kwizera - (11/04/2008)

    C'est très étrange. Y a pas de doute, c'est déjanté à souhait, violent et totalement débile, et si ce n'est que la connerie de la cible est peu justifiée, ce serait un parfait texte de Saint-Con. Sauf qu'on comprend pas tout. Private-jokes ? Allusions à des évenements dont je n'ai pas eu vent ? Aucune idée, mais je suis frustré.

  14. Ejaculation au Jack Daniels par Strange - (12/04/2008)

    Ah putain ! De la haine ovarienne d'orfèvre ! Une Saint-Con sans pute revancharde n'étant pas une Saint-Con AOC, Strange accomplit son devoir de dépositaire de la colère menstruelle et nous assène un monologue glacial à la fois brutal et taillé au millimètre, le tout décliné dans un style impeccable. On retrouve le manque de fluidité sporadique inhérent au genre, et on peut déplorer la sobriété de la crémation, mais globalement le conseil de classe vous encourage à poursuivre dans cette voie, pute.

  15. Le lapin mort par Cuddle - (12/04/2008)

    La première chose qui frappe, c'est que ce texte a l'air déjanté, mais qu'il est si mal fichu qu'au final ça passera pour franchement mongolien. Ecriture bancale, psychologie niaise, racontage de life insupportable. Cuddle crâme son ami imaginaire, un lapin mort, et au lieu de nous bombarder de vannes débiles et de déjante, nous la joue psycho de bazar et sentimentalisme pataud. Quelle conne.

  16. Involution par nihil - (12/04/2008)

    Quand nihil manque d'inspiration, il écrit des histoires d'inversion temporelle en spirale arrière dans le vortex des couloirs du temps et ma bite dans vos culs salopes. Logique. L'idée, pas si conne au final, est servie par un style très visuel plutôt impeccable, mais parvenu à la fin, on se dit que ça n'aurait pas pu s'étendre plus longuement. Pas dégueu.

  17. Haro sur le Mill par Mill - (12/04/2008)

    Mill s'essaie à l'humour de connivence, en oubliant qu'on n'est pas une putain de confrérie gay hippie. En résulte cette chose pas drôle pour une thune, mélange de références à la Zone et d'humour à la Hot Shots, qui n'a de saint-connard que la crémation finale. Deux-trois trucs peuvent éventuellement prêter à sourire, puisqu'on est tous des gens de bonne volonté, mais honnêtement le texte est chiant. Bôf suprême. Heureusement c'est court.

  18. La Saint-con de Quelqu'un d'autre... par Quelqu un - (13/04/2008)

    Dans la série des bouffons autocentrés, qui profitent de la Saint-Con pour poursuivre la polémique sur leur cas et faire parler d'eux, voici Quelqu'un. Texte symptômatique : private-jokes au sujet de la Zone et un auteur qui est le héros de son propre texte et parle de lui à la troisième personne. Bref c'est la protestation d'un ego malmené qui plaide sa cause et veut attirer l'attention par tous les moyens. Avec ici en bonus la confusion mentale qui caractérise son auteur.

  19. Cohn est un con par Aka - (13/04/2008)

    Ca sent la précipitation : des péripéties qui se bousculent et un style défaillant pour une histoire qui méritait plus de soin. Y a une intrigue (inspirée de faits réels), des vannes, de la stupidité saint-connesque jouissive, tous les bons ingrédients... Mais le tout est compacté à l'arrache. Bref, un bon texte laissé en friches.

  20. Qu'est-ce que la Saint Con ? par Claudia Pepita - (13/04/2008)

    C'est cette mini-pute trisomique qui veut nous apprendre ce que c'est que la Saint-Con ? C'est une blague ? En plus elle fait de notre bonne fête populaire un genre de rite tribal opposant deux clans improbables. Scnadaleuse et fantaisiste réécriture de l'Histoire, niant toutes ses règles et ses coutûmes. Ca pourrait passer s'il y avait eu quelques gags (ou au moins un peu d'humour) mais là on dirait un genre de parodie inutile et pas drôle d'un National Geographic pourrave.

  21. Du feu de Dieu par Lapinchien - (13/04/2008)

    Ca fait du bien, un vrai texte de Lapinchien, et encore plus un vrai texte de Saint-Con. On se passerait bien du style argotique que Lapinchien emploie depuis quelque temps, et qui handicape sérieusement la lecture. Hormis ça, c'est la grande foire à la crémation, avec personnage vengeur et semi-niqué de la tronche et cons bariolés à la clé. Et une pincée d'astrophysique pour faire bonne mesure.

  22. Mr. Cabronne par Le Duc - (14/04/2008)

    Le Duc a jugé nécessaire de truffer son texte de liens vers des vidéoclips de pop punk pourris et dance machine de mes burnes, qui n'ont strictement aucun rapport avec le texte lui-même. Bon. Si on fait abstraction de ce parasitage, on a un texte Ducal comique, à savoir pourri, mais pas aussi impressionnant dans la pourritude que ses textes sérieux. On se satisfera de l'inorthographe orgasmique et des quelques instants d'intense stupidité involontaire, mais ça reste un texte de merde moyen.

  23. Têtes brûlées par Kolokoltchiki - (14/04/2008)

    Bah merde alors. Pendant que les grands anciens de la Zone en bavent pour pondre des textes peu inspirés, un inconnu au pseudo imprononçable vient leur en remontrer. Le texte est sautillant et teigneux, proche des contributions traditionnelles, à base de plan machiavélique et de viande crâmée dans la joie et l'allégresse. Un texte de Saint-Con bien basique, pas parfait ni drôlissime, mais frais et amusant.

  24. Lettre à Antoine-Raphaël par Nev - (15/04/2008)

    Bon, l'auteuse l'avoue elle-même : elle a écrit ça en dix minutes. Ca méritait pas de prendre plus de temps. En quelques lignes, on a droit à quelques couinements de femelle hystérique réjouissants et une crémation sommaire. C'est un texte de Saint-Con Light, petit, mignon et discret. Top tendance.

  25. Le temps nous manque par Ocsa - (15/04/2008)

    Oula. Cette chose commence par ébaucher une idylle lesbienne et dresse une guerre civile en toile de fond. Et puis ça dévie complètement pour finir en trip gore gratuit et irréaliste, on sait pas trop comment ni pourquoi. Le con n'est même pas con (juste lesbienne) et la crémation est inexistante. On peut parler de bilan contrasté pour le fond, je crois. Mais la forme ! C'est fantastique, grandiose, un magnifique assemblage de clichés caricaturaux, d'orthographe bâtarde et de formulations approximatives. De la vraie merde de concours, le Duc n'a qu'à bien se tenir.

  26. L'attaque des gnomes par Dourak Smerdiakov - (15/04/2008)

    Quand Dourak se sort la prose du cul, on a généralement droit à un texte qui fleure bon la cambrousse, le chien mouillé et les chipolatas qui grillent doucement sur le capot de la 205. C'est le cas ici. On retrouve avec émotion Lucien Bodart et Raoul on the road again, on sait pas trop où. Le texte, très bien écrit, prend son temps pour se mettre en place, et converge doucement vers une crémation de qualité ; du terroir, pour ainsi dire. C'est draüwle.

  27. La légende du pays de Ceth par Hag - (15/04/2008)

    Le narrateur, étudiant rêveur, visite en songe le pays imaginaire de Ceth, avec son folklore médiéval-fantastique. C'est mignon tout plein, mais on se fait grave chier, je préfère encore le Guide du Routard de la Roumanie édition 1978. L'écriture est raffinée et BORDEL O% SONT LES CONS ET LES FLAMMES ?§ Quand ça démarre enfin, on dort déjà depuis longtemps.

  28. Le Christ de Combourg par Winteria - (16/04/2008)

    Alors ça, ça déchire. Avec pour base un héros des temps modernes qui décide de crâmer Chateaubriand en utilisant une machine à remonter le temps, on pouvait craindre le pire. Et en effet, le pire arrive : narrateur complètement débile et hystérique, plan machiavélique d'une affolante stupidité, péripéties loufoques et violentes, humour zonard à tous les étages. L'archétype du texte de Saint-Con réussi. Totale éclate.

  29. Rencontres par Carc - (16/04/2008)

    C'est fun ce truc. Je sais pas si c'est de la maladresse ou si c'est fait exprès, mais j'ai trouvé très drôle cette histoire de viol qui tourne à la baston. Personnages caricaturaux, répliques de merde et violence cartoonesque au programme. Moi j'adore, on dirait un dessin animé comique. Pas de volonté de choquer ou de taper au bide, juste un sain divertissement à base de cutters et de coups de poings.

  30. Réponse à Paul par Glaüx-le-Chouette - (17/04/2008)

    Grèce antique et insultes, on est bien dans un texte de Glaüx. Un texte fondamentalement obscur et sérieux, très bien écrit. Trop bien écrit, on est écrasé par l'érudition plus grosse et plus dure que la mienne, et le potentiel jouissif est étouffé par le raffinement. Le con est là, la combustion, insidieuse, s'étale sur tout le texte ; manque l'esprit, la déconne et la détente intellectuelle du cul.

  31. Les égarés par Kwizera, Aesahaettr - (20/04/2008)

    C'est le second texte de Saint-Con de nos deux duettistes manchots, qui passe donc en hors-concours. La confusion générale, qu'on retrouve dans tous leurs textes, est toujours de mise. On retrouve plus ses petits. Couplée au manque d'action et au style indolent, ça nous fait un beau charabia inutile et illisible. Passez votre chemin.

  32. Ministrable ? par Quelqu un - (20/04/2008)

    Oh tiens une tranche de vie. Le narrateur nous y raconte donc ses histoires amoureuses d'un inintérêt a peu près absolu et conclut d'une crémation brillante de discrétion, le tout enrobé dans un style épouvantable formé de morceaux de phrases collés les uns à la suite des autres. Histoire d'achever le texte, l'auteur y a ajouté quelques réflexions incongrues, probablement échappées du bistrot le plus proche. Nul.

  33. Récap Saint-Con 2008 par Zone Inc. - (21/04/2008)

    Les résultats de la Saint-Con de cette année, la désignation du Grand Inquisiteur et les liens vers tous les textes publiés. Ce texte clotûre les festivités de la Saint-Con cuvée 2008.

  34. Invasion à Great Falls par Traffic - (23/04/2008)

    C'est touours un peu la même chose avec Traffic et ses textes débiles. Comme d'hab, celui-ci est drôle, bien écrit, bla bla bla, bon rien à foutre. Y a du LSD et des vénusiens qui débarquent dans le Montana, c'est tout ce qu'il faut savoir.

  35. Rêve : réveil par Flex - (24/04/2008)

    Tiens c'est fendard ça. Du délire à base de pus et des moignons pourris, avec un style pas trop déficient. Flex ne s'embarasse pas d'intrigue et se contente d'empiler les visions grotesques et les poncifs gore. Ca suffit largement. Excessif et complaisant, et donc hautement comique.

  36. Bagnard de la vie par Tab - (25/04/2008)

    Mongo le mongolien se révolte ! Ce serait bien qu'un neuropsychomongologue se penche sur ce texte pour nous donner un diagnostic sur la degenerescence neuronale de l'auteur. Le Monsieur, il é pa contan, mais on comprend pas tout ce qu'il raconte. On dirait le cri de rage d'un enfant de grande section qui mord son institutrice.

  37. La nuit noire (2) par Konsstrukt - (27/04/2008)

    Après un excellent premier épisode, Konsstrukt s'attarde sur l'enfance de son personnage, son contact avec la mort et la disparition de ses proches. On retrouve un style plus laconique, moins émotionnel, qui rappelle la série 'Surfaces', sans être désagréable. C'est quand même un ton en dessous du premier épisode. Et comme ça se cantonne à l'enfance du héros, on conserve l'impression de lire une simple introduction à l'histoire, d'où une certaine frustration.

  38. Les bêtes de poisse 6 par Marvin - (28/04/2008)

    Les 'bêtes de poisse' nous arrivent au compte-goutte et on les déguste comme une liqueur rare. La formule reste inchangée, et notre héroïne, après avoir échappé à ses tourmenteurs, se retrouve dans un charnier immense où errent quelques humanoïdes improbables. Totalement et absurdement disjoncté, gore, jouissif et toujours émaillé d'humour scabreux. Profitez en pour relire toute la rubrique.